First-year medical resident Madoka struggles with adapting to new workplace reforms in the changing medical field. Luckily, her mentor is a cool and composed Dr. Kanno who holds life in high regard, and helps the other residents meet the constant trials of a two-year residency. Madoka finds comfort in her peers as she confronts the harsh tests of veteran doctors, the challenges of being a female doctor, and life decisions in this richly profound story of personal growth. (Source: TBS Program Catalog) ~~ Adapted from the essay manga "Diary of a Surgical Resident: Madoka" (まどか26歳、研修医やってます!) by Mizutani Midori (水谷緑). Edit Translation
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- Native Title: まどか26歳、研修医やってます!
- Also Known As: Diary of a Surgical Resident: Madoka , まどかにじゅうろくさい けんしゅういやってます
- Screenwriter: Maekawa Yoichi, Funabashi Susumu, Matsui Kana
- Director: Yamamoto Takeyoshi, Imura Taichi
- Genres: Comedy, Romance, Drama, Medical
Where to Watch Madoka 26-sai, Kenshui Yattemasu!
Free (sub)
Cast & Credits
- Yoshine KyokoWakatsuki MadokaMain Role
- Suzuki NobuyukiKanno TakeruSupport Role
- Takahashi HikaruOzaki ChifuyuSupport Role
- Onishi RyuseiIgarashi ShoSupport Role
- Sato RyutaShirosaki TomoyaSupport Role
- Kimura TaeTezuka SaekoSupport Role
Reviews

This review may contain spoilers
A lighthearted and heartfelt diary of a young doctor choosing her path.
The story follows a young doctor who undergoes a two-year super rotation to explore different departments and decide on her specialty. It's exciting to watch Madoka move from one department to another, facing new challenges, learning new things, and meeting new people along the way! It feels like we're peeking into her personal diary as a young doctor.At first Madoka was interested in becoming a surgical specialist, but after experiencing the rotation, she found herself in a dilemma. What she knows for sure is: she enjoys surgery, likes direct interaction with patients, wants to offer support from an internal medicine perspective, and wants to follow her patients’ progress to the end. These realizations eventually become the foundation of her decision.
What I love about Madoka 26-sai, Kenshui Yattemasu! is how light and easy the story is to follow, especially with the use of dolls and baby-talk-style explanations. This adds a unique charm compared to other medical dramas. Plus, there are no villains or hospital politics, just the honest life of a young doctor struggling to choose her path.
What I enjoyed the most was the friendship and sense of family among the doctors. I especially liked Madoka's bond with her classmates, and how the senior doctors in each department always offered valuable advice based on their specialties. Thanks to this drama, I also learned that each department has its own strengths and challenges. It even explores the reasons why each doctor chose their field.
As for the romance, I was skeptical at first, but luckily my ship kept sailing! Even though the romance is just a side plot, I really liked the way Madoka and Kanno’s relationship developed. They're adorable in their own way, especially because they both love the same cartoon, which also inspired them to become doctors. Their secret connection makes it even sweeter.
♡ Overall, I definitely recommend Madoka 26-sai, Kenshui Yattemasu! Especially if you're looking for a light medical drama that still captures the essence of the medical field with a good mix of friendship, teamwork, and a touch of romance! ♡
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Les deux mois de la marmotte
Grey’s Anatomy vous manque ? En particulier les premières saisons où l’on découvrait l’innocence et l’incompétence de jeunes étudiants fraîchement débarqués dans un hôpital ? Vous preniez plaisir à les voir gaffer en apprenant leur métier, tout en explorant intensément leurs relations sentimentales – pour ne pas dire sexuelles ?Si c’est le cas, Madoka, 26 ans, vous replongera dans cette ambiance, que vous ayez déjà vécu ces moments avec Ellen Pompeo et ses camarades, ou que vous les découvriez pour la première fois (même si j’en doute). Ce drama pousse d’ailleurs la réflexion plus loin en s’adressant à plusieurs générations, voire en tentant de les réconcilier, à travers l’opposition entre les médecins issus de l’ère Shōwa et la nouvelle génération « 9h-17h ».
Ce que l’Occident nomme la génération Z est souvent assimilée, au Japon, aux jeunes diplômés de l’ère Heisei (20 à 30 ans), qui revendiquent désormais des horaires de fonctionnaires (je suis fonctionnaire). Finies les heures supplémentaires interminables et les appels professionnels impromptus le dimanche ! Même les futurs chirurgiens comptent désormais leurs heures, au grand dam de leurs aînés. Une tension qui se cristallise particulièrement lorsque ces derniers deviennent les tuteurs des nouvelles recrues, ne tolérant aucun faux pas et imposant une rigueur à laquelle les jeunes semblent moins habitués.
Ces thématiques sont au cœur du drama. Yoshine Kyoko, notre héroïne, semble avoir dû ingurgiter un bon nombre d’épisodes de Grey’s Anatomy pour incarner avec justesse l’inexpérience des jeunes internes. Le doute, l’incompétence – réelle ou ressentie – et les choix cruciaux de vie et de carrière résonnent avec ces stages enjoints de rotation tous les deux mois. On ne peut rien reprocher à la qualité de la série, qui reprend tous les codes des bons dramas médicaux : un casting intergénérationnel au sommet, une mise en scène efficace et, malgré son énième rôle de médecin, Suzuki Nobuyuki charme toujours autant sans en faire trop.
Cependant, bien que la série mette en avant l’émancipation des « 9h-17h » face à leurs aînés, elle n’échappe pas à une vision paternaliste du rôle des anciens, omniprésente. Je pense notamment au directeur de l’hôpital, figure du vieux sage, ou, pire encore, à l’ascendance excessive de Suzuki Nobuyuki sur Madoka dès le premier épisode. Bien sûr, on cherche à souligner le côté romantique de leur relation, mais, comme souvent, notre frêle héroïne ne réalise pas l’amour et la protection que lui prodigue cet homme, viril et mystérieux. Une dynamique de domination masculine sur une femme jugée vulnérable refait ainsi surface. Sans parler du comportement étrange du petit ami officiel de Madoka, qui renforce encore cette impression d’emprise.
La série pourrait s’adresser à un public en quête d’identité et de reconnaissance dans la société, mais, à l’image d’une marmotte sortant timidement de son terrier, le vieux monde résiste, et l’aspect romantique vient légèrement gâcher le dépassement de soi. Madoka a 26 ans et doit encore suivre deux années de formation en rotation, ce qui, si mes calculs sont bons, représente 12 épisodes et autant d’histoires parallèles vite oubliées une fois visionnées. Pourvu que la conclusion ne s’arrête pas sur la fameuse date de péremption des 30 ans ! J'essaye de faire de l'humour, tout comme les auteurs si sont attelés avec une certaine réussite, car au final, c'est ce qui va me faire continuer le visionnage de la série.
Mais ça risque d'être insuffisant, pour finir les deux années et valider mes 12 UV. J’attends du développement, des intrigues solides, des changements radicaux qui ravivent l’intérêt. Introduire comme point essentiel l’incompétence et la supposée paresse de la jeune génération pourrait donner lieu à des moments forts pas seulement dans l'humour, , mais je crains que l’on reste cantonné au déroulement classique des dramas à mission éducative, voire moralisatrice. Dépasse-toi, car tu deviendras la meilleure... Espérons que la série nous surprenne en allant au-delà de ce schéma trop convenu. Je raviserai ma chronique dans ce sens, mais je n'ai à ce jour fait mon stage que dans 3 épisodes. Et tout comme Madoka, je ne suis pas sortie indem de ce dernier.
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