Dompter l'indomptable…
Les premiers épisodes ont été laborieux. Il m'a fallu plusieurs tentatives et un certain nombre d'épisodes avant de me plonger dans l'histoire. Toutefois, une fois installée, le reste de l'histoire a été plaisante, bien qu'imparfaite. S'il n'est pas un drame mémorable pour moi, il reste un agréable souvenir.
Wei Wu Xian (Xiao Zhan) est un cultivateur jovial, souriant, plein de vie et espiègle. C'est un électron libre qui explore et se souci peu des qu'en-dira-t-on. Wei Wu Xian est naturellement curieux et dévoué envers les membres de son entourage. Au fil des épisodes, j'avais la crainte de voir le personnage s'essouffler, mais cela n'est pas arrivé. À la place, il n'a cessé d'évoluer, restant cramponné à ses valeurs et sa bonté, même s'il n'empruntait plus le chemin traditionnel. Certes, ses valeurs peuvent être discutées à bien des égards, mais ceux des autres aussi.
Lan Wang Ji (Wang Yibo) est un personnage de peu de mots. Avec la froideur comme seconde peau, il garde constamment cette allure détachée, presque ennuyée en toutes circonstances. Il doute rarement de Wei Wu Xian, et c'est sûrement l'un de ses défauts majeurs. Lan Wang Ji n'a pas de réelles évolutions pour moi. Sa droiture et sa combativité sont exemplaires et inspirantes. Toutefois, elles étaient trop lisses pour me satisfaire complètement.
Comme mentionné plus haut, le début m'a demandé des efforts. Si j'ai aimé la plupart des intrigues, elles étaient souvent traînantes, bien que j'ai apprécié la noirceur de chacune d'elle, donnant aussi lieu à certaines scènes puissantes. Si les scènes de combat étaient honnêtes, la majorité des CGI étaient moyennes, parfois médiocres (je pleure encore le loup). Le sérieux manque de budget est décevant. Toutefois, si la production reste modeste, elle s'est débrouillée pour offrir de beaux costumes et de jolies mises en scène.
En bref, The Untamed possède des mécaniques efficaces, une panoplie de personnages intrigants et un univers entraînant. Peu mémorable pour moi, mais agréable.
Wei Wu Xian (Xiao Zhan) est un cultivateur jovial, souriant, plein de vie et espiègle. C'est un électron libre qui explore et se souci peu des qu'en-dira-t-on. Wei Wu Xian est naturellement curieux et dévoué envers les membres de son entourage. Au fil des épisodes, j'avais la crainte de voir le personnage s'essouffler, mais cela n'est pas arrivé. À la place, il n'a cessé d'évoluer, restant cramponné à ses valeurs et sa bonté, même s'il n'empruntait plus le chemin traditionnel. Certes, ses valeurs peuvent être discutées à bien des égards, mais ceux des autres aussi.
Lan Wang Ji (Wang Yibo) est un personnage de peu de mots. Avec la froideur comme seconde peau, il garde constamment cette allure détachée, presque ennuyée en toutes circonstances. Il doute rarement de Wei Wu Xian, et c'est sûrement l'un de ses défauts majeurs. Lan Wang Ji n'a pas de réelles évolutions pour moi. Sa droiture et sa combativité sont exemplaires et inspirantes. Toutefois, elles étaient trop lisses pour me satisfaire complètement.
Comme mentionné plus haut, le début m'a demandé des efforts. Si j'ai aimé la plupart des intrigues, elles étaient souvent traînantes, bien que j'ai apprécié la noirceur de chacune d'elle, donnant aussi lieu à certaines scènes puissantes. Si les scènes de combat étaient honnêtes, la majorité des CGI étaient moyennes, parfois médiocres (je pleure encore le loup). Le sérieux manque de budget est décevant. Toutefois, si la production reste modeste, elle s'est débrouillée pour offrir de beaux costumes et de jolies mises en scène.
En bref, The Untamed possède des mécaniques efficaces, une panoplie de personnages intrigants et un univers entraînant. Peu mémorable pour moi, mais agréable.
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