Un film d'action post-apo entraînant
Les univers post-apocalyptiques sont un plaisir assumé et où les possibilités ne manquent pas. Par ses décors, son ambiance désertique et sa photographie, le film peut faire penser à Black Knight, un drama spectaculaire qui remettait déjà en cause la nature humaine.
Trois ans après qu’un violent tremblement de terre ait réduit Séoul à l’état de décombres, les gens survivent avec le peu qu’ils ont. La pluie est devenue rare dans ce monde dévasté (un concept également exploité dans The Silent Sea). Plusieurs communautés sont nées et s’entraident. L’espoir palpite dans les cœurs à l’idée d’un avenir meilleur. Jusqu’à l’arrivée d’un groupe qui promet monts et merveilles aux familles ayant des enfants et adolescents. Certes, la proposition est belle, mais ne l’est-elle pas un peu trop, justement ?
Le passé des personnages reste effleuré en surface. Cela dit, le docteur Yang Gi Su (Lee Hee Jun) connaît un développement intéressant. Les limites du Bien et du Mal, les valeurs morales et l’éthique médicale. Cependant, son bagage émotionnel pousse à lui donner assez de corps pour expliquer ses actes.
Malgré tout, le reste des personnages est sympathique. Ma Dong Seok est toujours aussi charismatique à l’écran avec de solides scènes d’action. Lee Jun Young prend les traits du petit rigolo qui cache bien plus que quelques blagues sous son sourire railleur. Tandis que Ahn Ji Hye offre de puissantes scènes bien chorégraphiées.
L’espoir est une valeur qu’on retrouve dans ces univers. Ici, elle prend la forme d’une sorte d’immortalité. La seule façon de tuer est de couper la tête, comme pour un zombie. Ainsi, pas aussi increvable que prévu, mais suffisamment résistant pour continuer d’avancer sans ressentir la douleur. La Corée sait comment marier les genres qui s’opposent. De ce fait, les pointes d’humour (dont l’absurdité parfaitement dosée) sont efficaces. Elles se mêlent parfaitement à l’ensemble du film.
En bref, Badland Hunters est un film d'action post-apo simple et efficace avec des scènes de combat spectaculaires.
Trois ans après qu’un violent tremblement de terre ait réduit Séoul à l’état de décombres, les gens survivent avec le peu qu’ils ont. La pluie est devenue rare dans ce monde dévasté (un concept également exploité dans The Silent Sea). Plusieurs communautés sont nées et s’entraident. L’espoir palpite dans les cœurs à l’idée d’un avenir meilleur. Jusqu’à l’arrivée d’un groupe qui promet monts et merveilles aux familles ayant des enfants et adolescents. Certes, la proposition est belle, mais ne l’est-elle pas un peu trop, justement ?
Le passé des personnages reste effleuré en surface. Cela dit, le docteur Yang Gi Su (Lee Hee Jun) connaît un développement intéressant. Les limites du Bien et du Mal, les valeurs morales et l’éthique médicale. Cependant, son bagage émotionnel pousse à lui donner assez de corps pour expliquer ses actes.
Malgré tout, le reste des personnages est sympathique. Ma Dong Seok est toujours aussi charismatique à l’écran avec de solides scènes d’action. Lee Jun Young prend les traits du petit rigolo qui cache bien plus que quelques blagues sous son sourire railleur. Tandis que Ahn Ji Hye offre de puissantes scènes bien chorégraphiées.
L’espoir est une valeur qu’on retrouve dans ces univers. Ici, elle prend la forme d’une sorte d’immortalité. La seule façon de tuer est de couper la tête, comme pour un zombie. Ainsi, pas aussi increvable que prévu, mais suffisamment résistant pour continuer d’avancer sans ressentir la douleur. La Corée sait comment marier les genres qui s’opposent. De ce fait, les pointes d’humour (dont l’absurdité parfaitement dosée) sont efficaces. Elles se mêlent parfaitement à l’ensemble du film.
En bref, Badland Hunters est un film d'action post-apo simple et efficace avec des scènes de combat spectaculaires.
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