
Vers la fin du Xe siècle, la dynastie Liao est à son apogée. Les puissants Liao gouvernent une grande partie de ce qui est aujourd'hui le nord-est de la Chine, la Mongolie et la Russie, ainsi qu'une grande partie de la péninsule coréenne. Le premier ministre Xiao Si Wen et la princesse Yan des Liao ont trois filles, mais leur favorite est la plus jeune – la travailleuse et diligente Xiao Chao. Elle n'a d'yeux que pour l'aspirant commandant militaire Han De Rang, dont la famille sert loyalement les Liao depuis des décennies. Mais ayant d'autres projets pour elle, ses parents réussissent à la faire épouser l'empereur Liao, Jin Zhong. Elle obéit et devient la reine de l'Empereur, ainsi qu'une ardente défenseuse du Liao : elle aide à mobiliser l'armée, dirige un régiment de cavalerie de 10 000 hommes et apporte son soutien à l'administration civile. Elle finit par être nommée Impératrice. Entre-temps, cependant, Han De Rang a poursuivi sa propre ascension dans les rangs de l'armée et du gouvernement, et devient un puissant général et un ministre. Xiao Chao est prête à tout pour aider le royaume… mais arrivera-t-elle à contenir ses sentiments pour Han De Rang ? Et peut-elle, à son tour, contrôler son cœur fougueux, qui bat encore pour son amour d'enfance, maintenant qu'elle est l'Impératrice ? (La source: Viki) ~~ Adapted from the novel "Yan Yun Tai" by Jiang Sheng Nan. Modifier la traduction
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- Titre original: 燕云台
- Aussi connu sous le nom de: A Lenda de Xiao Chuo , Die Legende von Xiao Chuo , Yan Yun Tai , ဒဏ္ဏာရီထဲကဧကရီ
- Réalisateur: Jeffrey Chiang, Peng Xue Jun
- Scénariste: Jiang Sheng Nan, Chu Chu
- Genres: Action, Historique, Romance, Politique
Où regarder The Legend of Xiao Chuo
Distribution et équipes
- Tiffany Tang Rôle principal
- Shawn Dou Rôle principal
- Charmaine ShehXiao Hu NianRôle principal
- Jing ChaoYelu Xian / Ming Yi / Emperor Jing Zong of LiaoRôle principal
- Kevin TanYelu Yan Sa Ge / Prince Tai PingRôle principal
- Liu Yi JunXiao Si WenRôle principal
Critiques
La vérité derrière la légende
Ce drama est inspiré d’une histoire vraie et complexe, qui a eu lieu dans une période troublée. En voyant films et documentaires sur ceux de ce peuple des prairies du Nord de la Chine actuelle, qui ont gardé leur culture sans être attirés par les sirènes et les richesses des villes, on ne peut que les admirer. Je préfère la nature, c’est comme ça.Mais avec l’histoire des trois filles Xiao, on ne peut que constater aussi que, à l’instar des eugénistes de partout, ceux qui se drapent dans un orgueil sans bornes, aimant l’argent et le pouvoir qu’il peut procurer, s’ils ajoutent à cela l’hypocrisie et la lâcheté, ils ne peuvent que devenir des tyrans traitres et manipulateurs.
Pas grave, pensent-ils !!!
Du moment que ces tyrans se disent qu’ils peuvent manipuler ce que l’Histoire dira d’eux, tout baigne, pas vrai Mécène ? Pas moi qui le dit. C’est Napoléon.
Ainsi le Prince de cette histoire, le Yelü Xian dit Mingyi, qui est devenu l’Empereur Jingzong est le pire d’entre eux. Pouah ! Il est pire car il veut paraitre gentil aux yeux de l’Histoire.
Mingyi, faible et drogué, s’est appuyé toute sa jeunesse, comme une moule s’accroche au rocher, sur un ami d’enfance qui lui était fidèle, Puis devenu grand, il l’a utilisé, afin de reprendre le pouvoir que ses oncles avaient ravi à son père.
Cet ami, Han ou Yan Derang, était un Han de Youzhou, territoire que l’Empereur Abaoji du Grand Liang, avait volé aux Han par traitrise, pendant la Période troublée des 5 dynasties et 10 royaumes, après la chute de la Dynastie Tang.
Donc, depuis 3 générations les Han de ces contrées servent le Liang, devenu de fait leur terre natale. Mais les Khitan de la haute, aiment à les considérer comme des esclaves. Car les nobles Khitan semble avoir un complexe d’orgueil frustré, dans la mesure où, les Han sont alors, de grand savoir et de grande culture.
Cependant les régnants de la Dynastie Liao du Grand Liang ont besoin d’eux et de leurs connaissances, pour faire évoluer leur pays vers plus de commerce et de richesses, et même vers l’agriculture.
Alors si Mingyi a le discours feutré des régnants qui ont besoin de ces Han, c’est certainement parce que Yan Derang est un Han, bien que son père soit Duc, que Mingyi, devenu l’Empereur Jingzong grâce à Yan Derang, se permettra de lui voler sa femme. Dès qu’il devient roi, ce £*\~(>_<)$@ Mingyi va envoyer un édit obligeant la fiancée de Derang qui est en train de préparer leur mariage, à devenir son Impératrice.
Inouï ! Un S.àM.
Une fois cela fait, Mingyi va exiger que l’amitié et la fidélité de Derang demeure intact à son égard et que celui-ci reste à son service. « T’es encore fâché ? », ânonne ce monstre avec ses yeux d’incapable inquiet. Le summum de l’abjection. Car c’est une envie d’empêcher les cœurs de ressentir et l’esprit de penser. ☹
Cette fille est la 3° fille d’un autre $%..{>_<)..£¤*\
Il s’agit du détestable père sans entrailles et Premier Ministre Xiao du Grand Liang. Il appartient au Clan de l’Impératrice, qui roule pour le Mingyi qui a le désir de récupérer le trône de son père assassiné.
Jusque-là… Face à l’Empereur Muzong, fratricide, lâche, paranoïaque, criminel et fou à lier, c’est une délivrance…
Le Xiao, pas mignon du tout, alors qu’il a promis le mariage de sa fille avec Yan Derang, va trahir sa parole et accepter de les tromper, tous les deux, Derang et sa fille, pour le Mingyi. Il peut le faire car il est le Father. Il les trompe jusqu’à ce que l’hypocrite manipulateur devienne roi et leur impose sa volonté de naz. Il n’y a rien de plus dangereux et détestable qu’un lâche cupide doublé d’un traitre. Il vendrait père et mère. En tous cas il vend ses filles pour son ambition. Mais son karma n’est pas loin.
Ce Xiao a élevé ses filles, qui ont perdu leur mère tôt, comme des prédatrices, ayant le droit de prendre les biens des autres et ne payant rien. Le drama nous en parle au début de ce côté prédateur et sans gêne…Puis, tout d’un coup, on nous les présente comme des gens donnant tout pour leur famille et ce avec le sens du sacrifice : ***des saintes***.
☹ C’est sauter du coq à l’âne, les mecs et on n’est pas si stupides !!!
J’aime même ce genre d’histoire avec des chevaliers qui combattent des félons. Mais il ne faut pas nous la vendre historique. Juste des personnages fictifs dans un cadre historique qui s’honore, c’est plus que suffisant. Car ceux qui aiment l’histoire, quand commence un film qui se dit historique, vont voir si les personnages et les dynasties citées ont existé.
Alors se permettre de tout frelater…
Donc, juste un ti tour sur Wiki, nous informe que ce gentil papounet Xiao va marier ses 3 filles aux héritiers les mieux placés des 3 banches du fondateur de la Dynastie, histoire d’avoir enfin une Impératrice dans sa famille. !
Quel que soit celui qui prendra le trône, Môssieur Xiao aura sa soupe au Palais. Ouep ! Parfaitement ! Car il appartient à la branche des Xiao à ne jamais avoir eu d’Impératrice et sa santé en dépend. Allez ! Dans la cage aux fauves mes chéries… Pour le bien de la famille….ça me rapportera tellement !
Bref, une fois sa 3°fille bien casée, avec une couronne et le cœur brisé, alors que Yan Derang est parti sans se retourner pour ne pas voir sa belle se marier avec un autre , le papili Xiao va accumuler tellement de pouvoir que, Yansage, un des héritiers putatifs marié à sa 1° fifille, qui veut prendre le trône, ne va pas avoir de mal à manipuler des mécontents pour qu’ils le tuent. Plus de papa-you lélé !
« Tout l’art du Prince est de faire le bien personnellement et le mal par un second.» Pas vrai Machiavel ?
Yansage mourra de sa é0nième rébellion, ce qui rendra la 1° fille de Xiao qu’on nous dit si sacri-fiel , littéralement chèvre. On ne tue pas les femmes et les enfants chez les Khitan, alors elle va être envoyé à la frontière que défend l’armée qu’elle hérite de son mari. (Un droit Princier). Là, elle doit veiller sur les escarmouches du pays voisin.
Pendant ce temps, la deuxième fille Xiao, complotera sans cesse avec Xiyin, son mari héritier putatif d’une autre branche.
Mais autant il est facile de voler les femmes des Han, autant on ne touche pas facilement à un membre de la Famille Royale chez les Khitan, même quand c’est un voyou et un traitre. Il est donc difficile pour Mingyi, ce roi pas très honnête de cœur, de tanner, son oncle Xiyin qui semble plus jeune que lui, à lui tout seul. (Oncle ? En fait le cousin de son père, c’est-à-dire, la génération précédente). Mais une fois le moment venu, preuves à l’appui, Xiyin et son fils vont mourir, lors de la dernière de ses révoltes. Deuxième sœur va tenter, cette fois juste par vengeance, de tuer encore Troisième sœur l’Impératrice, qui, le ras-le bol au cœur, va la condamner à mort.
De nouveau la première sœurette, la sacri-fiel va faire parler d’elle.
Alors que l’Impératrice veut lui trouver un époux elle refuse. Mais une fois à la frontière, loin des yeux, loin du cœur, la fille bridée par le qu’en-dira-t-on, va se lâcher. Elle va se trouver un prétendant jeune et ambitieux avec qui elle fera guzi-guzi. C’est son droit…Tout le monde a droit au bonheur !
Sauf que leurs actes deviennent vite comploteurs, car le jeunot semble avoir des vues sur l’armée, plutôt que sur la belle.
Nous vivons un monde-chien ! Bref, Ils réveillent la suspicion de sa sœur puînée, qui, face à leur agissements, finit par les condamner tous deux à mort. C’est qu’elle a des enfants à protéger toute seule, la pauvre.
Bravo Monsieur le papili Xiao.
Le karma de l’Empereur *$¤£^ (la quadrature du sesterce) Mingyi, alias l’Empereur Jingzong
Ce traitre manipulateur, sans parole d’honneur car sans honneur, a été empoisonné lentement et sûrement, par le précédent et sanguinaire-Fou Empereur Yelü Jing dit Muzong. Celui-ci l’empoisonne en douce, via son gentil petit frère Yansage, à moins que, ce ne soit celui-ci qui l’ait fait, tout seul, et rien que pour lui-même.
« Pleins d’accidents de chasse, pan, pan-pan, et me voilà roi » n’est ce pas, Don Salluste ?
Yansage avec ses manières de brute, et ses habitudes de prudence, ne fait jamais ces choses-là, lui-même. C’est un guerrier et un vrai. Mais il ne dévoile ses batteries de guerrier qu’à la guerre, lorsqu’il a zigouillé tout ce qu’il peut, par d’autres mains.
Il va, par conséquent, obliger une concubine du père de Mingyi, devenue Consort Douairière pour élever les enfants de l’ancienne Impératrice, à empoisonner les médocs de l’enfant qu’elle était censée élever.
Oille (o_0) …
Donc n’ayant pas beaucoup de forces Mingyi est retors et a la méchanceté feutrée, ce qui fait de lui un hypocrite manipulateur qui prend contentement à la Traîtrise. Il se croit intelligent et fort parce qu’il trompe ceux qui compatissent avec lui et tout lui font confiance. Mais le manipulateur en chef se fera avoir par cette femme et ne le saura qu’une fois adulte sa trentième année, lorsque Yansage l’utilisera pour tuer le fils de Mingyi qui vient de naitre. Il est alors trop tard pour purger le Mingyi du poison. Il mourra assez vite, quelques années après, à 34 ans à cause de sa mauvaise santé et de ses frustrations Mauvaise santé qui lui a fait prendre une Impératrice pour faire son job, et pendant ce temps-là il va faire 8 enfants en 13 ans à 3 femmes différentes. Un Nullard paresseux et lâche, qui a vécu en ponctionnant le savoir et le courage des autres. Lorsque Youzhou est en guerre il se met à tousser et quitte la cour pour aller se coucher, alors que sa femme enceinte conduit l’armée à la guerre.
Voilà ce que l’histoire a montré de toi. Bon débarras.
Yan Derang le retour
Ceci permettra à Derang, jamais marié et sans enfants, de se rapprocher de sa belle.
Yan Derang restera fidèle à sa belle, ne se mariera pas et n’aura pas d’enfants, contrairement aux violons du drama qui y ajoute du pathos inutile. L’histoire est à portée de clic maintenant, chers messieurs les scénaristes.
Car ici, les scénaristes se permettent de faire joujou avec l’histoire, et marient le fidèle Derang avec une de ces femmes à la voix monocorde qui, dans les drama chinois, jettent leur dévolu sur quelqu’un et décident qu’elles le prendront comme on prend un sac de patates.
Pff ! Ça m’a énervé alors j’ai tout cafté. Et toc !
Bon d’accord… Je dis tout !
À part ces incohérences inutiles, c’est un très bon drama, qui tient en haleine et nous fait toucher du doigt sociétés, mœurs, politiques, cultures, techniques, armes et conflits de l’époque. Si ça vous saoule quand les personnages se mettent à essayer de convaincre, à la queue-leu-leu, qu’ils ont tous eu les meilleures raisons du monde d’agir en putassiers, faut pas hésiter à zapper. 😊 !
Ca évite les ennuis et du temps perdu pour rien.
Merci pour l’attention
L.N.A.-B.B. Jiao

One step forward for mankind and two giant steps backwards for womankind.
This romanticized account of the life story of Xiao Yanyan, the accomplished Khitan Empress Chengtian (953-1009), gives voice to folk or unofficial history of her relationship with Han Derang. Wild history of their love affair survived over a thousand years and continues to fire the imagination of Chinese historians today.Please be aware of mild spoilers ahead (unless you already know the history).
It is known that Xiao Yanyan, was once engaged to Han Derang, who was from an elite Han Chinese family loyal to the Khitan rulers. According to the drama (which is based on a novel), her father chancellor Xiao Siwen and Han Derang help Mingyi (Emperor Jingzong) ascend the throne. Mingyi is sickly and his hold onto power is thus unstable; many branches of the royal family vie for the throne. Mingyi insists on marrying Yanyan so that like both his main rivals who married Yanyan's older sisters, his wife is also of royal bloodline. This kind of ill fated romance has limited appeal to most romance watchers and is an unnecessary digression for most historical or political drama buffs.
Although I was primarily interested in the history, Tang Yan and Dou Xiao's portrayal of the young lovebirds captured my heart and I was devastated by their forced separation. But alas their chemistry fizzles out later on in the drama and leaves me unconvinced that they are soul mates whose love is as deep or as epic as folk history suggests. At face, the bare facts are tantalizing - he shores up her regency over her young son Emperor Shengzong; is her trusted confidante and is highly ranked in her court; they may even have married and had a child together and; he was likely buried besides her. But in their more mature personas, both characters just seem sad, tired and lonely and not long lost soul mates who finally have their moment in the sun. It does not help that Tang Yan appears to have an easier, more natural chemistry with Jing Chao's Mingyi. To make matters worse, there are no nuances or subtleties in Yanyan's interactions with Mingyi and Derang that suggests they mean different things to her, that her relationship with and affection for each of them is not the same.
Mingyi is the most layered, complex and interesting character in this drama and probably one of the best grey characters I have seen this year. Although I resent his manipulation, his selfishness, his obscene sense of entitlement and his disingenuous excuses for doing terrible things, I also grudgingly empathized with him and the monumental task in front of him. Jing Chao really delivers one of the most convincing portrayals of a sociopath emperor who has the audacity to steal his best friend's fiancé and yet demands and expects them to protect his legacy. Unfortunately although she delivers a few good scenes, Tang Yan fails to evoke a strong and powerful empress who can rule alongside and then after the emperor. She cannot hold onto her strong moments, just defaults back to her comfort zone of a very beautiful and feminine woman that is to be rescued and protected. Her attempts at gravitas just results in a cold, aloof empress that doesn't allow any sparks to fly; even when she is free to be with the alleged love of her life. To be fair Tang Yan was pregnant during the shooting and that put limits on her ability to do the more physically challenging scenes but she still did not have to be written to be so mopey and passive aggressive.
The other magnificently and effortless acted role is Sheh Szeman's Xiao Hunian who is everything and more of what I imagined Yanyan would be. Her portrayal of a strong, yet feminine woman who bows to duty without wallowing in self pity; who is a fierce, strategic warrior that stands up to the menacing Yansage; who does as she pleases and shows her displeasure as effectively in words as in action puts Tang Yan's meek and insipid performance to shame. When Hunian tells Han Derang that it was just a twist of fate, else she would be just as great an empress, that resonates because art imitates life; a younger Sheh Szeman would have conveyed an unforgettable Xiao Yanyan. I did not approve of how the writing undermines Hunian in the final arc - even though Sheh Szeman got more airtime and had some awesome scenes, it was just not the right thing to do to the character.
While this drama as a whole does not live up to my expectations, I found many parts of it to be riveting. The power struggles and the battle for the throne are well written and shot but the story peaks at the Yansage arc. The battle footage and strategies used to route the enemy in this arc are bloodthirsty and exciting but is too early for the climax of the drama. To some extent that cannot be helped as it is the correct sequence historically. That said, after the Yansage arc, the focus of the story should shift from internal strife to external strife rather than focus on a series of much weaker, rather pathetic attempts at coups by the least interesting characters in the drama. It does little more than to drive home how hard it is for a widowed empress to hold on to the throne as regent without a strong military backer. It does highlight Han Derang's contributions and achievements as the unsung hero and the true power behind the Liao throne.
To me this is a 7.5/8.0 but I am going with 7.5 because I expected to watch a drama about a woman warrior who chose her country over her true love and then went on to make Liao great so that her sacrifice would be worth something. Instead, I may as well have watched her get her revenge on Mingyi by doing nothing besides get fat on sweet cakes and having flings with stable boys. But I learned many things about Liao/Khitan culture, including that Khitan women were very equal and progressive - they can get divorced, remarry if widowed, lead armies, hold positions and even rule in court. Which is really ironic because Mingyi's legacy Han reforms that were among Yanyan and Han Derang's greatest achievements basically Sinicized the nomadic Liao people to their vast benefit in terms of agriculture, language, culture and administrative and legal systems. But it also set Liao women back thousands of years in terms of the status and freedom. So what our warrior empress really achieved was one step forwards for mankind and two giant steps backwards for womankind. Maybe Tang Yan's portrayal wasn't that far off...