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Completed
Assistant of Superstar
1 people found this review helpful
by BBJiao
Oct 13, 2024
24 of 24 episodes seen
Completed 0
Overall 7.0
Story 7.0
Acting/Cast 10
Music 6.5
Rewatch Value 5.0
This review may contain spoilers

Très poétique mais inabouti

Très poétique.
Film agréable à regarder, enlevé, amusant, pas trop stressant. Le début est presque déroutant avec ses personnages présentés presque façon manga. Mais au bout de quelques épisodes on découvre la personnalité riche, profonde, bien construite et adulte.
Puis forcément, à la fin, les opposants au héros méditent toutes sortes d’attaques lâches, frappant dans le dos. Vers la fin, tout s’arrange, on se dit que on s’achemine vers une fin heureuse grâce à l’amitié et l’entraide des protagonistes.
Puis tout à coup on ne comprend plus. Tout déraille. En deux ou trois épisodes les antagonistes qui avaient tout perdu piègent tout le monde, en cinq minutes on nous présente les protagonistes jouant aux enquêteurs chevronnés type James Bond, puis tout à coup ils viennent dénoncer toutes les manigances des méchants avec des preuves sortis d’on ne sait où, le méchant de l’histoire matraque la tête de l’héroïne, puis un an après on la voit donnant des cours gratuit on ne sait où, la musique principale du film sert de base aux souvenirs du héros qui vient chercher sa belle…et ça fini comme ça.
Le dernier épisode est légèrement plus long que les autres épisodes et on a l’impression qu’il y avait peut être un dernier épisode qui a été copié collé…on se demande si c’est parce que le metteur en scène a changé, si la l’enquête d’espionne a déplu et qu’ils ont écourté la série…dommage.
Mais on passe un bon moment et le jeu des acteur et top. La musique est belle aussi.

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Ongoing 31/36
The Moon Brightens for You
1 people found this review helpful
by BBJiao
Aug 28, 2024
31 of 36 episodes seen
Ongoing 0
Overall 8.0
Story 8.0
Acting/Cast 8.0
Music 5.0
Rewatch Value 4.0
This review may contain spoilers

Poupée de chiffon, poupée de cire, poupée de porcelaine impériale.

Pendant au moins une quinzaine d’épisodes, c’est un beau drama, agréable à suivre avec des moments de fou rires. Le scénario est bien construit, logique et ne saute pas du coq à l’âne.
Les personnages ont de la profondeur, sont bien interprétés…
Mais…
Dès le départ, la poupée de cire, Monsieur Wen, nobliau assez conséquent de son état, bousille son karma en disant à sa sœur que le beau général dont elle est amoureuse n’est qu’un roturier qui n’aura jamais le plébiscite des parents. Qu’elle tourne donc son regard vers un Egal, de son rang.
Mais cette poupée de cire, qui s’amuse chez les épéistes qui courent le monde et bravent le destin, a déjà son cœur chaviré par la belle poupée de chiffon, la roturière fée des nuages. Là nous avons le cœur pincé : eh bien, quoi ? C’est un homme, il peut s’amuser avec la femme de son cœur, qui aura pour destin de devenir une servante-concubine. Tout le monde se pose la question autour de lui : lorsque son père lui imposera une poupée de cire, aura-t-il le cran de dire non ?
Pas besoin de papa pour ça ! La poupée en biscuit, la porcelaine impériale a déjà jeté son dévolu sur sa petite marionnette de cire, le pantin inarticulé en plomb qui la désennuyait dans son enfance.
La poupée biscuit en kaolin est de ces personnage qu’on voudrait voir explosé façon grosse boule-feu d’artifice, « éparpillé façon puzzle » comme dirait Audiard. Rien que d’y penser ça fait rêver. Vive la catharsis, comme dirait Aristote.
Le monde de « la biscuit » est composé de deux être humains : elle, et son grand-père (parce qu’il la sert). Son regard dépité et convoiteur n’a d’égal que sa bouche méprisante et haineuse. Dame biscuit trouvera un défouloir de ses frustrations chez la poupée de chiffon et son entourage. Jusque là, c’est juste un cliché, mais ça devient rageant et insupportable et ça enlève par moment l’envie de continuer de regarder la série parce que son envie de destruction des autres est sans limites et n’est jamais suivie par un retour de bâton de son karma. Pire, il est récompensé. Et encore pire, on essaye de nous la présenter capable de repentance et de changement : « ze ssuis une pôvre petite princessse qui a grandi toute sseule dans z’un palais où il y avait zuste des sservante à maltraiter et mon petit Wen en plomb qui venait zouer (certainement sur ordre de papa) avec moi ».
Si on me balance une histoire d’amour à la fin entre ces deux-là, je vous le dis tout de go, je serai incapable de revoir cette série. Parce que déjà, quand sa bouche de nauséeuse qui ne supporte pas le goût du genre humain vient polluer mon champ de vision, j’ai juste une envie irrépressible de zapper (ce qui serait bien dommage, parce que la série est excellente), luttant contre l’envie d’aller plus loin, histoire de connaître la fin.
Il n’y a pas à dire, l’actrice sait faire les mimiques de l’emploi.
Quant à la poupée de cire Wen, sa seule chance de redevenir un chevalier-gentilhomme digne des romans épique, c'est de la jouer à la Lorenzaccio, pas vrai, hein, Musset? A la surprise du pot des scénaristes.
Good tidings 4 you. Sayonara et à plus.

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Completed
The Love You Give Me
0 people found this review helpful
by BBJiao
5 hours ago
28 of 28 episodes seen
Completed 0
Overall 7.0
Story 6.0
Acting/Cast 6.0
Music 7.5
Rewatch Value 6.0
This review may contain spoilers

Drama qui fait cohabiter 3 histoires côte à côte.

L’histoire principale.
Elle est sérieuse, profonde, bien articulée, avec des personnages ayant des personnalités bien construites. Elle traite d’abandons et d’orphelins. Adultes ils deviennent : investisseur et informaticienne.

Deux historiettes se déroulent à côté.
Elles se veulent légères…Tellement, que si elles n’étaient pas là, cela ne changerait rien à l’action principale.
Ces deux histoires subsidiaires mettent face à face :
- d’un côté, un médecin et la fille sans limite de son chefaillon
- de l’autre côté, il y a une commerciale et un homme très jeune, un peu perdu.

C’est un orphelin qui cherche sa sœur. La commerciale au comportement de cougar le manipule sentimentalement, en voulant s’amuser avec lui… Ou de lui ?. Ce qui est choquant est son comportement, et non pas la différence d’âge.
Le comportement de cougar, même en occident ça choque beaucoup de gens, n’est-ce pas Mrs Robinson ? Il n’accepte pas de devenir le simple jouet d’une femme aux valeurs bizarres qui se croie aussi irrésistible que la vaniteuse dont nous allons parler.

La « vaniteuse » est une jeune qui se veut danseuse mais ne supporte pas la douleur.
Elle est nimbée d’un népotisme hideux. En fait, elle se cherche en fait un portefeuille sur pattes avec un avenir doré. Elle le souhaite médecin et dépendant de son «papouilleux», chef de quelque chose dans l’hôpital, pour qu’elle puisse le commander au doigt et à l’œil. On dirait la fée carabosse, avec ses grimaces à la Mr Propre.
Ce personnage, se la joue petite fille tourneuse de robe, qui commande tout le monde dans l’hôpital, pour qu’ils obligent le cardiologue choisi à lui céder. Celui-ci est tombé amoureux, depuis 4 ans, de sa voisine. C’est une informaticienne qui travaille dans l’I.A., mais aussi la mère célibataire d’un garçonnet né avec une maladie cardiaque. Mais Maman Courage ne le considère cependant que comme un très bon ami et le médecin traitant de son fils.

Le père du garçonnet, orphelin adopté, souffrant du même mal que son fiston, n’a pas eu connaissance de son existence, car un malentendu l’avait séparé de l’amour de sa vie, 4 ans auparavant. Il a vécu tout ce temps à l’étranger où il fut opéré avec succès. Il revient car il se dit qu’il ne peut décidemment pas oublier son amour et se retrouve avec un fils inconnu qui doit subir la même opération que lui.

Le cardiologue va d’un côté, décider d’agresser verbalement, l’ancien amour de sa voisine et le vrai père du gamin, de façon choquante. A le croire, il est transi d’amour pour sa voisine. Mais à côté il laisse la pseudo-danseuse lui coller au train de façon plus éhontée que Mlle Scarlett d’Autant en emporte le Vent, ne court derrière le mari de Mélanie. En cela il ressemble a l’Ashley de cette saga anglo-irlandaise du Sud des States. Mais il n’est pas à exclure qu’il y voit aussi le chemin vers un avancement rapide, sentiment inconnu à Ashley.

La Commerciale qui convoite l’Imberbe de Service est la meilleure amie de l’informaticienne.
Cet orphelin est aussi le frère d’une fille que notre héroïne, elle aussi orpheline, avait connu dans sa jeunesse à l’orphelinat.
Il va sommairement et violemment, l’accuser d’être à l’origine de la mort de sa sœur et déclencher la « prudence » de son amoureux et ainsi raviver les quiproquos qui les avaient séparés, 4 ans plus tôt.
Une enquête approfondie démontrera cependant, que c’est l’entêtement et la stupidité de sa sœur, gentille par ailleurs, qui ont provoqué sa mort.
Mais le mal est fait… Son amoureux, manipulé par ce personnage emporté, va briser son cœur une deuxième fois. Bien sûr il regrette et va travailler dur pour ne pas se la perdre de nouveau. Ce qui est incompréhensible c’est que l’accusée à tort, va déclarer que cet écervelé léger et rancunier qui a failli briser sa vie, elle le considère comme « son ami », au nom de l’ancienne amitié qu’elle avait pour sa sœur.
Un mec primaire de la sorte, qui se croit le droit d’accuser avec légèreté n’importe qui, juste pour se venger de la vie, je le tiendrai à jamais très loin de ma famille et de mon cercle relationnel. Prudence est mère de sûreté.

J’ai vu ce drama deux fois…
Le relationnel entre les deux parents qui se rapprochent petit à petit et de ce garçonnet vif et intelligent est un bijou revigorant, drôle et sensible. Les deux personnages du père et du fils sont magistralement joués par deux acteurs aux facéties enlevées. Cette petite tête bouclée joue très bien et est vraiment très bien dirigée. Chapeau bas.

Quant aux deux autres couples, chacun aime ce qu’il aime.
A cause de l’ennui ressenti, au deuxième visionnage, je les ai juste zappés lorsqu’ils interagissent les uns avec les autres en tant que couples en devenir. La télécommande est faite pour ça. Ceci ne vole en rien la compréhension de l’histoire principale.
Merci pour l’attention accordée
L.N.A.-B.B. Jiao


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Ongoing 15/24
Sweet Trap
1 people found this review helpful
by BBJiao
Aug 25, 2024
15 of 24 episodes seen
Ongoing 0
Overall 7.0
Story 7.0
Acting/Cast 6.0
Music 6.0
Rewatch Value 3.0
This review may contain spoilers

Le goût de la trahison

Autour de l'épisode 15, nous goûtons la saveur amère-acide de la trahison à son apogée. La cime, le sommet, l'apothéose. Pan-pan-pan! La Cinquième de Beethoven au rythme de la salsa. Elle a la silhouette d'un gentil personnage aux allures infantiles et qui possède trois expressions:
- celle d'un élève de maternelle, dans la cour de récré, qui aime exprimer à tour de rôle "je suis innocente", "c'est pas moi" en zézayant
- celle d'un enfant fâché qui fait la moue
- celle qui se dit "oups, ça ne marche pas...et bien je suis désolé ge-ge"
Les trois pour obtenir ce qu'elle désire le plus au monde: imposer sa volonté.
Le goût de la trahison, ça marque à vie, ça engendre du stress post-traumatique, ça enlève l'envie de faire confiance en créant des misanthropes. C'est pourtant l'héroïne! Dont on nous demande d'effacer toutes les aspérités, pardonner tous les caprices parce qu'il faudra qu'elle grandisse n'est-ce pas? On a envie de dire au héros: éloigne-toi de ça. Eloigne-toi des égocentriques qui t'entraîneront dans le précipice. Je suppose que les scénaristes trouvent que c'est aisé de nous sortir des personnages à une seule facette qui finissent par plomber l'envie d'accorder davantage d’intérêt à leurs intrigues.
Le problème c'est qu'en France, la légèreté d'être de ce personnage, nous rappelle la Montespan de l'affaire des poisons (XVIIe siècle), qui entre deux minauderies, a entraîné la Cour de Louis XIV dans la tourmente, le peuple de Paris dans les assassinats Louis XIV dans la honte et a laissé dans l'Histoire la trace de l'ignominie. Alors on a un peu de mal à supporter les "femmes-enfants".
Certainement que ce personnage, comme dans beaucoup de drama asiatique saura revenir de ce comportement pour devenir quelqu'un d'empathique.
N. B: Comme toujours, l'acteur principal masculin parvient à donner à son personnage une véritable consistance psychologique qui tient l'ensemble du scénario. Sayonara.

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Dropped 9/12
Kidnapping Game
0 people found this review helpful
by BBJiao
8 days ago
9 of 12 episodes seen
Dropped 0
Overall 4.0
Story 5.0
Acting/Cast 5.0
Music 2.0
Rewatch Value 4.0
This review may contain spoilers

Kidnapping Game_ Ou jeux de mains, jeux de vilains

Ce drama tient sur le jeu des 2 rôles masculins principaux, notamment de celui qui est sensé se faire piéger, et dont les performances permettent de soulager l’ennui.

Il était une fois, une gentille héroïne, dont tout le monde vantait la douceur, l’intelligence et la gentillesse, et tout et tout. Elle s’appelait Mlle Sœur-Thérèsa. 😊
Elle était la fille ainée d’un nouveau riche qui avait commencé dans l’Industrie des jeux électroniques et de son amoureuse, qui n’a pas dû faire l’affaire pour un mariage d’affaires et passa à la trappe. Pas assez de « palpable » !!! Watoo dans La menace fantôme (Star Wars).

On ne sait pas trop ce qu’elle devint la mamounette non mariée, mais sa fille grandit avec la sœur la légitime, fille de l’épouse officielle qui devait avoir eu assez de « palpable » pour enfiler une robe blanche en dentelle. Mais celle-ci voulut plus que les affaires… Mais n’ayant pas obtenu l’amour, elle se lassa de ces jeux adultérins, demanda le divorce, tomba malade, mourût et débarrassa le plancher.
Son absence remplit la fille cadette de hargne et de morgue. Lors des jeux de vilains des adultes, les enfants trinquent, jusqu’à ce que leur tour arrive de jouer aux vilains.

Un jour la cadette se saoula et se drogua si fort, qu’elle tomba, la tête contre la table en marbre et mourût à son tour.
Pas difficile de dire à la police, qu’ayant fait l’idiote une fois de plus, avec des produits illicites, elle était tout simplement restée sur le carreau pour de bon. Mais non…
Parce que papa le voulait bien et que Sœur-Théthé le valait bien, le père et la fille vont jouer les abjectes et piéger un pauvre gus qui avait mangé de la vache enragée, toute sa pauvre chienne de vie, afin de lui mettre la mort de la sœur et de la fille non-aimée sur le dos. ☹ Tu parles d’une héroïne sainte-ni-touche…

Et c’est parti pour un scénario compliqué et alambiqué, tordu et retordu comme les colonnes baroques, lourd à digérer comme du rococo.
Voilà, cependant que sœur sainte-truc va tomber amoureuse de sa victime… Mon avis est que le syndrome de Stockholm est dans l’autre sens et que c’est la victime qui s’amourache de son bourreau. C’est ce que les psys racontent en tout cas. Conte de fées compte sur moi !
Bref…
L’héroïne, celle en chair et en os, et non pas la poudre de pavot que l’infortunée cadette avait piquouzé, va regretter du coup, (un petit peu), toutes ses putasseries. Sinon mec, aux usa, avec le zèle moyen attribué aux enquêtes, tu serais juste bon pour la chaise électrique.

En regardant ce drama, mon premier sentiment fut que la fille se comportait comme une garce sans limites et le garçon comme un pauvre cou***on, qu’elle roulait dans la farine avant de le frire. Je serais parti dès le premier épisode mais, j’ai lu des postes si homogènement dithyrambiques, que je me suis vu en train de patienter en zieutant d’un œil.
Il ne manquerait plus, que de leurs geôles, ils s’envoient des messages via des perroquets irascibles, qui ne font pas honneur « au prix qu’ils ont couté ». Pas vrai « Don Salustre » ? La Folie des Grandeurs
Je tire donc ma révérence début du neuvième douzième-temps. Ouf !!! 😊

Avec mes meilleures salutations, je vous remercie pour l’attention accordée. A plus !
L.N.A.-B.B. Jiao

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Ongoing 32/52
My Golden Life
0 people found this review helpful
by BBJiao
Mar 19, 2025
32 of 52 episodes seen
Ongoing 0
Overall 6.5
Story 8.0
Acting/Cast 8.0
Music 4.0
Rewatch Value 6.0
This review may contain spoilers

« Vous êtes sûr que ce n'est pas un genre d’ Abdallah votre Tchang ? »

« Vous êtes sûr que ce n'est pas un genre d’ Abdallah votre Tchang ? »

On regarde ce drama, on se ramasse le personnage de Ji Soo comme un assommoir sur le crâne.
Cette espèce d’ingrate narcissique borderline manipulatrice qui mène la belle vie chez les pauvres en jouant les imbéciles heureuses, et chez les riches en les manipulant avec leur mauvaise conscience.
On prend la voiture et sur une route de montagne on voit un mioche de 3 ans à moitié bouffée par les moustiques et l’avisé l’y laisse car c’est le karma en train de dézinguer le malheur à venir dans le sillage de cette petite peste. Mais bon, le sot-« ne-l’y -laissa-pas »
Ce qui est consolateur c’est de penser que cette famille de pétés eugénistes avec cette psychopathe hypocrite de la pire espèce « ne vont pas rigoler tous les jours » (cf : Astérix en Hispanie)
Elle va à elle seule dézinguer la 3e génération de formatés au syndrome de Stockholm – de père en fils. Notre noble sire Choi Do Gyeong qui essaye de bien faire a bien raison d’aller vivre en paix , loin du ver qui est déjà dans le fruit.
En fait, Ji Soo est une sociopathe de haute volée, pure et dure, comme son grand-papounet et sa tantine. Sa famille : une lignée de grands sociopathes par génération et pleins de formatés malheureux qui obéissent au doigt et à l’œil. Le but de la sociopathe Ji Soo est d’obtenir tout des autres, pour sa propre satisfaction, avec le moins d’efforts possible et surtout en ne donnant jamais rien en retour. Ce sont des coucous. Chez les pauvres, le statut de malheureuse sortie de la montagne a valu à Ji Soo d’obtenir de la part de tout le monde de manger plus, d’être la plus gâtée en ne donnant rien. Si le prix c’est de jouer les imbéciles, qu’est-ce que cela ? Ici son arme est la pleurnicherie de lâche et d’hypocrite.
La confrontation de Ji Soo avec la brutalité de sa famille riche la révèle, d’un coup, dans sa brutalité première. Elle efface de sa mémoire sa famille adoptive et part « coucouter » ailleurs, écervelée et insouciante, comme d’hab. Qu’elle est alors heureuse ! Elle qui n’a plus rien à cirer de sa famille adoptive, va s’en servir quand cela est nécessaire, comme arme afin d’arrêter la brutalité des riches envers elle. En usant de la rhétorique la plus agressive, elle met, avec l’exemple de la générosité de la famille pauvre à son égard, en lumière leurs contradiction d’eugénistes moralisateurs. Elle est juste pire qu’eux tous, à tel point qu’elle va faire exploser tout net la famille qui l’a enfantée, sans le moindre remords…après avoir fait exploser la famille qui l’avait adoptée. Avec le garçon sur qui elle a jeté son dévolu, elle use cependant de moult précautions ! En bon eugéniste qui se méconnaît (ce sont les pires), il avait aimé la capacité de Ji An à travailler, à apprendre, à s’adapter, à être généreuse…bref, à briller. Mais quant à force de servir et de tout donner à sa famille qui ne sait que prendre, au fond, elle s’épuise et déprime. Et perd à ses yeux l’auréole de l’éblouissement. Sans cesser certainement de l’aimer, il va choisir comme compagne la sociopathe qui l’entortille dans ses filets avec son consentement…alors qu’il la méprisait ad nauseam lorsqu’elle jouait les pleurnicheuses idiotes devant sa famille d’adoption.

Le seul à avoir vu clair dans le jeu de Ji Soo est son frère biologique qui l'a enfermée dans une cage à l'âge de trois ans parce qu'elle était déjà impossible.

Gens de haut Quotient Emotionnel soyez certes « simples comme des colombes », mais n’oubliez surtout pas d’être « prudents comme des serpents ». Quand une telle sentence vient de la bouche de Dieu lui-même, il faut méditer avec circonspection. Quant à la famille des chaebols, on le voit tous les jours que c’est ainsi que meurent les FTN et les Empires. Par avarice, méchanceté et orgueil.
LNA B.B.JIAO

P.S. : Belle réflexion sur la tentation du lucre et de l’ambition, des dégâts que ça occasionne et de l’inévitable prix à payer.
Daniel 5 :30-31 Cette même nuit, Belschatsar, roi des Chaldéens, fut tué. Et Darius, le Mède, s'empara du royaume, étant âgé de soixante-deux ans.

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