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Lorsque les désirs se confrontent à la réalité…
Le désir de Tae Ha, c'est d'aimer Ji Woon. Pourtant, sa réalité est toute autre, car sur le point de se marier avec So Hee. D'une certaine façon, Bad Guy traite l'infidélité comme une échappatoire. Avec Ji Woon, Tae Ha s'échappe de cette vie prochaine qu'il ne désire pas et dont il suit le chemin acceptable selon la société.
Peut-on vraiment en vouloir à quelqu'un qui quitte l'homme qu'il aime pour vivre une vie plus facile ? Et pourtant, peut-on accepter la tromperie qui survient des années plus tard ? Ji Woon est-il le méchant de l'histoire pour ne pas résister à l'homme qu'il aime ? À moins qu'il s'agisse de Tae Ha qui, en réalité, a besoin de lui ? Ou est-il So Hee qui menace Ji Woon ?
Le casting était bon. Personnellement, je ne pouvais pas arrêter de regarder Park Luke. Tant pour le personnage qui se trouve émotionnellement malmené que pour l'acteur qui possède un charme fou. Jeong Ri U montre un peu plus de son jeu, tandis que Kim Bong Pang trouve le bon équilibre entre une femme douce et mignonne, puis une femme blessée.
En revanche, l'ambiance manque de charme. Certains plans sont superbes (sous le porche ou avec la bibliothèque), mais les lumières ne permettent pas de vraiment installer une atmosphère.
En bref, Bad Guy remet en question le statut social en traitant un sujet (toujours) délicat en Corée du Sud en quatre épisodes intenses.
Peut-on vraiment en vouloir à quelqu'un qui quitte l'homme qu'il aime pour vivre une vie plus facile ? Et pourtant, peut-on accepter la tromperie qui survient des années plus tard ? Ji Woon est-il le méchant de l'histoire pour ne pas résister à l'homme qu'il aime ? À moins qu'il s'agisse de Tae Ha qui, en réalité, a besoin de lui ? Ou est-il So Hee qui menace Ji Woon ?
Le casting était bon. Personnellement, je ne pouvais pas arrêter de regarder Park Luke. Tant pour le personnage qui se trouve émotionnellement malmené que pour l'acteur qui possède un charme fou. Jeong Ri U montre un peu plus de son jeu, tandis que Kim Bong Pang trouve le bon équilibre entre une femme douce et mignonne, puis une femme blessée.
En revanche, l'ambiance manque de charme. Certains plans sont superbes (sous le porche ou avec la bibliothèque), mais les lumières ne permettent pas de vraiment installer une atmosphère.
En bref, Bad Guy remet en question le statut social en traitant un sujet (toujours) délicat en Corée du Sud en quatre épisodes intenses.
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