In 2003, Makiya Minato attends high school in Okinawa as a senior. He meets junior student Tamashiro Miu from the same high school. They share the same love for music and are attracted to each other. On Minato’s graduation day, he confesses his feelings to her, and they begin to have a romantic relationship. Then, Minato’s mother dies from a disease. Minato is about to give up on his dream of making music, but Miu persuades him to go to a university in Tokyo. Two years later, Miu comes to Tokyo. They reunite and enjoy their time together while Miu pursues her dream of becoming a translator. One day, Minato suddenly breaks up with her, and he disappears. (Source: AsianWiki) ~~ Adapted from the song "366 Nichi" (366日) by HY. Edit Translation
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- Native Title: 366日
- Also Known As: 366 Nichi
- Director: Shinjo Takehiko
- Genres: Romance, Life, Drama
Cast & Credits
- Akaso EijiMakiya MinatoMain Role
- Kamishiraishi MokaTamashiro MiuMain Role
- Nakajima YutoKayoda RyuseiSupport Role
- Tamashiro TinaMochizuki KasumiSupport Role
- Inagaki KurumiKayoda HimariSupport Role
- Saito JunKinjo KotaroSupport Role
Reviews
A Tearjerker Beautifully Done
A beautiful movie that touches the heart thanks to a well-executed plot supported by the amazing cast. Definitely a Tearjerker. This movie is for you if you love slice-of-live, romance, family movies. Bonus, makes you want to visit Okinawa and eat sata andagi.The cast members were amazing in their roles but Nakajima Yuto as the second male lead Ryusei and Inagaki Kurumi as Himari in my opinion, really stole the show. Ryusei's scenes towards the end, one with Himari and one with Miu made me cry the most. In fact, you could also consider this movie as a family movie, about the love between father-daughter and how you don't have to be blood-related to be a true family.
The story involved multiple time jumps. There were three eras, the leads as high school students, the leads as young working adults, and all the way to the current time - in 2024 in their mid-late 30s. So you might need to pay attention to follow the movie. It is still relatively easy to follow.
On the downside, other than the time jump, I would say there really should be more scenes with Ryusei because he would be a fan favorite character. In fact, the character seemed a tad too flawless because of his capacity to love Miu no matter how much time passed and despite the circumstances. Anyone would want a Ryusei in their life too.
Other than that, the house Miu and Minato lived in in Tokyo seemed too expensive for two young adults who recently moved to the city for work, with one remaining unemployed.
And as much as the illness plot is cliche, it is used two times in the movie. It is still OK and I guess that's how the writers wanted to tie the story together. I understand Minato falling sick because his mother also had the same illness. But making Miu sick just to unearth their past is a bit questionable to me - especially because we were told Miu was really sick, might not have much time to live but they really only made her look super pale, she wasn't hooked up on the machines or anything and there was no explanation on what illness she had.
The movie is based on HY's song 366 days but there were other songs used too. They were all beautiful and the lyrics were beautiful. No complaints on this whatsoever.
All in all, I understand why this movie was a surprise box office hit in Japan. It wasn't just a Tearjerker or pure romance, it had so many elements so many people could relate themselves to, and it left you feeling warm. Either you're a student dealing with your parents and young love, a job seeker trying to find your place in the world, having a one-sided crush, facing the impending loss of a loved one, there's something for everyone.
Truly, there were no bad characters and you would emphatise the decisions they made even if you disagree with them. I hope this movie wins awards, especially on the acting parts.

Une année bissextile par an
J’avais vu passer 366 Days en début d’année, mais, encore traumatisé par le drama éponyme de 2024, j’ai longtemps hésité à le visionner en entier. Et cela malgré toute l’admiration que je porte à Kamishiraishi Moka, surtout pour sa douceur musicale. Les premières minutes, la montrant en jeune maman bien trop maquillée pour son âge, ne m’avaient pas convaincu. Encore une histoire d’évocation de souvenirs "d'avant que la mort ne nous sépare"… Les maladies fulgurantes sont trop souvent des facilités scénaristiques dans les productions japonaises. Tout le monde n’est pas Miyazaki Hayao, capable de transcender ce postulat de départ. Et je ne parlerai même pas de la réutilisation, pour la centième fois, d’une vieille chanson populaire censée éveiller l'intérêt du spectateur trentenaire…Mais ne partez pas encore ! Car même si le hasard (je l’espère) a conduit à la réutilisation du même tube en moins d’un an dans deux médias différents pour construire un scénario, on n’est pas sur la même longueur d’onde. Même si les actrices Hirose Alice et Adieu partagent quelques points communs — un sourire reconnaissable, des maladresses, une certaine espièglerie — 366 Nichi, le film, m’a davantage convaincu. Je n’ai pas pu retenir mes larmes, malgré mon âge avancé…
Ou peut-être à cause de lui. Car au-delà de la romance impossible et des triangles amoureux maladroits, une réflexion bienvenue sur la filiation parcourt les deux heures du film. Un peu appuyée à mon goût, mais bien réalisée.
La chronologie inversée fonctionne, même si on a du mal à voir vieillir les acteurs — surtout les hommes, qui semblent avoir 30 ans même à 18. C’est raté de ce côté-là, d’autant plus qu’Adieu ne parvient pas à incarner un personnage de cet âge. Le jeu n’est ni spécialement bon ni mauvais, mais il reste en décalage avec les propos ou l’âge des personnages. Moka-chan, elle, est mignonne comme il faut (comme le dit d’ailleurs une des répliques), façon "bonne copine", ce qui facilite l’identification, j'imagine.
Ce qui n’est pas le cas de ses deux prétendants qui, malgré leurs cheveux sales, paraissent tout droit sortis d’un groupe de Johnny’s sur le retour. En même temps, le film se passe en grande partie à Okinawa, paradis de la surf-attitude, ce qui permet de profiter d’une Moka-chan au teint hâlé, même si cela frôle parfois le fond de teint au carotène, malheureusement.
Mais ne boudons pas notre plaisir de voir des couleurs chatoyantes. On assiste ici à une véritable publicité pour une lune de miel à Okinawa : du bleu, du vert, du jaune, des rochers découpés qui flattent la rétine… Cela justifie à eux seuls les deux heures de visionnage. Le film surpasse le drama non seulement par son scénario (bien différent), mais aussi par sa production cinématographique.
La chanson-titre, quant à elle, est très discrète et n’apparaît qu’à la toute fin. Une belle différence avec le drama. Même si les références aux paroles et au titre deviennent trop appuyées à ce moment-là, perdant un peu de réalisme dans l'histoire. Le hasard n’a pas de mémoire, mais ici, on flirte avec la SF. Comme dans quasiment toutes les romances, vous ne serez pas à un hasard un peu trop appuyé près : « On a failli se rencontrer, car on était au même endroit au même moment », etc. C’est toujours au moment où il ne faut pas que le téléphone sonne, et ici, c’est un peu "too much".
Cela dit, ne vous inquiétez pas : l’émotion est bien là, notamment grâce à la présence de jeunes acteurs, véritable atout de ce mélo plutôt convenu. Inagaki Kurumi, à peine 14 ans, fera encore parler d’elle — il faut dire qu’elle enchaîne les films et les dramas depuis déjà dix ans.
Mon seul vrai regret : les références appuyées à la musique populaire tout au long du film. Surtout avec l’une de mes chanteuses fétiches dans le rôle-principal… et pas une seule chanson de sa part jusqu’à la fin ! La chanson-titre (et son clone, vous comprendrez au générique) arrive comme une bouée de sauvetage pour un spectateur noyé dans un Océan Pacifique de larmes.