This review may contain spoilers
J'adorerais les voir s'inviter à dîner pour une seconde saison...
Mal aimé et sévèrement critiqué, The Director Who Buys Me Dinner est pourtant une charmante romance du bureau avec une pointe de fantasy avec des scènes entraînantes et une jolie narration.
Le couple possède un charme indéniable, bien qu'il puisse passer inaperçu dans les premiers épisodes. C'est une relation qui évolue au fil de l'intrigue, faisant également fleurir l'alchimie entre eux. Les interactions sont mignonnes et convaincantes, sans avoir besoin d'en ajouter davantage. Les baisers sont un intéressant reflet de l'évolution de leur relation (et alchimie). Le premier n'était pas terrible, le deuxième était plus intense, pour finir par le troisième qui était adorable.
Un autre attrait du couple, c'est leur harmonie visuelle. Park Young Woo possède des traits saillants qui lui donne cet air distant, presque froid, exactement comme le personnage de Min Yu Dam. De l'autre côté, Park Jeong Woo possède des traits plus en rondeurs lui donnant un air plus doux et chaleureux, ce qui colle parfaitement au personnage de Seol Dong Baek.
En revanche, le personnage de Denis (Jang You Sung) me laisser perplexe. Au départ, j'ai supposé qu'il pouvait être lié à leurs vies antérieures (je pensais qu'il était l'archer). Pourtant… Denis n'est qu'un élément perturbateur sans réel enjeu si ce n'est appuyer sur le bouton rouge. Peut-être que le webtoon développe davantage le personnage.
Le final est un retournement surprenant, car peu habituel. Aucun doute qu'il fait son petit effet.
<< SPOILER >>
La fin m'a rappelé celle de Kissable Lips (de la même réalisatrice). Elle sort des sentiers battus et brise le cycle des fins habituelles du genre avec une entourloupe grotesque pour une happy end. La fin est en accord avec l'intrigue. Quand on y réfléchit deux minutes, ça ne pouvait pas finir autrement. D'autant plus qu'une fin n'est pas nécessairement la fin de tout.
D'ailleurs, et contrairement à Kissable Lips, la fin de The Director Who Buys Me Dinner active le paramètre de l'espoir. Plus encore, les personnages se retrouvent. Sans les souvenirs de l'un, mais ils se retrouvent.
<< / SPOILER >>
Au fond, le réel défaut de ce drama, c'est d'être trop court. Cela dit, c'est le défaut d'une majorité de KBL. Des idées merveilleuses, mais des formats trop condensés pour exploiter tout le potentiel. Néanmoins, il reste un plaisir non discutable pour moi. Dans la même veine que A Breeze of Love qui, malgré son succès mitigé aussi, est l'un de mes KBL préférés.
En bref, bien qu'il soit trop court pour révéler tout son potentiel, The Director Who Buys Me Dinner dégage un charme unique avec des personnages attrayants et une jolie note d'espoir.
Le couple possède un charme indéniable, bien qu'il puisse passer inaperçu dans les premiers épisodes. C'est une relation qui évolue au fil de l'intrigue, faisant également fleurir l'alchimie entre eux. Les interactions sont mignonnes et convaincantes, sans avoir besoin d'en ajouter davantage. Les baisers sont un intéressant reflet de l'évolution de leur relation (et alchimie). Le premier n'était pas terrible, le deuxième était plus intense, pour finir par le troisième qui était adorable.
Un autre attrait du couple, c'est leur harmonie visuelle. Park Young Woo possède des traits saillants qui lui donne cet air distant, presque froid, exactement comme le personnage de Min Yu Dam. De l'autre côté, Park Jeong Woo possède des traits plus en rondeurs lui donnant un air plus doux et chaleureux, ce qui colle parfaitement au personnage de Seol Dong Baek.
En revanche, le personnage de Denis (Jang You Sung) me laisser perplexe. Au départ, j'ai supposé qu'il pouvait être lié à leurs vies antérieures (je pensais qu'il était l'archer). Pourtant… Denis n'est qu'un élément perturbateur sans réel enjeu si ce n'est appuyer sur le bouton rouge. Peut-être que le webtoon développe davantage le personnage.
Le final est un retournement surprenant, car peu habituel. Aucun doute qu'il fait son petit effet.
<< SPOILER >>
La fin m'a rappelé celle de Kissable Lips (de la même réalisatrice). Elle sort des sentiers battus et brise le cycle des fins habituelles du genre avec une entourloupe grotesque pour une happy end. La fin est en accord avec l'intrigue. Quand on y réfléchit deux minutes, ça ne pouvait pas finir autrement. D'autant plus qu'une fin n'est pas nécessairement la fin de tout.
D'ailleurs, et contrairement à Kissable Lips, la fin de The Director Who Buys Me Dinner active le paramètre de l'espoir. Plus encore, les personnages se retrouvent. Sans les souvenirs de l'un, mais ils se retrouvent.
<< / SPOILER >>
Au fond, le réel défaut de ce drama, c'est d'être trop court. Cela dit, c'est le défaut d'une majorité de KBL. Des idées merveilleuses, mais des formats trop condensés pour exploiter tout le potentiel. Néanmoins, il reste un plaisir non discutable pour moi. Dans la même veine que A Breeze of Love qui, malgré son succès mitigé aussi, est l'un de mes KBL préférés.
En bref, bien qu'il soit trop court pour révéler tout son potentiel, The Director Who Buys Me Dinner dégage un charme unique avec des personnages attrayants et une jolie note d'espoir.
Was this review helpful to you?


