Rouler des mécaniques… Mmh, presque !
Les débuts ont étés difficiles pour moi. Je ne suis pas une amatrice de l'univers omegaverse, mais quelque chose me disait de ne pas abandonner tout de suite. Certes, Pavel et Garfield sont deux bonnes motivations. Cependant, aussi cool que soit Pavel et aussi charmant que soit Garfield, leurs beaux yeux ne pouvaient pas me faire tenir 13 épisodes à eux deux.
Pour moi, Pit Babe est scindée en deux parties. La première se concentre sur la course automobile et les personnages. Néanmoins, cette partie est trop lisse (et je le dis en ayant grandi avec un grand-père et un père qui travaillent dans un garage sur des voitures de tous styles et toutes générations). C'est vrai, les écuries professionnelles sont d'une qualité irréprochable (il suffit de regarder une course GP ou F1 pour s'en rendre compte), mais ici, j'en attendais un peu plus, notamment lorsqu'ils ont, littéralement, la tête dans le moteur. Ça manque de cambouis ! De même pour les courses auxquelles on sent les limites du budget. Il n'y a pas de spectateurs, pas de foules ou d'acclamations. C'est vide. Pour cette raison, j'ai tendance à penser que cette partie avait pour but de placer les personnages tout en les rendant cool et en créant les connexions voulues pour la suite.
La seconde partie nous sort la tête du garage, et c'est sur celle-ci que j'ai trouvé un intérêt à l'histoire. Si les personnages sont là depuis le début, avec quelques brides d'informations ici et là, ils n'ont pas apporté grand-chose jusqu'à maintenant. Certains peuvent même passer pour des figurants, tandis que d'autres vont et viennent. Cela dit, cette seconde partie va enfin leur apporter la matière suffisante pour faire tourner le moteur avec son lot d'action et un bon bagage émotionnel. Certes, c'est parfois tiré par les cheveux avec des plans foireux dans lesquels les gentils sont stupides, mais ça reste rythmé et entraînant. Cette seconde partie est un très bon mélange d'action, de romance et d'émotion (sentimentale, amicale et fraternelle).
Le casting est bon. Le jeu de Pavel (Babe) s'est clairement amélioré depuis 2 Moons et son charme n'a fait que s'accentuer de la meilleure des façons. Pooh (Charlie) m'a souvent donné l'impression de surjouer (en plus d'avoir l'air un peu psycho avec son regard et son sourire), je ne suis pas fan de l'acteur dans ce drame et le personnage de Charlie n'est pas sensationnel pour moi. Le jeu de Nut (Way) s'est considérablement développé et affiné depuis Oxygen. Sailub (Alan) et Pon (Jeff) sont également sympathiques, tandis que j'ai adoré détester Pop (Winner) et S (Tony).
En revanche, je regrette de voir Ping (Pete) et Garfield (Kenta) être délaissés de la sorte… Et la frustration qui me ronge vis-à-vis d'eux est folle… Je veux dire, rien de plus ? Pas un regard. Pas un échange. Pas même un petit signe. Rien de rien… Humpf !
En bref, Pit Babe est dans un univers que je n'apprécie pas, cependant il sait comment trouver son public (et les scènes de lit ne sont probablement pas innocentes là-dedans). Néanmoins, il trouve tout son intérêt dans sa seconde partie, jonglant entre romance, action et émotion.
Pour moi, Pit Babe est scindée en deux parties. La première se concentre sur la course automobile et les personnages. Néanmoins, cette partie est trop lisse (et je le dis en ayant grandi avec un grand-père et un père qui travaillent dans un garage sur des voitures de tous styles et toutes générations). C'est vrai, les écuries professionnelles sont d'une qualité irréprochable (il suffit de regarder une course GP ou F1 pour s'en rendre compte), mais ici, j'en attendais un peu plus, notamment lorsqu'ils ont, littéralement, la tête dans le moteur. Ça manque de cambouis ! De même pour les courses auxquelles on sent les limites du budget. Il n'y a pas de spectateurs, pas de foules ou d'acclamations. C'est vide. Pour cette raison, j'ai tendance à penser que cette partie avait pour but de placer les personnages tout en les rendant cool et en créant les connexions voulues pour la suite.
La seconde partie nous sort la tête du garage, et c'est sur celle-ci que j'ai trouvé un intérêt à l'histoire. Si les personnages sont là depuis le début, avec quelques brides d'informations ici et là, ils n'ont pas apporté grand-chose jusqu'à maintenant. Certains peuvent même passer pour des figurants, tandis que d'autres vont et viennent. Cela dit, cette seconde partie va enfin leur apporter la matière suffisante pour faire tourner le moteur avec son lot d'action et un bon bagage émotionnel. Certes, c'est parfois tiré par les cheveux avec des plans foireux dans lesquels les gentils sont stupides, mais ça reste rythmé et entraînant. Cette seconde partie est un très bon mélange d'action, de romance et d'émotion (sentimentale, amicale et fraternelle).
Le casting est bon. Le jeu de Pavel (Babe) s'est clairement amélioré depuis 2 Moons et son charme n'a fait que s'accentuer de la meilleure des façons. Pooh (Charlie) m'a souvent donné l'impression de surjouer (en plus d'avoir l'air un peu psycho avec son regard et son sourire), je ne suis pas fan de l'acteur dans ce drame et le personnage de Charlie n'est pas sensationnel pour moi. Le jeu de Nut (Way) s'est considérablement développé et affiné depuis Oxygen. Sailub (Alan) et Pon (Jeff) sont également sympathiques, tandis que j'ai adoré détester Pop (Winner) et S (Tony).
En revanche, je regrette de voir Ping (Pete) et Garfield (Kenta) être délaissés de la sorte… Et la frustration qui me ronge vis-à-vis d'eux est folle… Je veux dire, rien de plus ? Pas un regard. Pas un échange. Pas même un petit signe. Rien de rien… Humpf !
En bref, Pit Babe est dans un univers que je n'apprécie pas, cependant il sait comment trouver son public (et les scènes de lit ne sont probablement pas innocentes là-dedans). Néanmoins, il trouve tout son intérêt dans sa seconde partie, jonglant entre romance, action et émotion.
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