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Completed
Under the Power
1 people found this review helpful
by BBJiao
Jun 18, 2025
55 of 55 episodes seen
Completed 0
Overall 8.0
Story 8.0
Acting/Cast 10
Music 10
Rewatch Value 8.0
This review may contain spoilers

Malheur au peuple dont l’esclave devient roi

"Trois choses font trembler la terre, Et il en est quatre qu'elle ne peut supporter : Un esclave qui vient à régner..." La Bible, Proverbes 30: 21-23

L’Empereur Jiajing, vers la fin de la Dyn Ming (il y a déjà des mousquets, des pistoles et des canons), est le fils d’une concubine méprisée. Faute de descendant « méritant », cet homme pétri dans du complexe d’infériorité, va être adopté sur le papier, par l’Impératrice-Douairière, qui espère le manipuler et le contraindre à vie. C’est ainsi qu’il va devenir et ainsi devenir Empereur.
C’est un homme méfiant, paranoïaque, méchant et amoral, aux colères dévastatrices qui n’aime que la flatterie.
Les flagorneurs en chef, à la cour sont les Yan père et fils et ça fait des décennies qu’ils manipulent, volent, trahissent l’Empereur et le pays. Ils tuent aussi, tous les nobles et leurs familles, qui osent leur tenir tête. Cela se passe avec l’aval de l’Empereur, qui sur simple accusation de ouï-dire venant de l’un des 2 Yan, est capable de condamner ces nobles qu’il déteste, car ils ont de la dignité ou du moins de la prestance.
Au nom de SA justice, il condamne et tue sommairement et sans preuves, du moment que c’est un des Yan qui le dit. Ainsi, il a tué sa première Impératrice, enceinte de son enfant, parce qu’elle était trop proche de sa nouvelle mamounette, l’Impératrice-douairière qui aimait le pouvoir.. Et l’enfant mourut aussi dans le ventre de maman. Comme si les enfants étaient coupables, à priori, des péchés des parents.
Vendetta injuste, quand tu nous tiens…
A côté de ça, le mec ne prend pas de décision, sans que « le Devin du Village gaulois d’Armorique, ne vienne lire dans les tripes du poisson, dans le vol des hirondelles ou, lecture bénie, dans les oies farcies et dans la cervoise tiède, très lisible quand elle est bien tirée. » Le Devin de Goscinny et Uderzo.
Cet Empereur, n’a pas plus de jugeotte que Bonnemine, la femme d’Abraracourcix, le chef du village qui résiste encore et toujours à Jules César, 2000 ans après.
Ici, les devins se revendiquent taôistes, fengchuistes et ying-yanguistes, et savent faire des calculs sur la position des étoiles et surtout ils ont de la tchatche. Mais on reconnait les mêmes coups fabuleux que ceux de par ici, se nommaient, eux, « alchimistes » Ceux-ci, n’ont pas cessé depuis 2000 ans de promettre : 1) qu’ils vont faire vivre les riches candides au moins 1000 ans, 2) qu’ils vont transformer le plomb en or et 3) qu’ils vont trouver la Pierre Philosophale. Contes de fées, compte sur moi, et attend 😊
Le Yan fils, navigue en eaux troubles, en ces temps troublés où les navires aux voiles noires sillonnent l’Asie, pour une nouvelle convoitise de certains Jez et huits, qui n’avaient rien à cirer de l’enseignement du Christ. Ces prêtres-généraux, aux navires tueurs, étaient suivis ou précédés par de grands, très grands commerçants européens de la Compagnie des Indes de par-ci ou de par-là. Ces Cies de commerçants, avaient des navires tout aussi armés, pour commercer avec un fusil à la main... Ça aide à négocier., non, mais !
Jez et huits et grands commerçants, après l’explorateur Vasco de Gama, viennent ensemble en Asie, pour la conquête, le commerce et le pognon, à coups d’épées, de canons et d’opium.
Je te le vends à 100 balles. 😊 La bourse ou la vie ! Poum ! Une belle affaire !
Les Jez et huits instrumentalisent les shoguns dès le début du 16° siècle, aident à créer les samouraïs et les ninjas, aident à enlever le pouvoir politique à l’Empereur du Japon et font des pécheurs japonais, des pirates qui agissent comme leurs éperons contre la Corée, Taiwan, la Chine, la Mandchourie et tutti quanti.
Et notre Grand-Secrétaire Yan-père et son second, le fiston-Grand-Secrétaire-junior, traitre dans son essence, y barbottent comme des poissons dans l’eau. Armes à feu, poudre, détournement de fonds publics, enlèvements, tortures, meurtres et Cie. Yan junior c’est un expert du commerce illégal. Il traficote avec des pirates japonais comme d’autres vont acheter des légumes au marché. Passe-moi ta paye que je la mélange avec la mienne.
Le mec a bien existé, ce n’est pas un fake.
Tous comme les Gardes prétoriens des empereurs, sous la Dynasti,e Ming habillés de brocart de soie : les gardes en uniformes brodés. Ça déchire. Je veux des fringues comme ça.
Le scénario tient la route, les faits historiques sont suivis assez précisément. La psychologie des personnages est bien étudiée. Belle histoire d’amour, à la sensibilité à couper au couteau. De quoi aider à retenir la grande Histoire.
Coté légèreté et drôlerie, il y a aussi ce qu’il faut.
Mais tout à coup, le Drama va tourner, inutilement anxiogène, à la Tragédie Cornélienne. Mais sans les alexandrins, seul intérêt de ce genre littéraire, car quand c’est tragique ce n’est pas la peine d’en rajouter.
La Vendetta bouddhiste ou taoïste, je ne sais, veut obliger les deux amoureux à s’entre couper, se haïr et se détester, pour que les morts n’aient pas d’insomnie. Peace and Love ! Laissez les vivants souffler.
La Vendetta est portée, par la haine d’une tantine plus que trentenaire mais sans jugeotte, subitement réapparue, mais que nul ne connait, entêtée et écervelée qui se mêle de la vie de tous. Elle met sans cesse tout le monde dans la panade, mais sa haine meurtrière contre un môme aux moments des faits dépasse les bornes. « La reine est jolie mais elle est bête » La folie des Grandeurs
Bon.. ça dure pas longtemps !
Les romans de Chevalerie et les contes de fées, en l’Europe Chrétienne du Moyen-âge, avaient : des héros, des méchants, des adjuvants et des adversaires. Dans les Drama asiatiques les adjuvants légers et sans cervelle, primaires et indifférents aux dégâts qu’ils causent, sont les pires ennemis des héros et des amoureux.
Un peu de mal avec le concept… Un peu…beaucoup.
Sinon, la musique est très belle, la mise en scène n’est pas mal du tout, les tissus et leur coloris sont magnifiques, les paysages et l’architecture à taille humaine sont à couper le souffle.
Un petit tour sur le net permettra de savoir un peu plus sur l’histoire de la période de cet Empereur et de ses meilleurs traitres, Yan père et fils, qu’il a fini par bannir et tuer.
Des alexandrins, nous rendent visite pour nous permettre de nous saluer, depuis l’Antique ville d’Alexandre le Grand, le macédonien qui a campé, un temps en Egypte, parce que l’âpreté lui avait fait oublier le chemin pour rentrer chez lui :
« Je suis, mes chers amis, très heureux de vous voir. » Astérix et Cléopâtre
Et, « La plac’ m’est heureuse de vous y rencontrer » La Folie des Grandeurs
Merci pour l’attention. L.N.A.-B.B. Jiao

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Completed
Assistant of Superstar
1 people found this review helpful
by BBJiao
Oct 13, 2024
24 of 24 episodes seen
Completed 0
Overall 7.0
Story 7.0
Acting/Cast 10
Music 6.5
Rewatch Value 5.0
This review may contain spoilers

Très poétique mais inabouti

Très poétique.
Film agréable à regarder, enlevé, amusant, pas trop stressant. Le début est presque déroutant avec ses personnages présentés presque façon manga. Mais au bout de quelques épisodes on découvre la personnalité riche, profonde, bien construite et adulte.
Puis forcément, à la fin, les opposants au héros méditent toutes sortes d’attaques lâches, frappant dans le dos. Vers la fin, tout s’arrange, on se dit que on s’achemine vers une fin heureuse grâce à l’amitié et l’entraide des protagonistes.
Puis tout à coup on ne comprend plus. Tout déraille. En deux ou trois épisodes les antagonistes qui avaient tout perdu piègent tout le monde, en cinq minutes on nous présente les protagonistes jouant aux enquêteurs chevronnés type James Bond, puis tout à coup ils viennent dénoncer toutes les manigances des méchants avec des preuves sortis d’on ne sait où, le méchant de l’histoire matraque la tête de l’héroïne, puis un an après on la voit donnant des cours gratuit on ne sait où, la musique principale du film sert de base aux souvenirs du héros qui vient chercher sa belle…et ça fini comme ça.
Le dernier épisode est légèrement plus long que les autres épisodes et on a l’impression qu’il y avait peut être un dernier épisode qui a été copié collé…on se demande si c’est parce que le metteur en scène a changé, si la l’enquête d’espionne a déplu et qu’ils ont écourté la série…dommage.
Mais on passe un bon moment et le jeu des acteur et top. La musique est belle aussi.

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Ongoing 31/36
The Moon Brightens for You
1 people found this review helpful
by BBJiao
Aug 28, 2024
31 of 36 episodes seen
Ongoing 0
Overall 8.0
Story 8.0
Acting/Cast 8.0
Music 5.0
Rewatch Value 4.0
This review may contain spoilers

Poupée de chiffon, poupée de cire, poupée de porcelaine impériale.

Pendant au moins une quinzaine d’épisodes, c’est un beau drama, agréable à suivre avec des moments de fou rires. Le scénario est bien construit, logique et ne saute pas du coq à l’âne.
Les personnages ont de la profondeur, sont bien interprétés…
Mais…
Dès le départ, la poupée de cire, Monsieur Wen, nobliau assez conséquent de son état, bousille son karma en disant à sa sœur que le beau général dont elle est amoureuse n’est qu’un roturier qui n’aura jamais le plébiscite des parents. Qu’elle tourne donc son regard vers un Egal, de son rang.
Mais cette poupée de cire, qui s’amuse chez les épéistes qui courent le monde et bravent le destin, a déjà son cœur chaviré par la belle poupée de chiffon, la roturière fée des nuages. Là nous avons le cœur pincé : eh bien, quoi ? C’est un homme, il peut s’amuser avec la femme de son cœur, qui aura pour destin de devenir une servante-concubine. Tout le monde se pose la question autour de lui : lorsque son père lui imposera une poupée de cire, aura-t-il le cran de dire non ?
Pas besoin de papa pour ça ! La poupée en biscuit, la porcelaine impériale a déjà jeté son dévolu sur sa petite marionnette de cire, le pantin inarticulé en plomb qui la désennuyait dans son enfance.
La poupée biscuit en kaolin est de ces personnage qu’on voudrait voir explosé façon grosse boule-feu d’artifice, « éparpillé façon puzzle » comme dirait Audiard. Rien que d’y penser ça fait rêver. Vive la catharsis, comme dirait Aristote.
Le monde de « la biscuit » est composé de deux être humains : elle, et son grand-père (parce qu’il la sert). Son regard dépité et convoiteur n’a d’égal que sa bouche méprisante et haineuse. Dame biscuit trouvera un défouloir de ses frustrations chez la poupée de chiffon et son entourage. Jusque là, c’est juste un cliché, mais ça devient rageant et insupportable et ça enlève par moment l’envie de continuer de regarder la série parce que son envie de destruction des autres est sans limites et n’est jamais suivie par un retour de bâton de son karma. Pire, il est récompensé. Et encore pire, on essaye de nous la présenter capable de repentance et de changement : « ze ssuis une pôvre petite princessse qui a grandi toute sseule dans z’un palais où il y avait zuste des sservante à maltraiter et mon petit Wen en plomb qui venait zouer (certainement sur ordre de papa) avec moi ».
Si on me balance une histoire d’amour à la fin entre ces deux-là, je vous le dis tout de go, je serai incapable de revoir cette série. Parce que déjà, quand sa bouche de nauséeuse qui ne supporte pas le goût du genre humain vient polluer mon champ de vision, j’ai juste une envie irrépressible de zapper (ce qui serait bien dommage, parce que la série est excellente), luttant contre l’envie d’aller plus loin, histoire de connaître la fin.
Il n’y a pas à dire, l’actrice sait faire les mimiques de l’emploi.
Quant à la poupée de cire Wen, sa seule chance de redevenir un chevalier-gentilhomme digne des romans épique, c'est de la jouer à la Lorenzaccio, pas vrai, hein, Musset? A la surprise du pot des scénaristes.
Good tidings 4 you. Sayonara et à plus.

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Completed
Dr. Cutie
0 people found this review helpful
by BBJiao
Aug 18, 2025
28 of 28 episodes seen
Completed 0
Overall 6.0
Story 6.0
Acting/Cast 6.5
Music 6.0
Rewatch Value 6.0
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Une histoire de Vendetta à la mode bouddhiste

Quelque part pendant la Dynastie Tang, parait-il. A cause des fringues et de la femme qui ose être médecin (pas la seule d’ailleurs). Entre 618 et 900 a.D. en gros.

An départ on pense que c’est la lutte d’une femme qui veut devenir médecin.
Que Nenni !
C’est une histoire de Vendetta à la mode bouddhiste. En gros les ressorts logiques sont les suivants …
Si le survivant d’une catastrophe, fait le choix de vivre en paix, les morts de la famille ne vont pas pouvoir roupiller et vont devenir insomniaques. Par contre s’ils massacrent des innocents qui ne sont pas responsables des péchés de leurs aïeux, alors les parents dans l’au-delà vont pouvoir ronfler bruyamment tandis que leur progéniture va perdre le sommeil, aller en prison, se fait peut-être tuer à son tour, en tous cas semer de la haine à tout va dans la génération suivante.

Lorsqu’on prend des vieux livres sur le bouddhisme, quand il arrive en occident, début des seventies, on essayait de nous expliquer, laborieusement, que Bouddha, gras et replet en Chine, maigre et hirsute en Inde (pour ne parler que d’eux), dit que ce qui est mauvais ce sont les désirs. Pour vivre heureux faut vivre sans désir.
C’est quoi la limite ? Hmmm ?
Par exemple, si on a froid, désirer un manteau, est-ce un crime ?
Mais concernant les accidents et les crimes, là, l’explication bouddhiste de la mort exige la vendetta. Les morts désirent la vengeance et ils le peuvent, eux, désirer à tout va.
Et les pauvres mioches vivants subissent leurs désirs ! K.O. par uppercut.

En Occident, l’idée venant de la bible est que « l’âme qui pêche est celle qui mourra » et aussi « tu ne feras pas tomber sur les enfants la faute des parents ni sur les parents la faute des enfants ». Cette idée est ancrée dans l’inconscient populaire des peuples qui ont adopté le christianisme.
Ce bouddhisme occidental des seventies, semble n’avoir rien en commun avec le bouddhisme en Chine et en Corée, où il se centre sur la haine acceptable, imposée et nécessaire. Et les Drama y trouvent leur fonds de commerce.
Si la justice est essentielle chez un peuple, la haine est néfaste, car elle n’apaise personne et crée des problèmes sans fin.

Dans ce Drama, ça va se la jouer, comme suit !
Cela se passe dans une société brutale, où les hommes se permettent n’importe quand, de ramener à la maison n’importe quelle pouffe, qu’ils ont ramassé dans une gouttière dégoutante ou dans un lupanar, pour souiller dans la joie, le lit conjugal de l’épouse de leur jeunesse.
Pas de droit et pas de justice ? Pas de paix, les gars !

Là, une noble de titre mais pas d’âme, Dame Ji, se marie un Général, certainement sous le mode « je te contrains ». Celui peut l’impose basé sur ses intérêts seuls ! Puis les parents meurent. Le mari est enfin devenu le seul calife vivant du village. Et il se lâche. C’est enfin à son tour de malmener tout le monde. Et il commence par ramener une pouffe sans préavis.

Dame Ji, ne vas pas l’accepter et je la comprends.
Elle vit dans une société eugéniste qui lui fait croire qu’elle a plus de droits que les autres, car dans une autre vie elle a gagné la carte Joker. Elle y est poussée par une âme noire qui est là pour venger sa tribu voyoute de brigands qui semaient le chaos dans une montagne. Sur ordre de l’Etat le Commandant va arrêter leurs crimes, leurs vols et leurs viols. Pour s’en venger, ils ont infiltré sa famille de toutes les manières.

Au nom de la vengeance, l’âme noire, va même tuer à sa place et sans son consentement et lui faire prendre la responsabilité de ses crimes. Car cette femme outrancière et orgueilleuse, une fois bafouée et apeurée, et manipulé par ce personnage hideux. va se défendre à coups de meurtres.
Ainsi aidée, l’épouse légitime, va d’abord tuer la sale-up qui rentre dans sa maison pour lui donner un coup de pied dans le dos, lui casser la colonne vertébrale, l’éjecter de son lit marital et pondre un mioche qu’elle utilise contre le premier fils, qui comprends que, sans raison, son père le bat tout à coup froid.

Le ge-ge-néral de mari, prendra après ça, une troisième pet-ass, une qui vient du village qu’il vient d’écrabouiller. C’est d’un chic…. Un petit souvenir de son voyage…
C’est surtout sans prudence. Pour un défenseur attitré par la Cour, on repasse.
Sauf que la donzelle, tout fraichement cueillie, elle est roublarde et enjôleuse. Elle n’est venue là que pour faire plaisir à ceux de sa tribu qui veulent se venger. En attendant, elle se la coule douce en attendant de détruire toute la famille du grand soldat Ji, que la femme va empoisonner à son tour. Ains, il ne ramènera plus de pouf.
Les mecs, « comme on fait son lit on se couche ».

Un malheur n’arrivant pas seul, dit-on, elle va se servir du médoc dangereux d’un médecin, (problématique très actuelle) qui veut préparer un antidote. Elle va accuser à tort et faire exiler la famille du Médecin Shen. L’âme noire va les tuer sans ordre puis lui faire avaler la responsabilité.
Une idiote je vous dis.

Elle ne va pas tuer le fils de la concubine, qu’un fils de chef de la montagne a approché pour lui dire pendant des années qu’il est son meilleur pote. Elle va le garder pour jouer la belle-mère-matrone parfaite à la mode des anciens vikings. La louve dominante s’accapare les petits des louves soumises. Y a des systèmes mauvais partout.
Pour l’heure les enfants ignorent tout. C’est sans compter avec les loups ravisseurs des montagnes

Croyant donc avoir résolu tous ses problèmes, elle va faire la fortune d’un monastère dont la doctrine enseigne d’un côté la vengeance aveugle, et de l’autre le rachat de ses fautes par des dons en argent et en encens.
What else ?
Pour éviter cela, la Bible a donné la « Lettre de Divorce à cause de la dureté du cœur de l’homme », tout en spécifiant que le désir de Dieu c’est que l’homme n’ait qu’une seule femme, « la femme de sa jeunesse, biche des amours, gazelle pleine de grâce ».

Une gamine, pourtant, va réchapper de son carnage bien prémédité.
C’est la grande amie de son fils biologique. Un grand amour les réunit petits
Elle deviendra à son tour médecin et fera des pieds et des mains pour rentrer dans le manoir Ji, pour essayer de connaitre la vérité et se venger, évidemment.
Déguisée en garçon, avec ses 40 kilos, ses os d’oiseau, son visage poupon et mignon, sa taille de guêpe est ses hanches pour accoucher, sa voix fluette, sa pomme d’Adam absente et ses poils partis en voyage, et enfin ses proportions tête-épaule de fille, elle va pourtant tromper pourtant, le Jeune général Ji
Le fils de la concubine, lui, va tout suite voir que c’est une fille, et en avoir la preuve en lui touchant les ni.chons. Vulgaire, n’est-il pas ?
Puis il va tomber amoureux de la Doctoresse, qui elle, match avec l’amoureux d’enfance. Mais il est de ce gens qui croient qu’ils peuvent prendre les autres comme on prend des sacs de patate. Un comportement indécent.
Les quiproquos sur ses hormones féminines auprès du jeune Général Ji Heng, vont durer quelques 30 épisodes, avec ce faux frère qui va pousser la fille à la méfiance, pour qu’elle cache coute que coute qu’elle est une fille à son frérot. Pour ce faire, elle va jouer les garçons lubriques. Pas trop de stress, mais lourd et pas crédible du tout.

Quand tout va exploser, mazette !!!
C’est presque le bombardement de Dresde. Sous la pression des voyous de la montagne, infiltrés en ville et les mensonges de l’homme de main de la mère, aïah ! Aïsh !
- le fils filial de l’empoisonneuse va vouloir prendre la faute de sa mère sur lui,
- le fils de la concubine va vouloir se venger de la mort de sa mère, séparer et prendre la fille par manipulation et mensonges. La seule chose qu’il ne va pas faire c’est la violer comme lui susurre, son faux pote et vrai bandit de la montagne.
- la fille-médecin va poignarder l’amour de sa vie,
- l’empoisonneuse meurtrière-en-chef et marâtre à temps complet, « Ze Mother, » va se donner le droit de faire justice elle-même et dézinguer la belle de son fils, pas encore vraiment mort.
- Le fils de la concubine la menace de guerre thermo-nucléaire globale, si elle touche à l’objet de ses convoitises-en-chef. Ne désire rien qu’on t’a dit…
Mamounette a le cœur brisé parce qu’il lui donne du Madame… Elle tue une mère et s’attend à ce que le fils de celle-ci l’aime à donf.
-Mais la Mother a aussi les pétoches, alors elle donne cette fille a ce cuisinier des mensonges comme un sac de carottes.
- Le fils de concubine, se fait passer pour l’amoureux d’enfance, avec les souvenirs que son frère mourant, qui les lui a racontés. Ah l’honneur et fidélité des chevaliers ne se trouve guère chez ce félon.
-Et enfin il l’emprisonne quand elle veut venir le sauver. De quoi perdre définitivement le cœur de quelqu’un. Mais aurait pu lui enseigner l’amour dans un système de maltraitance et de haine. Quand je pense qu’au.jour.d’hui des hommes fantasment sur des harem…
***Purée !***
Vraiment un peu trop Too Much. Vous ne trouvez-pas ? ☹ !!!

Ça a commencé comme un Drama léger et progressif à la chinoise et devenir vers la fin, un imbroglio lassant à la coréenne !!! Je suppose qu’après ce saut-bien-périlleux, le Drama va retomber sur ses 4 pattes, sans nous laisser le temps de digérer et de décompresser. Wait and see !!!
Oille ! Ne causons pas comme chez les anglois !
Alors… « Attends et regarde ».
« Egâde », comme nous le disent si joliment les chinois !
L.N.A.-B.B. Jiao



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Completed
The Legend of Xiao Chuo
0 people found this review helpful
by BBJiao
Aug 11, 2025
48 of 48 episodes seen
Completed 0
Overall 6.5
Story 7.0
Acting/Cast 7.0
Music 4.0
Rewatch Value 6.0
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La vérité derrière la légende

Ce drama est inspiré d’une histoire vraie et complexe, qui a eu lieu dans une période troublée. En voyant films et documentaires sur ceux de ce peuple des prairies du Nord de la Chine actuelle, qui ont gardé leur culture sans être attirés par les sirènes et les richesses des villes, on ne peut que les admirer. Je préfère la nature, c’est comme ça.
Mais avec l’histoire des trois filles Xiao, on ne peut que constater aussi que, à l’instar des eugénistes de partout, ceux qui se drapent dans un orgueil sans bornes, aimant l’argent et le pouvoir qu’il peut procurer, s’ils ajoutent à cela l’hypocrisie et la lâcheté, ils ne peuvent que devenir des tyrans traitres et manipulateurs.
Pas grave, pensent-ils !!!
Du moment que ces tyrans se disent qu’ils peuvent manipuler ce que l’Histoire dira d’eux, tout baigne, pas vrai Mécène ? Pas moi qui le dit. C’est Napoléon.
Ainsi le Prince de cette histoire, le Yelü Xian dit Mingyi, qui est devenu l’Empereur Jingzong est le pire d’entre eux. Pouah ! Il est pire car il veut paraitre gentil aux yeux de l’Histoire.
Mingyi, faible et drogué, s’est appuyé toute sa jeunesse, comme une moule s’accroche au rocher, sur un ami d’enfance qui lui était fidèle, Puis devenu grand, il l’a utilisé, afin de reprendre le pouvoir que ses oncles avaient ravi à son père.
Cet ami, Han ou Yan Derang, était un Han de Youzhou, territoire que l’Empereur Abaoji du Grand Liang, avait volé aux Han par traitrise, pendant la Période troublée des 5 dynasties et 10 royaumes, après la chute de la Dynastie Tang.
Donc, depuis 3 générations les Han de ces contrées servent le Liang, devenu de fait leur terre natale. Mais les Khitan de la haute, aiment à les considérer comme des esclaves. Car les nobles Khitan semble avoir un complexe d’orgueil frustré, dans la mesure où, les Han sont alors, de grand savoir et de grande culture.
Cependant les régnants de la Dynastie Liao du Grand Liang ont besoin d’eux et de leurs connaissances, pour faire évoluer leur pays vers plus de commerce et de richesses, et même vers l’agriculture.
Alors si Mingyi a le discours feutré des régnants qui ont besoin de ces Han, c’est certainement parce que Yan Derang est un Han, bien que son père soit Duc, que Mingyi, devenu l’Empereur Jingzong grâce à Yan Derang, se permettra de lui voler sa femme. Dès qu’il devient roi, ce £*\~(>_<)$@ Mingyi va envoyer un édit obligeant la fiancée de Derang qui est en train de préparer leur mariage, à devenir son Impératrice.
Inouï ! Un S.àM.
Une fois cela fait, Mingyi va exiger que l’amitié et la fidélité de Derang demeure intact à son égard et que celui-ci reste à son service. « T’es encore fâché ? », ânonne ce monstre avec ses yeux d’incapable inquiet. Le summum de l’abjection. Car c’est une envie d’empêcher les cœurs de ressentir et l’esprit de penser. ☹
Cette fille est la 3° fille d’un autre $%..{>_<)..£¤*\
Il s’agit du détestable père sans entrailles et Premier Ministre Xiao du Grand Liang. Il appartient au Clan de l’Impératrice, qui roule pour le Mingyi qui a le désir de récupérer le trône de son père assassiné.
Jusque-là… Face à l’Empereur Muzong, fratricide, lâche, paranoïaque, criminel et fou à lier, c’est une délivrance…
Le Xiao, pas mignon du tout, alors qu’il a promis le mariage de sa fille avec Yan Derang, va trahir sa parole et accepter de les tromper, tous les deux, Derang et sa fille, pour le Mingyi. Il peut le faire car il est le Father. Il les trompe jusqu’à ce que l’hypocrite manipulateur devienne roi et leur impose sa volonté de naz. Il n’y a rien de plus dangereux et détestable qu’un lâche cupide doublé d’un traitre. Il vendrait père et mère. En tous cas il vend ses filles pour son ambition. Mais son karma n’est pas loin.
Ce Xiao a élevé ses filles, qui ont perdu leur mère tôt, comme des prédatrices, ayant le droit de prendre les biens des autres et ne payant rien. Le drama nous en parle au début de ce côté prédateur et sans gêne…Puis, tout d’un coup, on nous les présente comme des gens donnant tout pour leur famille et ce avec le sens du sacrifice : ***des saintes***.
☹ C’est sauter du coq à l’âne, les mecs et on n’est pas si stupides !!!
J’aime même ce genre d’histoire avec des chevaliers qui combattent des félons. Mais il ne faut pas nous la vendre historique. Juste des personnages fictifs dans un cadre historique qui s’honore, c’est plus que suffisant. Car ceux qui aiment l’histoire, quand commence un film qui se dit historique, vont voir si les personnages et les dynasties citées ont existé.
Alors se permettre de tout frelater…
Donc, juste un ti tour sur Wiki, nous informe que ce gentil papounet Xiao va marier ses 3 filles aux héritiers les mieux placés des 3 banches du fondateur de la Dynastie, histoire d’avoir enfin une Impératrice dans sa famille. !
Quel que soit celui qui prendra le trône, Môssieur Xiao aura sa soupe au Palais. Ouep ! Parfaitement ! Car il appartient à la branche des Xiao à ne jamais avoir eu d’Impératrice et sa santé en dépend. Allez ! Dans la cage aux fauves mes chéries… Pour le bien de la famille….ça me rapportera tellement !

Bref, une fois sa 3°fille bien casée, avec une couronne et le cœur brisé, alors que Yan Derang est parti sans se retourner pour ne pas voir sa belle se marier avec un autre , le papili Xiao va accumuler tellement de pouvoir que, Yansage, un des héritiers putatifs marié à sa 1° fifille, qui veut prendre le trône, ne va pas avoir de mal à manipuler des mécontents pour qu’ils le tuent. Plus de papa-you lélé !
« Tout l’art du Prince est de faire le bien personnellement et le mal par un second.» Pas vrai Machiavel ?
Yansage mourra de sa é0nième rébellion, ce qui rendra la 1° fille de Xiao qu’on nous dit si sacri-fiel , littéralement chèvre. On ne tue pas les femmes et les enfants chez les Khitan, alors elle va être envoyé à la frontière que défend l’armée qu’elle hérite de son mari. (Un droit Princier). Là, elle doit veiller sur les escarmouches du pays voisin.
Pendant ce temps, la deuxième fille Xiao, complotera sans cesse avec Xiyin, son mari héritier putatif d’une autre branche.
Mais autant il est facile de voler les femmes des Han, autant on ne touche pas facilement à un membre de la Famille Royale chez les Khitan, même quand c’est un voyou et un traitre. Il est donc difficile pour Mingyi, ce roi pas très honnête de cœur, de tanner, son oncle Xiyin qui semble plus jeune que lui, à lui tout seul. (Oncle ? En fait le cousin de son père, c’est-à-dire, la génération précédente). Mais une fois le moment venu, preuves à l’appui, Xiyin et son fils vont mourir, lors de la dernière de ses révoltes. Deuxième sœur va tenter, cette fois juste par vengeance, de tuer encore Troisième sœur l’Impératrice, qui, le ras-le bol au cœur, va la condamner à mort.
De nouveau la première sœurette, la sacri-fiel va faire parler d’elle.
Alors que l’Impératrice veut lui trouver un époux elle refuse. Mais une fois à la frontière, loin des yeux, loin du cœur, la fille bridée par le qu’en-dira-t-on, va se lâcher. Elle va se trouver un prétendant jeune et ambitieux avec qui elle fera guzi-guzi. C’est son droit…Tout le monde a droit au bonheur !
Sauf que leurs actes deviennent vite comploteurs, car le jeunot semble avoir des vues sur l’armée, plutôt que sur la belle.
Nous vivons un monde-chien ! Bref, Ils réveillent la suspicion de sa sœur puînée, qui, face à leur agissements, finit par les condamner tous deux à mort. C’est qu’elle a des enfants à protéger toute seule, la pauvre.
Bravo Monsieur le papili Xiao.
Le karma de l’Empereur *$¤£^ (la quadrature du sesterce) Mingyi, alias l’Empereur Jingzong
Ce traitre manipulateur, sans parole d’honneur car sans honneur, a été empoisonné lentement et sûrement, par le précédent et sanguinaire-Fou Empereur Yelü Jing dit Muzong. Celui-ci l’empoisonne en douce, via son gentil petit frère Yansage, à moins que, ce ne soit celui-ci qui l’ait fait, tout seul, et rien que pour lui-même.
« Pleins d’accidents de chasse, pan, pan-pan, et me voilà roi » n’est ce pas, Don Salluste ?
Yansage avec ses manières de brute, et ses habitudes de prudence, ne fait jamais ces choses-là, lui-même. C’est un guerrier et un vrai. Mais il ne dévoile ses batteries de guerrier qu’à la guerre, lorsqu’il a zigouillé tout ce qu’il peut, par d’autres mains.
Il va, par conséquent, obliger une concubine du père de Mingyi, devenue Consort Douairière pour élever les enfants de l’ancienne Impératrice, à empoisonner les médocs de l’enfant qu’elle était censée élever.
Oille (o_0) …
Donc n’ayant pas beaucoup de forces Mingyi est retors et a la méchanceté feutrée, ce qui fait de lui un hypocrite manipulateur qui prend contentement à la Traîtrise. Il se croit intelligent et fort parce qu’il trompe ceux qui compatissent avec lui et tout lui font confiance. Mais le manipulateur en chef se fera avoir par cette femme et ne le saura qu’une fois adulte sa trentième année, lorsque Yansage l’utilisera pour tuer le fils de Mingyi qui vient de naitre. Il est alors trop tard pour purger le Mingyi du poison. Il mourra assez vite, quelques années après, à 34 ans à cause de sa mauvaise santé et de ses frustrations Mauvaise santé qui lui a fait prendre une Impératrice pour faire son job, et pendant ce temps-là il va faire 8 enfants en 13 ans à 3 femmes différentes. Un Nullard paresseux et lâche, qui a vécu en ponctionnant le savoir et le courage des autres. Lorsque Youzhou est en guerre il se met à tousser et quitte la cour pour aller se coucher, alors que sa femme enceinte conduit l’armée à la guerre.
Voilà ce que l’histoire a montré de toi. Bon débarras.

Yan Derang le retour
Ceci permettra à Derang, jamais marié et sans enfants, de se rapprocher de sa belle.
Yan Derang restera fidèle à sa belle, ne se mariera pas et n’aura pas d’enfants, contrairement aux violons du drama qui y ajoute du pathos inutile. L’histoire est à portée de clic maintenant, chers messieurs les scénaristes.
Car ici, les scénaristes se permettent de faire joujou avec l’histoire, et marient le fidèle Derang avec une de ces femmes à la voix monocorde qui, dans les drama chinois, jettent leur dévolu sur quelqu’un et décident qu’elles le prendront comme on prend un sac de patates.
Pff ! Ça m’a énervé alors j’ai tout cafté. Et toc !

Bon d’accord… Je dis tout !
À part ces incohérences inutiles, c’est un très bon drama, qui tient en haleine et nous fait toucher du doigt sociétés, mœurs, politiques, cultures, techniques, armes et conflits de l’époque. Si ça vous saoule quand les personnages se mettent à essayer de convaincre, à la queue-leu-leu, qu’ils ont tous eu les meilleures raisons du monde d’agir en putassiers, faut pas hésiter à zapper. 😊 !
Ca évite les ennuis et du temps perdu pour rien.
Merci pour l’attention
L.N.A.-B.B. Jiao

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Completed
The Love You Give Me
0 people found this review helpful
by BBJiao
May 15, 2025
28 of 28 episodes seen
Completed 0
Overall 7.0
Story 6.0
Acting/Cast 6.0
Music 7.5
Rewatch Value 6.0
This review may contain spoilers

Drama qui fait cohabiter 3 histoires côte à côte.

L’histoire principale.
Elle est sérieuse, profonde, bien articulée, avec des personnages ayant des personnalités bien construites. Elle traite d’abandons et d’orphelins. Adultes ils deviennent : investisseur et informaticienne.

Deux historiettes se déroulent à côté.
Elles se veulent légères…Tellement, que si elles n’étaient pas là, cela ne changerait rien à l’action principale.
Ces deux histoires subsidiaires mettent face à face :
- d’un côté, un médecin et la fille sans limite de son chefaillon
- de l’autre côté, il y a une commerciale et un homme très jeune, un peu perdu.

C’est un orphelin qui cherche sa sœur. La commerciale au comportement de cougar le manipule sentimentalement, en voulant s’amuser avec lui… Ou de lui ?. Ce qui est choquant est son comportement, et non pas la différence d’âge.
Le comportement de cougar, même en occident ça choque beaucoup de gens, n’est-ce pas Mrs Robinson ? Il n’accepte pas de devenir le simple jouet d’une femme aux valeurs bizarres qui se croie aussi irrésistible que la vaniteuse dont nous allons parler.

La « vaniteuse » est une jeune qui se veut danseuse mais ne supporte pas la douleur.
Elle est nimbée d’un népotisme hideux. En fait, elle se cherche en fait un portefeuille sur pattes avec un avenir doré. Elle le souhaite médecin et dépendant de son «papouilleux», chef de quelque chose dans l’hôpital, pour qu’elle puisse le commander au doigt et à l’œil. On dirait la fée carabosse, avec ses grimaces à la Mr Propre.
Ce personnage, se la joue petite fille tourneuse de robe, qui commande tout le monde dans l’hôpital, pour qu’ils obligent le cardiologue choisi à lui céder. Celui-ci est tombé amoureux, depuis 4 ans, de sa voisine. C’est une informaticienne qui travaille dans l’I.A., mais aussi la mère célibataire d’un garçonnet né avec une maladie cardiaque. Mais Maman Courage ne le considère cependant que comme un très bon ami et le médecin traitant de son fils.

Le père du garçonnet, orphelin adopté, souffrant du même mal que son fiston, n’a pas eu connaissance de son existence, car un malentendu l’avait séparé de l’amour de sa vie, 4 ans auparavant. Il a vécu tout ce temps à l’étranger où il fut opéré avec succès. Il revient car il se dit qu’il ne peut décidemment pas oublier son amour et se retrouve avec un fils inconnu qui doit subir la même opération que lui.

Le cardiologue va d’un côté, décider d’agresser verbalement, l’ancien amour de sa voisine et le vrai père du gamin, de façon choquante. A le croire, il est transi d’amour pour sa voisine. Mais à côté il laisse la pseudo-danseuse lui coller au train de façon plus éhontée que Mlle Scarlett d’Autant en emporte le Vent, ne court derrière le mari de Mélanie. En cela il ressemble a l’Ashley de cette saga anglo-irlandaise du Sud des States. Mais il n’est pas à exclure qu’il y voit aussi le chemin vers un avancement rapide, sentiment inconnu à Ashley.

La Commerciale qui convoite l’Imberbe de Service est la meilleure amie de l’informaticienne.
Cet orphelin est aussi le frère d’une fille que notre héroïne, elle aussi orpheline, avait connu dans sa jeunesse à l’orphelinat.
Il va sommairement et violemment, l’accuser d’être à l’origine de la mort de sa sœur et déclencher la « prudence » de son amoureux et ainsi raviver les quiproquos qui les avaient séparés, 4 ans plus tôt.
Une enquête approfondie démontrera cependant, que c’est l’entêtement et la stupidité de sa sœur, gentille par ailleurs, qui ont provoqué sa mort.
Mais le mal est fait… Son amoureux, manipulé par ce personnage emporté, va briser son cœur une deuxième fois. Bien sûr il regrette et va travailler dur pour ne pas se la perdre de nouveau. Ce qui est incompréhensible c’est que l’accusée à tort, va déclarer que cet écervelé léger et rancunier qui a failli briser sa vie, elle le considère comme « son ami », au nom de l’ancienne amitié qu’elle avait pour sa sœur.
Un mec primaire de la sorte, qui se croit le droit d’accuser avec légèreté n’importe qui, juste pour se venger de la vie, je le tiendrai à jamais très loin de ma famille et de mon cercle relationnel. Prudence est mère de sûreté.

J’ai vu ce drama deux fois…
Le relationnel entre les deux parents qui se rapprochent petit à petit et de ce garçonnet vif et intelligent est un bijou revigorant, drôle et sensible. Les deux personnages du père et du fils sont magistralement joués par deux acteurs aux facéties enlevées. Cette petite tête bouclée joue très bien et est vraiment très bien dirigée. Chapeau bas.

Quant aux deux autres couples, chacun aime ce qu’il aime.
A cause de l’ennui ressenti, au deuxième visionnage, je les ai juste zappés lorsqu’ils interagissent les uns avec les autres en tant que couples en devenir. La télécommande est faite pour ça. Ceci ne vole en rien la compréhension de l’histoire principale.
Merci pour l’attention accordée
L.N.A.-B.B. Jiao


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Ongoing 15/24
Sweet Trap
1 people found this review helpful
by BBJiao
Aug 25, 2024
15 of 24 episodes seen
Ongoing 0
Overall 7.0
Story 7.0
Acting/Cast 6.0
Music 6.0
Rewatch Value 3.0
This review may contain spoilers

Le goût de la trahison

Autour de l'épisode 15, nous goûtons la saveur amère-acide de la trahison à son apogée. La cime, le sommet, l'apothéose. Pan-pan-pan! La Cinquième de Beethoven au rythme de la salsa. Elle a la silhouette d'un gentil personnage aux allures infantiles et qui possède trois expressions:
- celle d'un élève de maternelle, dans la cour de récré, qui aime exprimer à tour de rôle "je suis innocente", "c'est pas moi" en zézayant
- celle d'un enfant fâché qui fait la moue
- celle qui se dit "oups, ça ne marche pas...et bien je suis désolé ge-ge"
Les trois pour obtenir ce qu'elle désire le plus au monde: imposer sa volonté.
Le goût de la trahison, ça marque à vie, ça engendre du stress post-traumatique, ça enlève l'envie de faire confiance en créant des misanthropes. C'est pourtant l'héroïne! Dont on nous demande d'effacer toutes les aspérités, pardonner tous les caprices parce qu'il faudra qu'elle grandisse n'est-ce pas? On a envie de dire au héros: éloigne-toi de ça. Eloigne-toi des égocentriques qui t'entraîneront dans le précipice. Je suppose que les scénaristes trouvent que c'est aisé de nous sortir des personnages à une seule facette qui finissent par plomber l'envie d'accorder davantage d’intérêt à leurs intrigues.
Le problème c'est qu'en France, la légèreté d'être de ce personnage, nous rappelle la Montespan de l'affaire des poisons (XVIIe siècle), qui entre deux minauderies, a entraîné la Cour de Louis XIV dans la tourmente, le peuple de Paris dans les assassinats Louis XIV dans la honte et a laissé dans l'Histoire la trace de l'ignominie. Alors on a un peu de mal à supporter les "femmes-enfants".
Certainement que ce personnage, comme dans beaucoup de drama asiatique saura revenir de ce comportement pour devenir quelqu'un d'empathique.
N. B: Comme toujours, l'acteur principal masculin parvient à donner à son personnage une véritable consistance psychologique qui tient l'ensemble du scénario. Sayonara.

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Dropped 9/12
Kidnapping Game
0 people found this review helpful
by BBJiao
May 8, 2025
9 of 12 episodes seen
Dropped 0
Overall 4.0
Story 5.0
Acting/Cast 5.0
Music 2.0
Rewatch Value 4.0
This review may contain spoilers

Kidnapping Game_ Ou jeux de mains, jeux de vilains

Ce drama tient sur le jeu des 2 rôles masculins principaux, notamment de celui qui est sensé se faire piéger, et dont les performances permettent de soulager l’ennui.

Il était une fois, une gentille héroïne, dont tout le monde vantait la douceur, l’intelligence et la gentillesse, et tout et tout. Elle s’appelait Mlle Sœur-Thérèsa. 😊
Elle était la fille ainée d’un nouveau riche qui avait commencé dans l’Industrie des jeux électroniques et de son amoureuse, qui n’a pas dû faire l’affaire pour un mariage d’affaires et passa à la trappe. Pas assez de « palpable » !!! Watoo dans La menace fantôme (Star Wars).

On ne sait pas trop ce qu’elle devint la mamounette non mariée, mais sa fille grandit avec la sœur la légitime, fille de l’épouse officielle qui devait avoir eu assez de « palpable » pour enfiler une robe blanche en dentelle. Mais celle-ci voulut plus que les affaires… Mais n’ayant pas obtenu l’amour, elle se lassa de ces jeux adultérins, demanda le divorce, tomba malade, mourût et débarrassa le plancher.
Son absence remplit la fille cadette de hargne et de morgue. Lors des jeux de vilains des adultes, les enfants trinquent, jusqu’à ce que leur tour arrive de jouer aux vilains.

Un jour la cadette se saoula et se drogua si fort, qu’elle tomba, la tête contre la table en marbre et mourût à son tour.
Pas difficile de dire à la police, qu’ayant fait l’idiote une fois de plus, avec des produits illicites, elle était tout simplement restée sur le carreau pour de bon. Mais non…
Parce que papa le voulait bien et que Sœur-Théthé le valait bien, le père et la fille vont jouer les abjectes et piéger un pauvre gus qui avait mangé de la vache enragée, toute sa pauvre chienne de vie, afin de lui mettre la mort de la sœur et de la fille non-aimée sur le dos. ☹ Tu parles d’une héroïne sainte-ni-touche…

Et c’est parti pour un scénario compliqué et alambiqué, tordu et retordu comme les colonnes baroques, lourd à digérer comme du rococo.
Voilà, cependant que sœur sainte-truc va tomber amoureuse de sa victime… Mon avis est que le syndrome de Stockholm est dans l’autre sens et que c’est la victime qui s’amourache de son bourreau. C’est ce que les psys racontent en tout cas. Conte de fées compte sur moi !
Bref…
L’héroïne, celle en chair et en os, et non pas la poudre de pavot que l’infortunée cadette avait piquouzé, va regretter du coup, (un petit peu), toutes ses putasseries. Sinon mec, aux usa, avec le zèle moyen attribué aux enquêtes, tu serais juste bon pour la chaise électrique.

En regardant ce drama, mon premier sentiment fut que la fille se comportait comme une garce sans limites et le garçon comme un pauvre cou***on, qu’elle roulait dans la farine avant de le frire. Je serais parti dès le premier épisode mais, j’ai lu des postes si homogènement dithyrambiques, que je me suis vu en train de patienter en zieutant d’un œil.
Il ne manquerait plus, que de leurs geôles, ils s’envoient des messages via des perroquets irascibles, qui ne font pas honneur « au prix qu’ils ont couté ». Pas vrai « Don Salustre » ? La Folie des Grandeurs
Je tire donc ma révérence début du neuvième douzième-temps. Ouf !!! 😊

Avec mes meilleures salutations, je vous remercie pour l’attention accordée. A plus !
L.N.A.-B.B. Jiao

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Ongoing 32/52
My Golden Life
0 people found this review helpful
by BBJiao
Mar 19, 2025
32 of 52 episodes seen
Ongoing 0
Overall 6.5
Story 8.0
Acting/Cast 8.0
Music 4.0
Rewatch Value 6.0
This review may contain spoilers

« Vous êtes sûr que ce n'est pas un genre d’ Abdallah votre Tchang ? »

« Vous êtes sûr que ce n'est pas un genre d’ Abdallah votre Tchang ? »

On regarde ce drama, on se ramasse le personnage de Ji Soo comme un assommoir sur le crâne.
Cette espèce d’ingrate narcissique borderline manipulatrice qui mène la belle vie chez les pauvres en jouant les imbéciles heureuses, et chez les riches en les manipulant avec leur mauvaise conscience.
On prend la voiture et sur une route de montagne on voit un mioche de 3 ans à moitié bouffée par les moustiques et l’avisé l’y laisse car c’est le karma en train de dézinguer le malheur à venir dans le sillage de cette petite peste. Mais bon, le sot-« ne-l’y -laissa-pas »
Ce qui est consolateur c’est de penser que cette famille de pétés eugénistes avec cette psychopathe hypocrite de la pire espèce « ne vont pas rigoler tous les jours » (cf : Astérix en Hispanie)
Elle va à elle seule dézinguer la 3e génération de formatés au syndrome de Stockholm – de père en fils. Notre noble sire Choi Do Gyeong qui essaye de bien faire a bien raison d’aller vivre en paix , loin du ver qui est déjà dans le fruit.
En fait, Ji Soo est une sociopathe de haute volée, pure et dure, comme son grand-papounet et sa tantine. Sa famille : une lignée de grands sociopathes par génération et pleins de formatés malheureux qui obéissent au doigt et à l’œil. Le but de la sociopathe Ji Soo est d’obtenir tout des autres, pour sa propre satisfaction, avec le moins d’efforts possible et surtout en ne donnant jamais rien en retour. Ce sont des coucous. Chez les pauvres, le statut de malheureuse sortie de la montagne a valu à Ji Soo d’obtenir de la part de tout le monde de manger plus, d’être la plus gâtée en ne donnant rien. Si le prix c’est de jouer les imbéciles, qu’est-ce que cela ? Ici son arme est la pleurnicherie de lâche et d’hypocrite.
La confrontation de Ji Soo avec la brutalité de sa famille riche la révèle, d’un coup, dans sa brutalité première. Elle efface de sa mémoire sa famille adoptive et part « coucouter » ailleurs, écervelée et insouciante, comme d’hab. Qu’elle est alors heureuse ! Elle qui n’a plus rien à cirer de sa famille adoptive, va s’en servir quand cela est nécessaire, comme arme afin d’arrêter la brutalité des riches envers elle. En usant de la rhétorique la plus agressive, elle met, avec l’exemple de la générosité de la famille pauvre à son égard, en lumière leurs contradiction d’eugénistes moralisateurs. Elle est juste pire qu’eux tous, à tel point qu’elle va faire exploser tout net la famille qui l’a enfantée, sans le moindre remords…après avoir fait exploser la famille qui l’avait adoptée. Avec le garçon sur qui elle a jeté son dévolu, elle use cependant de moult précautions ! En bon eugéniste qui se méconnaît (ce sont les pires), il avait aimé la capacité de Ji An à travailler, à apprendre, à s’adapter, à être généreuse…bref, à briller. Mais quant à force de servir et de tout donner à sa famille qui ne sait que prendre, au fond, elle s’épuise et déprime. Et perd à ses yeux l’auréole de l’éblouissement. Sans cesser certainement de l’aimer, il va choisir comme compagne la sociopathe qui l’entortille dans ses filets avec son consentement…alors qu’il la méprisait ad nauseam lorsqu’elle jouait les pleurnicheuses idiotes devant sa famille d’adoption.

Le seul à avoir vu clair dans le jeu de Ji Soo est son frère biologique qui l'a enfermée dans une cage à l'âge de trois ans parce qu'elle était déjà impossible.

Gens de haut Quotient Emotionnel soyez certes « simples comme des colombes », mais n’oubliez surtout pas d’être « prudents comme des serpents ». Quand une telle sentence vient de la bouche de Dieu lui-même, il faut méditer avec circonspection. Quant à la famille des chaebols, on le voit tous les jours que c’est ainsi que meurent les FTN et les Empires. Par avarice, méchanceté et orgueil.
LNA B.B.JIAO

P.S. : Belle réflexion sur la tentation du lucre et de l’ambition, des dégâts que ça occasionne et de l’inévitable prix à payer.
Daniel 5 :30-31 Cette même nuit, Belschatsar, roi des Chaldéens, fut tué. Et Darius, le Mède, s'empara du royaume, étant âgé de soixante-deux ans.

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