Sannin Fuufu (2025)

Ce qu'il faut savoir quand c'est du Pervers

Une seul étoile car on ne peut pas mettre zero etoile. Et c'est bien dommage.

C'est une série à effet pervers pour écrire poliment, vide de sens, créée pour du sensationnel, ou faire passer le temps quand il n'y a rien d'autre. Quoique ce soit rare qu'il n'y ait rien d'autre car de bons dramas il y en a heureusement !

Les relations humaines amoureuses et familiales, fantasmées ou proches du réel, j'aime les regarder. Surtout que les histoires ont bien pour vocation d'être divertissantes, enrichissantes, des repères pour notre monde sensible. Elles existent dans un cadre légal et sain afin de préserver la santé mentale et physique de chacun, parents et enfants .

Mais hélas ici on est baladé pour le "fun", si on pense que cette historiette l'est, et ce n'est pas du tout ce que j'ai ressenti. Donc c'est juste un petit commerce.

Les personnages sont très approximatifs, Les acteurs ne sont pas très doués, l'histoire est bancale et invraisemblable, et avec la "fin" on revient vite au début !

Personnage féminin principal : falote, naive, mièvre , qui aime se faire balader donc. Elle veut se marier et fonder une famille ce qui est légitime avec son copain du moment, mais le présente à son ex. Ah. Heu :bien évidemment elle rentre à la maison un soir et trouve avec son copain avec son son ex au lit après une séance de galipettes à laquelle elle n'a pas été pas conviée. Et puis il y a la suite des épisodes...Mariage ? Bébé ? Heu ...

Personnage principal masculin : L'ex de la pauvre héroîne . Un homme qui dit qu'il "veut faire plaisir à tout le monde", qu'il aime encore son ex, qu'il veut se marier, etc. C'est un homme très très malheureux qui veut bien essayer en deux temps trois mouvements un "trouple" du coup. C'est logique.. Cela s'appelle comment ce type de personne déjà...

Personnages masculins secondaires : Un type qui danse et veut uniquement devenir une star, bien qu'il ressemble à un pauvre poulet malheureux qui a beaucoup souffert, qui refuse le mariage et les enfants à sa copine (mais bien sur il l'aime n'est-ce pas) sauf si sa copine est d'accord avec lui pour qu'il y ait un autre homme, (avec des sous et une situation hein). Heu cela s'appelle comment ce type de personne déjà.. Ce "danseur" très moyen a parfaitement conscience que sa copine souffre de son refus de s'engager qu'il a du mal à ne verbaliser... Comme ça, fait il croire à sa copine, s'il y a un mec solide avec eux deux elle peut enfin être heureuse et certaine d'être à l'abri. Ils pourront être heureux tous les trois. Logique. Sinon... pas mariage. Ce danseur est doué finalement. Il va séduire charitablement l'ex de sa chère copine dès leur première rencontre en faisant alliance avec celui-ci, ( un danseur sans empathie ça existe, oui, c'est un peu sexy, il est beau parleur et bon comédien pour ça) : en lui faisant des tas de compliments, en poussant la voiture en panne du monsieur, en buvant avec lui, en l'excitant avec des effleurements, des attouchements, en allant à la pêche, puis une dernière fois émotionnellement et sexuellement en le flattant, et en pleurant, pour "voir comment ça fait d'etre b.../aimé par un homme tel que lui.. Bref un prédateur plus ou moins habile puisque ça va marcher ! Le frère aîné du danseur qui arrive finalement, mais ne semble pas avoir d'avis bien net sur la question du trouplisme. (mais d'ailleurs : auraient ils enterré un corps dans une forêt ? ... suspense).

Personnages féminins secondaires: Une amie homosexuelle qui se marie puis divorce. Dommage, car il semble que ce soit une personne qui ait les pieds sur terre. Une autre amie qui ne veut pas d'amoureux mais propose le mariage sans sentiment et avec "sexe pas sérieux" au célibataire en transit. Une maman un peu fatiguée depuis son veuvage. Une deuxième maman foldingue adepte du "fan idolisme" et très mauvaise comédienne, qui n'apprécie pas les "gay" mais bon les "bi" ça peut passer. Ouf.

J'ai vraiment l'impression qu'un tel scénario a été écrit au fur et à mesure de sondages divers et variés, peut-être d'articles journalistiques. De quels pays au fait ?

Pour couronner le tout, et tout au début, suivez moi bien (ou bien s'il vous plaît essayez?) on entend une voix enfantine. Dans une histoire de plan à 3. Une voix d'enfant narrant l'histoire. Qui est en fait celle d'un petit lapin. Décédé pour le coup.

Sisi, Un lapin. L'animal fétiche de l'ex du début...

Ca me rappelle les gadgets sexuels évoqués lors du plan à 3, qui ne sont pas montrés fort heureusement.

Quant à la "musique", en fait on dirait une jolie comptine rigolote. Bien entendu c'est tellement léger comme sujet !

Ps : C'a été programmé sur TBS Japon les mardi à minuit.

Ps2 : Regardable chaque samedi après midi pour les plus de 13 ans sur Netflix !...

De qui s'est-on moqué ?

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It's Either The Three Of Us, Or None Of Us

This show was such a fun and sweet experience. I genuinely looked forward to it every week, I liked these three weirdos and their chaotic softness.

The premise is kind of wild in the best way, it starts off with a child narrator talking about Takuzo, a lonely guy who’s starting to think about marriage. Then there’s Mia, his ex, now dating a younger dancer named Shinpei. Things get interesting when the two attend a lesbian wedding, and Shinpei just casually suggests, “Hey, what if the three of us got married?”

At first, Mia’s thrown off (understandably), and instead of confronting it directly, she takes her boyfriend to her ex’s place, hoping it’ll stir some jealousy and kill the idea. But surprise, Shinpei and Takuzo actually hit it off. Not even a hint of rivalry. They get along so well it catches Mia off guard.

The sweet twist early on is that the child narrator turns out to be Pakhun, the pet rabbit Mia and Takuzo raised when they were dating. He’s been watching over them from rabbit heaven this whole time. That reveal mid-ep 1 was such a funny, touching moment and instantly made me love the tone the show was going for.

Throughout the episodes, we slowly unpack each character, we got some focus on Takuzo, his past, his insecurities, and his lingering feelings for Mia. We meet Sayo, a co-worker who shares his random hobby of building Lego cities. She believes in platonic friendship between men and women, but the show teases her as a love rival. Honestly, I wish they’d kept her strictly as a friend. The trio dynamic was strong enough, and her romance subplot felt unnecessary.

One of the highlights for me was how the show portrayed the trio relationship. It had its ups and downs, but it wasn’t over-dramatized. The three of them actually talk, support each other, and even argue in a realistic way. When Takuzo gets sick and Mia and Shinpei come over to take care of him, I was like okay, these three are already kind of living like a family. You can really feel how their connection grows, slowly and believably.

The final episodes bring everything together. There are a few emotional stumbles, some pushback from people around them, but nothing overly cruel or unrealistic. Even the mothers’ reactions were done well, shocked but not villainized. They take time to process, then try to support. It felt grounded.

And the ending was So cute. The trio basically says: it’s either the three of us or none of us. And they actually go through with the marriage. The show doesn’t treat it as a joke or phase, it gives them a real, soft, happy ending.

My only real critique is that while the show depicts a poly relationship, it doesn’t feel like it was written by someone who’s poly or queer. There’s a slight outsider lens, like it’s more of a thought experiment than something personal. It’s respectful, yes, but not quite as layered or lived-in as it could’ve been.

Still, overall, Sannin Fufu was a warm, charming, and refreshingly odd little gem. It didn’t always hit super deep, but it knew what it was doing: telling a story about people figuring out how to love each other in a way that works for them. And that’s honestly enough.

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