Floraison sous les étoiles…
The Starry Love est un bon mélange entre le xianxia, l'humour et la romance. Le pitch est simple avec deux sœurs qui vont épouser un Immortel pour l'une et un prince du Néant pour l'autre. Cependant, les cortèges sont échangés, et chacune se retrouve dans le mauvais Royaume.
Les deux sœurs sont diamétralement opposées. L'aînée, Liguang Qingkui (He Xuan Lin), est gentille, serviable et dévouée. La cadette, Liguang Yetan (Lan Di Li), est rebelle, têtue avec un léger manque de manière (sans qu'elle ne soit grossière pour autant). Le tempérament rebelle de Yetan contraste avec la droiture et la délicatesse du Royaume Céleste. Tandis que la douceur et la timidité de Qingkui s'opposent à l'obscurité et à la férocité du Néant. C'est agréable de suivre les deux sœurs (bien qu'on passe plus de temps dans le Royaume Céleste que dans le Néant).
Autour des deux sœurs s'articulent plusieurs personnages. Leurs fiancés respectifs, les belles-sœurs, les beaux-frères et les amis (deux, pour être précise). Tous avaient un rôle et une histoire, ce qui a rendu chacun d'eux plus attachants. J'ai eu le cœur serré avec certains, d'autres m'ont tiré une petite larme et bien sûr, j'ai ri. Les romances sont sympathiques. J'ai une préférence pour celle de Liguang Qingkui et Chaofeng. Plus mature et moins enfantine, contrairement à celle de Xuanshang et Linguang Yetan. Quant à la troisième, celle de Di Lanjue et Ziwu, elle est un classique du genre, mais toujours mignonne.
Certains arcs étaient excellents (le premier reste le meilleur, à mes yeux), d'autres étaient trop longs et répétitifs. Aussi, je regrette que les hommes (les fiancés) n'aient été que secondaires. Ils servaient de boucliers ou de décoration. Le dernier arc apportait une note plus sombre, bien que son but était d’amener une nouvelle valse dramatique. Quant à la fin, personnellement, elle me laisse un arrière-goût d’inachevé. Je ne dis pas qu’elle est mauvaise, néanmoins, elle ne me satisfait pas.
En bref, The Starry Love est un xianxia amusant à regarder avec des personnages attachants et de bons effets visuels. Encore faut-il survivre à la surexposition du Royaume Céleste qui, passé dix épisodes, brûle la rétine.
Les deux sœurs sont diamétralement opposées. L'aînée, Liguang Qingkui (He Xuan Lin), est gentille, serviable et dévouée. La cadette, Liguang Yetan (Lan Di Li), est rebelle, têtue avec un léger manque de manière (sans qu'elle ne soit grossière pour autant). Le tempérament rebelle de Yetan contraste avec la droiture et la délicatesse du Royaume Céleste. Tandis que la douceur et la timidité de Qingkui s'opposent à l'obscurité et à la férocité du Néant. C'est agréable de suivre les deux sœurs (bien qu'on passe plus de temps dans le Royaume Céleste que dans le Néant).
Autour des deux sœurs s'articulent plusieurs personnages. Leurs fiancés respectifs, les belles-sœurs, les beaux-frères et les amis (deux, pour être précise). Tous avaient un rôle et une histoire, ce qui a rendu chacun d'eux plus attachants. J'ai eu le cœur serré avec certains, d'autres m'ont tiré une petite larme et bien sûr, j'ai ri. Les romances sont sympathiques. J'ai une préférence pour celle de Liguang Qingkui et Chaofeng. Plus mature et moins enfantine, contrairement à celle de Xuanshang et Linguang Yetan. Quant à la troisième, celle de Di Lanjue et Ziwu, elle est un classique du genre, mais toujours mignonne.
Certains arcs étaient excellents (le premier reste le meilleur, à mes yeux), d'autres étaient trop longs et répétitifs. Aussi, je regrette que les hommes (les fiancés) n'aient été que secondaires. Ils servaient de boucliers ou de décoration. Le dernier arc apportait une note plus sombre, bien que son but était d’amener une nouvelle valse dramatique. Quant à la fin, personnellement, elle me laisse un arrière-goût d’inachevé. Je ne dis pas qu’elle est mauvaise, néanmoins, elle ne me satisfait pas.
En bref, The Starry Love est un xianxia amusant à regarder avec des personnages attachants et de bons effets visuels. Encore faut-il survivre à la surexposition du Royaume Céleste qui, passé dix épisodes, brûle la rétine.
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