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Inizialmente si ride ma poi la sceneggiatura si perde
Un titolo che si è rivelato un po' una delusione. Insufficiente no, perché per la prima metà mi ha divertito abbastanza, ma di sicuro non mi sento di assegnare un punteggio altissimo. Parte inizialmente scoppiettando, una commedia degli equivoci in cui c’è la solita donna che si traveste da uomo per studiare medicina e potersi infiltrare nella casa della famiglia dove le hanno ucciso i genitori, per vendicare il torto subito. Ricordiamo che travestirsi da uomo, in queste circostanze, è passibile della pena di morte. Invariabilmente, i due personaggi principali si innamoreranno, con l’aggravante che il povero comandante darà di matto al pensiero di provare strani sentimenti per quello che crede essere un uomo.La storia si svolge nella casa di famiglia di un rinomato comandante dell’esercito che, ovviamente, è assurto ad alti gradi da giovanissimo ed è, altrettanto naturalmente, severo e soprattutto bellissimo. Nella prima parte del drama si ride abbastanza, sia pur senza vedere nulla di strepitoso, ma già a metà si comincia a scalpitare perché la farsa dell’identità nascosta della protagonista viene protratta troppo, e stufa. Quando finalmente la verità viene parzialmente rivelata, a due terzi del cammino, il giocattolo purtroppo si rompe del tutto: partono diverse puntate di noia, per arrivare poi ad un finale affrettato e talmente telefonato da gridare vendetta.
Nel contempo gli attori principali sembrano aver dimenticato, se pure mai l’han saputo, come si faccia a recitare. Le espressioni in qualche modo esagerate della commedia o della farsa dovrebbero lasciare il posto ad altre più misurate per gli episodi più drammatici ma, a maggior ragione, più espressive. Ciò purtroppo non accade. Il protagonista maschile pare reggere da solo, con la sua sola bellezza, non certo con la sua bravura, l’ultimo terzo della serie. Sun Qian si barcamena senza infamia e senza lode. Gli altri? In un modo o nell’altro, poco o del tutto non pervenuti. Fanno eccezione l’attendente del comandante e il dottore/mentore della protagonista. Soprattutto quest’ultimo è un eccellente caratterista, visto con la stessa bravura in Joy of life. Sinceramente qui pare quasi sprecato.
La sceneggiatura fa acqua da tutte le parti. Per tutta la serie qualcuno viene mandato a “indagare” da qualcun altro. Come, dove e con chi non è dato sapere. Diverse cose vengono lasciate in sospeso o si glissa con l’equivalente di “con l’imperatore me la vedo io”, specie per quanto riguarda il grave crimine del travestimento della dottoressa. Si sta sull’orlo della sedia per tutto il tempo aspettando l’irruzione delle guardie dell’imperatore, invano. Sarebbe stato forse più interessante vedere qualche minaccia esterna che non fosse strettamente legata agli avvenimenti del passato: il cattivo di turno, che era al corrente della mascherata, non sfrutta la cosa per nuocere alla famiglia del comandante, che odia, preferendo scegliere altre strade più “coreografiche”, ma meno sicure. La sua eliminazione, e la sua identità si era indovinata già da almeno una dozzina di episodi, non ha un briciolo di pathos, è troppo affrettata. Ci si aspetta già cosa accadrà e, in ogni caso, non viene spiegato come si sia arrivati a quel punto: come è stato scoperto costui?
Aggiungiamoci poi che non tutti i cattivi vengono adeguatamente puniti: un messaggio non proprio edificante. La crescita caratteriale dei personaggi a tratti non è molto credibile, i loro conflitti interiori generano spesso più moti di fastidio che di comprensione. Il fratello del comandante, cui è assegnato il canonico ruolo di disturbo della coppia principale, è tutto fuorché verosimile. I due cugini servono solo a farci provare dei moti di stizza per il tempo che ci fanno perdere quando sono sullo schermo. Buono il commento musicale, con alcune canzoni godibili e dei buoni pezzi strumentali, ma è un po’ poco per risollevare le sorti di questo titolo. A tratti, pare davvero che si regga sul bel faccino di Huang Jun Jie. Intendiamoci, un bel faccino che, quando sormonta i bei costumi della serie (belli ma pochi), magari con armatura e spada, smuoverebbe le montagne. E in regia lo sanno bene, visto che spesso possiamo godere di primissimi piani. Ma le sue doti di attore purtroppo non paiono, almeno in questo titolo, all’altezza del suo magnifico aspetto esteriore.
Le ultime puntate sono di una pesantezza estrema, la corsa al finale viene gestita in modo proprio pedestre, ho continuato a guardare solo perché erano proprio le ultime quattro e volevo vedere come andasse a finire. Quando un titolo ti diverte e appassiona, vorresti che non finisse mai. Se non vedi l’ora che finisca per passare ad altro vuol dire che c’è qualcosa che non va.
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Une histoire de Vendetta à la mode bouddhiste
Quelque part pendant la Dynastie Tang, parait-il. A cause des fringues et de la femme qui ose être médecin (pas la seule d’ailleurs). Entre 618 et 900 a.D. en gros.An départ on pense que c’est la lutte d’une femme qui veut devenir médecin.
Que Nenni !
C’est une histoire de Vendetta à la mode bouddhiste. En gros les ressorts logiques sont les suivants …
Si le survivant d’une catastrophe, fait le choix de vivre en paix, les morts de la famille ne vont pas pouvoir roupiller et vont devenir insomniaques. Par contre s’ils massacrent des innocents qui ne sont pas responsables des péchés de leurs aïeux, alors les parents dans l’au-delà vont pouvoir ronfler bruyamment tandis que leur progéniture va perdre le sommeil, aller en prison, se fait peut-être tuer à son tour, en tous cas semer de la haine à tout va dans la génération suivante.
Lorsqu’on prend des vieux livres sur le bouddhisme, quand il arrive en occident, début des seventies, on essayait de nous expliquer, laborieusement, que Bouddha, gras et replet en Chine, maigre et hirsute en Inde (pour ne parler que d’eux), dit que ce qui est mauvais ce sont les désirs. Pour vivre heureux faut vivre sans désir.
C’est quoi la limite ? Hmmm ?
Par exemple, si on a froid, désirer un manteau, est-ce un crime ?
Mais concernant les accidents et les crimes, là, l’explication bouddhiste de la mort exige la vendetta. Les morts désirent la vengeance et ils le peuvent, eux, désirer à tout va.
Et les pauvres mioches vivants subissent leurs désirs ! K.O. par uppercut.
En Occident, l’idée venant de la bible est que « l’âme qui pêche est celle qui mourra » et aussi « tu ne feras pas tomber sur les enfants la faute des parents ni sur les parents la faute des enfants ». Cette idée est ancrée dans l’inconscient populaire des peuples qui ont adopté le christianisme.
Ce bouddhisme occidental des seventies, semble n’avoir rien en commun avec le bouddhisme en Chine et en Corée, où il se centre sur la haine acceptable, imposée et nécessaire. Et les Drama y trouvent leur fonds de commerce.
Si la justice est essentielle chez un peuple, la haine est néfaste, car elle n’apaise personne et crée des problèmes sans fin.
Dans ce Drama, ça va se la jouer, comme suit !
Cela se passe dans une société brutale, où les hommes se permettent n’importe quand, de ramener à la maison n’importe quelle pouffe, qu’ils ont ramassé dans une gouttière dégoutante ou dans un lupanar, pour souiller dans la joie, le lit conjugal de l’épouse de leur jeunesse.
Pas de droit et pas de justice ? Pas de paix, les gars !
Là, une noble de titre mais pas d’âme, Dame Ji, se marie un Général, certainement sous le mode « je te contrains ». Celui peut l’impose basé sur ses intérêts seuls ! Puis les parents meurent. Le mari est enfin devenu le seul calife vivant du village. Et il se lâche. C’est enfin à son tour de malmener tout le monde. Et il commence par ramener une pouffe sans préavis.
Dame Ji, ne vas pas l’accepter et je la comprends.
Elle vit dans une société eugéniste qui lui fait croire qu’elle a plus de droits que les autres, car dans une autre vie elle a gagné la carte Joker. Elle y est poussée par une âme noire qui est là pour venger sa tribu voyoute de brigands qui semaient le chaos dans une montagne. Sur ordre de l’Etat le Commandant va arrêter leurs crimes, leurs vols et leurs viols. Pour s’en venger, ils ont infiltré sa famille de toutes les manières.
Au nom de la vengeance, l’âme noire, va même tuer à sa place et sans son consentement et lui faire prendre la responsabilité de ses crimes. Car cette femme outrancière et orgueilleuse, une fois bafouée et apeurée, et manipulé par ce personnage hideux. va se défendre à coups de meurtres.
Ainsi aidée, l’épouse légitime, va d’abord tuer la sale-up qui rentre dans sa maison pour lui donner un coup de pied dans le dos, lui casser la colonne vertébrale, l’éjecter de son lit marital et pondre un mioche qu’elle utilise contre le premier fils, qui comprends que, sans raison, son père le bat tout à coup froid.
Le ge-ge-néral de mari, prendra après ça, une troisième pet-ass, une qui vient du village qu’il vient d’écrabouiller. C’est d’un chic…. Un petit souvenir de son voyage…
C’est surtout sans prudence. Pour un défenseur attitré par la Cour, on repasse.
Sauf que la donzelle, tout fraichement cueillie, elle est roublarde et enjôleuse. Elle n’est venue là que pour faire plaisir à ceux de sa tribu qui veulent se venger. En attendant, elle se la coule douce en attendant de détruire toute la famille du grand soldat Ji, que la femme va empoisonner à son tour. Ains, il ne ramènera plus de pouf.
Les mecs, « comme on fait son lit on se couche ».
Un malheur n’arrivant pas seul, dit-on, elle va se servir du médoc dangereux d’un médecin, (problématique très actuelle) qui veut préparer un antidote. Elle va accuser à tort et faire exiler la famille du Médecin Shen. L’âme noire va les tuer sans ordre puis lui faire avaler la responsabilité.
Une idiote je vous dis.
Elle ne va pas tuer le fils de la concubine, qu’un fils de chef de la montagne a approché pour lui dire pendant des années qu’il est son meilleur pote. Elle va le garder pour jouer la belle-mère-matrone parfaite à la mode des anciens vikings. La louve dominante s’accapare les petits des louves soumises. Y a des systèmes mauvais partout.
Pour l’heure les enfants ignorent tout. C’est sans compter avec les loups ravisseurs des montagnes
Croyant donc avoir résolu tous ses problèmes, elle va faire la fortune d’un monastère dont la doctrine enseigne d’un côté la vengeance aveugle, et de l’autre le rachat de ses fautes par des dons en argent et en encens.
What else ?
Pour éviter cela, la Bible a donné la « Lettre de Divorce à cause de la dureté du cœur de l’homme », tout en spécifiant que le désir de Dieu c’est que l’homme n’ait qu’une seule femme, « la femme de sa jeunesse, biche des amours, gazelle pleine de grâce ».
Une gamine, pourtant, va réchapper de son carnage bien prémédité.
C’est la grande amie de son fils biologique. Un grand amour les réunit petits
Elle deviendra à son tour médecin et fera des pieds et des mains pour rentrer dans le manoir Ji, pour essayer de connaitre la vérité et se venger, évidemment.
Déguisée en garçon, avec ses 40 kilos, ses os d’oiseau, son visage poupon et mignon, sa taille de guêpe est ses hanches pour accoucher, sa voix fluette, sa pomme d’Adam absente et ses poils partis en voyage, et enfin ses proportions tête-épaule de fille, elle va pourtant tromper pourtant, le Jeune général Ji
Le fils de la concubine, lui, va tout suite voir que c’est une fille, et en avoir la preuve en lui touchant les ni.chons. Vulgaire, n’est-il pas ?
Puis il va tomber amoureux de la Doctoresse, qui elle, match avec l’amoureux d’enfance. Mais il est de ce gens qui croient qu’ils peuvent prendre les autres comme on prend des sacs de patate. Un comportement indécent.
Les quiproquos sur ses hormones féminines auprès du jeune Général Ji Heng, vont durer quelques 30 épisodes, avec ce faux frère qui va pousser la fille à la méfiance, pour qu’elle cache coute que coute qu’elle est une fille à son frérot. Pour ce faire, elle va jouer les garçons lubriques. Pas trop de stress, mais lourd et pas crédible du tout.
Quand tout va exploser, mazette !!!
C’est presque le bombardement de Dresde. Sous la pression des voyous de la montagne, infiltrés en ville et les mensonges de l’homme de main de la mère, aïah ! Aïsh !
- le fils filial de l’empoisonneuse va vouloir prendre la faute de sa mère sur lui,
- le fils de la concubine va vouloir se venger de la mort de sa mère, séparer et prendre la fille par manipulation et mensonges. La seule chose qu’il ne va pas faire c’est la violer comme lui susurre, son faux pote et vrai bandit de la montagne.
- la fille-médecin va poignarder l’amour de sa vie,
- l’empoisonneuse meurtrière-en-chef et marâtre à temps complet, « Ze Mother, » va se donner le droit de faire justice elle-même et dézinguer la belle de son fils, pas encore vraiment mort.
- Le fils de la concubine la menace de guerre thermo-nucléaire globale, si elle touche à l’objet de ses convoitises-en-chef. Ne désire rien qu’on t’a dit…
Mamounette a le cœur brisé parce qu’il lui donne du Madame… Elle tue une mère et s’attend à ce que le fils de celle-ci l’aime à donf.
-Mais la Mother a aussi les pétoches, alors elle donne cette fille a ce cuisinier des mensonges comme un sac de carottes.
- Le fils de concubine, se fait passer pour l’amoureux d’enfance, avec les souvenirs que son frère mourant, qui les lui a racontés. Ah l’honneur et fidélité des chevaliers ne se trouve guère chez ce félon.
-Et enfin il l’emprisonne quand elle veut venir le sauver. De quoi perdre définitivement le cœur de quelqu’un. Mais aurait pu lui enseigner l’amour dans un système de maltraitance et de haine. Quand je pense qu’au.jour.d’hui des hommes fantasment sur des harem…
***Purée !***
Vraiment un peu trop Too Much. Vous ne trouvez-pas ? ☹ !!!
Ça a commencé comme un Drama léger et progressif à la chinoise et devenir vers la fin, un imbroglio lassant à la coréenne !!! Je suppose qu’après ce saut-bien-périlleux, le Drama va retomber sur ses 4 pattes, sans nous laisser le temps de digérer et de décompresser. Wait and see !!!
Oille ! Ne causons pas comme chez les anglois !
Alors… « Attends et regarde ».
« Egâde », comme nous le disent si joliment les chinois !
L.N.A.-B.B. Jiao
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