Tokushige Akira works as a general practitioner in a newly established general medicine department of a hospital. The specialty of general medicine is the 19th new field in Japan's medical system, which was previously classified into 18 specialties. Doctor Tokushige Akira examines his patients and takes into account their lifestyles, home environment, and state of mind, regardless of their gender or age. His greatest weapon is not his surgical skills or his ability to detect a disease immediately, but his questioning of patients and listening to what they say. Sometimes he sees through a lie hidden behind a patient's story. Through repeated conversations, he is able to find the best solution and lend a helping hand to their way of life. (Source: AsianWiki) ~~ Adapted from the web manga "19 Banme no Karte: Tokushige Akira no Monshin” (19番目のカルテ 徳重晃の問診) by Fujiya Katsuhito (富士屋カツヒト). Edit Translation
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- Native Title: 19番目のカルテ
- Also Known As: 19 Banme no Karte , 19 Banme no Karte: Tokushige Akira no Monshin
- Screenwriter: Tsubota Fumi
- Director: Aoyama Takahiro, Tanazawa Takayoshi, Izumi Masahide
- Genres: Drama, Medical
Cast & Credits
- Matsumoto JunTokushige AkiraMain Role
- Koshiba FukaTakino MizukiSupport Role
- MackenyuTogo KojiroSupport Role
- Kimura YoshinoArimatsu ShioriSupport Role
- Tanaka MinAkaike NoboruSupport Role
- Shimizu HiroyaKayama KeitaSupport Role
Reviews

Docteur Knock, ou pas
La bataille pour le meilleur J-Drama médical est à encore rude cette année. Dr Ashura m'a passionné ce printemps et je me demandais quelle valeur accorder à Doctor Price. Mais celui-ci m’a choqué par son approche financière et m’a poussé à consulter un autre spécialiste assez vite. Avec son titre improbable désignant de manière péjorative une des spécialités en médecine moderne, j’ai osé prendre rendez-vous avec ce drama pour continuer à avoir ma dose de Fuka-chan après sa performance dans Married My Husband Japan, mais aussi pour son ending rappelant qu'il n'y a qu'une seule chanteuse qui sache vraiment écrire des folk songs au Japon : c'est bien sûr Aimyon.Mais je m'égare, car vous, c'est le côté « l'amour à l'hôpital » ou « super neketsu doctor » qui vous fait vibrer. Alors, ce énième byouin drama va-t-il répondre à vos attentes ?
Baisse de la natalité ou crise des vocations, la France n'est pas première en la matière. Au Japon, il n’y a plus beaucoup de bébés depuis longtemps et les médecins généralistes sont encore moins nombreux. Moins de 3 % des futurs docteurs choisissent cette spécialité qui n'est même pas considérée comme telle par leurs pairs. D'où ce titre repris du web manga éponyme, la plaçant après les 18 vraies spécialités. Vous imaginez donc un Matsumoto Jun que personne n'attendait dans la vraie vie, se faisant déjà rare dans les séries ces dernières années, et débarquant dans cet hôpital en revendiquant une place de médecin généraliste. Son avis est méprisé lors des réunions, mais sa personnalité va certainement vous séduire comme elle séduit au fil des épisodes ses collègues confondant hôpital et usine.
En effet, il est la grande force de la série, reléguant Fuka-chan à une simple assistante condamnée à lui « servir la soupe » par son admiration. Empathique est un euphémisme tant il sait écouter les patients, les analyser, les comprendre. La gentillesse déborde par tous ses pores. Si bien qu'on rêverait tous de l'avoir comme médecin traitant. Bien sûr, ses consultations ressemblent souvent plus à ce qu'on attend d'un psy, mais les moments passés à écouter ses patients, à leur donner des conseils, sont criants de vérité et on se sent tous prêts à se livrer face à son écran. Une téléconsultation loin du concept des télécabines déshumanisées qui naissent un peu partout dans les pharmacies.
La douceur qui se dégage de la série, sublimée par l'ending d’Aimyon, est si troublante face aux terribles situations et maladies que vivent les patients. Alors bien sûr, le manque de clash, d’humour ou d’amour, le côté pathos accompagné de cascades de larmes et le peu de scènes sensationnelles rebuteront les adorateurs des Grey’s Anatomy-like, mais je suis persuadé qu'elle touchera sa cible et reboostera des vocations chez les 97 % d'apprenti médecins qui hésitent à embrasser la médecine de ville.