Guérison au cœur de vagues...
Vous savez ce moment où vous venez tout juste de terminer un drama, le générique défile, mais vous n'avez qu'une envie, le recommencer ? Pas nécessairement pour capter tous les détails manqués du premier visionnage, mais parce qu'il est chargé d'émotions. C'est exactement ce qui m'est arrivé avec The Eighth Sense.
Humain, c'est le mot qui me vient à l'esprit pour le décrire. Loin d'une simple romance universitaire, l'histoire dépeinte par Inu Baek est chargée. Ji Hyun (Oh Jun Taek) est une petite souris effrayée dans la grande ville. Terrifié à l'idée de faire des erreurs ou de ne pas être capable de s'en sortir, ce sont pourtant ces mêmes craintes qui vont le pousser à sortir de sa zone de confort. Jae Won (Lom Ji Sub) revient de l'armée et reprend ses études, bien qu'il soit hanté par son passé et des blessures qui n'ont pas encore entamés leur processus de cicatrisation. Il a tout pour être apprécié : des parents aisés, des amis, une personnalité plaisante et un beau visage. Pourtant, la dépression qui le ronge l'empêche de vivre pleinement.
Ji Hyun et Jae Won sont différents, mais fonctionnent aussi bien ensemble qu'individuellement. Ensemble, ils évoluent, mais c'est lorsqu'ils sont indépendants qu'ils brillent vraiment. Chacun se forge sa propre identité, ne restant pas coincé dans l'ombre de l'autre. Ji Hyun devient le phare en pleine nuit pour Jae Won, tandis que Jae Won devient la boussole de Ji Hyun.
Le drama aborde de nombreuses thématiques de façon intelligentes et réfléchies. L'exploration de la santé mentale est respectueuse en plus d'être utile au déroulement de l'histoire. Celle-ci ne sort pas une recette miracle quant au fait d'aller mieux. La guérison est longue, mais elle finira par arriver.
En bref, The Eighth Sense traite de sujets profondes et renferme bien plus qu'une simple romance universitaire. Certains dialogues deviennent une source de réflexion, le tout avec une bande originale entraînante. Si certaines ambiances paraissent superficielles, il serait pourtant dommage de passer à côté.
Humain, c'est le mot qui me vient à l'esprit pour le décrire. Loin d'une simple romance universitaire, l'histoire dépeinte par Inu Baek est chargée. Ji Hyun (Oh Jun Taek) est une petite souris effrayée dans la grande ville. Terrifié à l'idée de faire des erreurs ou de ne pas être capable de s'en sortir, ce sont pourtant ces mêmes craintes qui vont le pousser à sortir de sa zone de confort. Jae Won (Lom Ji Sub) revient de l'armée et reprend ses études, bien qu'il soit hanté par son passé et des blessures qui n'ont pas encore entamés leur processus de cicatrisation. Il a tout pour être apprécié : des parents aisés, des amis, une personnalité plaisante et un beau visage. Pourtant, la dépression qui le ronge l'empêche de vivre pleinement.
Ji Hyun et Jae Won sont différents, mais fonctionnent aussi bien ensemble qu'individuellement. Ensemble, ils évoluent, mais c'est lorsqu'ils sont indépendants qu'ils brillent vraiment. Chacun se forge sa propre identité, ne restant pas coincé dans l'ombre de l'autre. Ji Hyun devient le phare en pleine nuit pour Jae Won, tandis que Jae Won devient la boussole de Ji Hyun.
Le drama aborde de nombreuses thématiques de façon intelligentes et réfléchies. L'exploration de la santé mentale est respectueuse en plus d'être utile au déroulement de l'histoire. Celle-ci ne sort pas une recette miracle quant au fait d'aller mieux. La guérison est longue, mais elle finira par arriver.
En bref, The Eighth Sense traite de sujets profondes et renferme bien plus qu'une simple romance universitaire. Certains dialogues deviennent une source de réflexion, le tout avec une bande originale entraînante. Si certaines ambiances paraissent superficielles, il serait pourtant dommage de passer à côté.
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