BL historique d'une délicate sensibilité…
Dès son annonce et ses premiers visuels, je l'attendais avec autant d'excitation qu'une enfant attend Noël. C'était un vrai bonheur lorsque sa diffusion a commencé, me donnant l'impression que chaque épisode était une case de plus sur mon calendrier de l'avent. I Feel You Linger in the Air est un véritable coup de cœur dans les années 20.
Le cœur brisé, Jom (Non Chanon Santinatornkul) fait une sortie de route et se réveille au bord de la rivière de Chiang Mai, en 1927. Perdu, les ennuis lui collent à la peau, alors qu'il tente de rassembler les pièces du puzzle afin de comprendre ce qui lui arrive. Jom est timide, prévenant, doux et honnête. Bien qu'il simule une amnésie, il ne cherche pas à nuire, et même plusieurs occasions s'offraient à lui. Non Chanon Santinatornkul a fait un travail remarquable pour dépeindre un personnage d'une aussi grande douceur et d'une émotion à fleur de peau. De par sa gestuelle, sa voix et ses sourires, c'était comme se fondre dans un nuage de guimauve.
Khun Yai (Bright Rapheephong Thapsuwan) est le personnage idéal pour contraster et amener un équilibre face à Jom. C'est un homme sauvage avec des émotions profondes et intenses. Ses yeux ne mentaient pas, alors que Jom le fascinait. Charmant et mesuré, j'ai adoré le voir tomber amoureux. Il était d'abord curieux, puis intrigué et, avant qu'il n'ait le temps de reprendre son souffle, il était profondément amoureux. Bright Rapheephong Thapsuwan a livré une performance formidable aux sentiments variés, mêlant curiosité et amour grandissant.
La romance est magnifique. Léger et intense, l'amour est là depuis leur premier regard. C'est une relation mature avec des sentiments sincères, tandis qu'elle prend le temps de se développer. Le cheminement est doux, tendre, lent et juste. Il est aussi agréable de voir que la production n'est pas tombée dans le gouffre des scènes de lit inutiles. C'est sans aucun doute l'une des plus belles histoires d'amour portées à l'écran cette année.
L'ensemble de la distribution est bon. Tous les personnages sont liés d'une façon ou d'une autre, tandis qu'aucun ne sert de simple décoration. Malgré tout, la temporalité était confuse. Entre deux actions/scènes, j'ignorais le temps écoulé. Une heure ? Une journée ? Une semaine ? Un mois ? De plus, le final me laisse un arrière goût de facilité, malgré une scène post-générique qui laisse imaginer une suite.
En bref, I Feel You Linger in the Air plonge dans une Thaïlande passée grâce à sa musique, son ambiance, ses décors, ses costumes et son couple d'une beauté et d'un amour saisissant.
Le cœur brisé, Jom (Non Chanon Santinatornkul) fait une sortie de route et se réveille au bord de la rivière de Chiang Mai, en 1927. Perdu, les ennuis lui collent à la peau, alors qu'il tente de rassembler les pièces du puzzle afin de comprendre ce qui lui arrive. Jom est timide, prévenant, doux et honnête. Bien qu'il simule une amnésie, il ne cherche pas à nuire, et même plusieurs occasions s'offraient à lui. Non Chanon Santinatornkul a fait un travail remarquable pour dépeindre un personnage d'une aussi grande douceur et d'une émotion à fleur de peau. De par sa gestuelle, sa voix et ses sourires, c'était comme se fondre dans un nuage de guimauve.
Khun Yai (Bright Rapheephong Thapsuwan) est le personnage idéal pour contraster et amener un équilibre face à Jom. C'est un homme sauvage avec des émotions profondes et intenses. Ses yeux ne mentaient pas, alors que Jom le fascinait. Charmant et mesuré, j'ai adoré le voir tomber amoureux. Il était d'abord curieux, puis intrigué et, avant qu'il n'ait le temps de reprendre son souffle, il était profondément amoureux. Bright Rapheephong Thapsuwan a livré une performance formidable aux sentiments variés, mêlant curiosité et amour grandissant.
La romance est magnifique. Léger et intense, l'amour est là depuis leur premier regard. C'est une relation mature avec des sentiments sincères, tandis qu'elle prend le temps de se développer. Le cheminement est doux, tendre, lent et juste. Il est aussi agréable de voir que la production n'est pas tombée dans le gouffre des scènes de lit inutiles. C'est sans aucun doute l'une des plus belles histoires d'amour portées à l'écran cette année.
L'ensemble de la distribution est bon. Tous les personnages sont liés d'une façon ou d'une autre, tandis qu'aucun ne sert de simple décoration. Malgré tout, la temporalité était confuse. Entre deux actions/scènes, j'ignorais le temps écoulé. Une heure ? Une journée ? Une semaine ? Un mois ? De plus, le final me laisse un arrière goût de facilité, malgré une scène post-générique qui laisse imaginer une suite.
En bref, I Feel You Linger in the Air plonge dans une Thaïlande passée grâce à sa musique, son ambiance, ses décors, ses costumes et son couple d'une beauté et d'un amour saisissant.
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