
Wang Zang Hai, fils de l'Astronome Impérial, a vu toute sa famille être massacrée des mains du duc de Ping Xin. Après avoir appris secrètement les arts martiaux et les stratégies politiques et militaires pendant dix ans, il revient enfin à la cour avec une nouvelle identité dans l'espoir de se venger en devenant un apprenti du duc. (Source : Nautiljon) Modifier la traduction
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- Titre original: 藏海传
- Aussi connu sous le nom de: A Lenda de Zang Hai , Cang Hai Xi Lin , The Legend of the Hidden Sea , Tibetan Sea , Tibetan Sea Opera , Zang Hai Chuan , Zang Hai Xi Lin , Zang Hai Zhuan , Легенда о Цзан Хае , ตำนานจั้งไห่ , 藏海傳 , 藏海戏麟 , 藏海戲麟
- Réalisateur: Zheng Xiao Long, Cao Yi Wen
- Scénariste: Zhao Liu Yi
- Genres: Aventure, Historique, Mystère, Fantastique
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Distribution et équipes
- Sean XiaoZang Hai / Zhi NuRôle principal
- Zhang Jing YiXiang An Tu / Princess Rou YuanRôle principal
- Zhou QiZhuang Zhi XingRôle principal
- Huang JueZhuang Lu Yin / Duke Ping JinRôle principal
- Liang ChaoMaster Gao MingRôle Secondaire
- Song Yuan FuGuan FengRôle Secondaire
Critiques
Le mythe de Monte Cristo à la sauce chinoise !
Ce que j'en ai pensé : Je peux dire qu’il faut vraiment tenir jusqu’au dernier épisode pour avoir la réponse à cette question, car à chaque réponse une nouvelle interrogation surgit ! Les 40 épisodes s’enchaînent parfaitement, créant une véritable addiction, tant l’histoire est riche en rebondissements, coups de théâtre et fausses pistes !Nous avons là la version chinoise du mythe de Monte-Cristo : la vengeance est-elle vraiment la solution ? Comme le Français, le Chinois s’interrogera aussi à un moment sur la justice de sa cause et l’implication d’innocents sacrifiés ! Cette direction nous mène jusqu’à quelques épisodes de la fin, moment où, la vengeance plus ou moins accomplie, se posent d’autres choix à Zang Hai ! La fin, excellente, m’a de nouveau renvoyée celle de notre héros national ! Je me demande si le scénariste chinois n’avait pas lu le père Dumas ! Mais même si le thème de la vengeance familiale nous rappelle forcément quelque chose, « la légende de Zhang Hai » est très profondément chinoise, par l’utilisation en toile de fond de nombreux aspects de la culture traditionnelle : l’astronomie dans la vie quotidienne, la géomancie, le feng shui, les théâtres d’ombres, qui donnent au drama un aspect de réalité historique assez marqué et très intéressant. Cependant nous sommes dans l’univers de la légende, et cet aspect historique est contre-balancé par l’histoire du sceau Guixi, manifestement objet de magie noire ! Mais si l’ombre de cette magie plane sur tout le drama, elle ne se matérialise que par très peu d’effets spéciaux, de même que les combats martiaux qui restent réellement secondaires : le héros ne les a pas appris, ne les pratique pas, même si, heureusement pour lui, quelques personnes de son entourage les ont acquis, eux ! La réalisation a privilégié la méthode « à l’ancienne » où il est inutile de provoquer l’émotion par un déluge de technologie et de câbles, car le talent les remplace aisément, et souvenez-vous de ça quand vous en serez à l’épisode 38 ! Le cœur brisé par du papier…et de l’eau…
Non la grande force de ce drama c’est une intrigue à suspense maîtrisée de bout en bout d’une façon remarquable, et l’écriture de quelques personnages vraiment très étudiés, à commencer par Zang Hai lui même, et je m’incline devant l’immense talent de Xiao Zhan qui, en plus de porter la robe de chambre avec une classe et une grâce incroyables, donne au personnage une profondeur, une force, une sincérité fascinantes ! Bon j’en suis fan depuis « the untamed », mais j’ai pourtant laissé tomber « the longest promise » parce que même lui ne sauvera pas un scénario pauvre et faible !
Tous les autres personnages sont soignés, même les seconds rôles, chacun a ses facettes, ses doutes, même les pires ne sont pas monolithiques et manichéens. Le pire pense agir pour le bien des peuples et sa soif de pouvoir tente de se justifier par le souci de l’Empire ! Il est même un père affectueux !
Et la romance, demandez-vous ? Il n’y en a pas, mais de l’amour, oui, profond, qui se construit peu à peu sans violons…
Je pense que vous avez compris que j’ai adoré ce drama, que 40 épisodes c’est trop peu, que j’en veux encore, que je suis en manque et que je ne vais pas tarder à le revoir ! Maintenant que je sais tout je remarquerai des détails nouveaux !! Ne le ratez pas, je le mets juste après « nirvana in fire » mais tout près tout près !
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