Yoshii Ryosuke is an ordinary person who supports himself by reselling things on the internet. He carelessly earns grudges from people around him and, in the end, he is dragged into a desperate struggle that risks his life. (Source: AsianWiki; edited by kisskh) ~~ Release dates: Aug 30, 2024 (Festival) || Sep 27, 2024 (Cinema) Edit Translation
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- Native Title: Cloud クラウド
- Also Known As: Kuraudo , クラウド
- Screenwriter & Director: Kurosawa Kiyoshi
- Genres: Thriller
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Cast & Credits
- Suda MasakiYoshii RyosukeMain Role
- Furukawa KotoneAkikoSupport Role
- Okudaira DaikenSanoSupport Role
- Okayama AmaneMiyakeSupport Role
- Arakawa YoshiyoshiTakimotoSupport Role
- Kubota MasatakaMuraokaSupport Role
Reviews
This review may contain spoilers
"So this is how I go to hell"
Got the chance to watch it in a limited film fest screening and it was definitely worth it. Let me say first that when I watched this the theater was almost full and the movie received a warm applause from the viewers.On to the review.
The story revolves on Yoshii Ryosuke an internet reseller who purposely inflates his merchandise. As he repeats the cycle of bulk buying in cheap amount and reselling the items on the net at inflated prices, he acquires grudge from certain people who takes it into their hands to hunt him.
The first half focuses on Yoshii's routine with his factory job, her gf, his reselling on the side, and occasional talks with his school senior. The unsettling mood slowly seeps into his life starting from little pranks and gradually develops into a game of tag riddled with bullets during the later half of the movie.
The deadpan and detached characters that are all suspicious makes a great ensemble for the psychological thriller. The combination of sudden burst of emotions and subtlety of reactions in contrast to one another differentiates the movie from your usual psychological thrillers.
The script is another strong point of the movie which emphasized on the disconnection of the characters to the dire events surrounding them. Often being odd to the point of comedic.
The movie is an interesting take on the complex man who wants to keep his 'conventional happiness' as he descends on a path to hell indifferent to the bodies he leaves behind.
Suda's eyes mostly did the acting for this one. No cheap over the top reactions, no screaming, yelling, or any intense emotion except for one moment. The closing scene which focuses on his face as he utters the line "so this is how I go to hell" with the movie slowly fading out with his eyes as the last thing you see before the credits roll.
Okudaira, this young talent shines once again as a pivotal character filled with mystery. Others might not like the ambiguity of his nature and motives but I think it was perfect. His ambiguity was the take home given to the viewers. I love it when you're given something to make hypothesis on so you can discuss it with others after the movie.
Kotone seemed like an accessory for most of the part but eventually succumbs to her desires towards the end. That last little heart skip before the movie draws to a close.
Cloud is for the people who don't put everything on the scales of right and wrong or put themselves on the shoes of the lead or any character in the movie. Cloud is made for the people who enjoy a revenge, "what goes around comes around" kind of movie with unexpected turns. Those who don't mind morally gray to borderline psycho characters, ambiguity and unsettling silence. This is for the Noir fans.
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Un film en plein brouillard
Je m'en suis réjoui de visionner ce film de Kurosawa Kiyoshi, maître du suspense à la japonaise. Il cochait toutes les cases : la promesse de réunir ce qui se fait de mieux parmi les acteurs de cette génération dans un thriller « hyperconnecté ». C’est d’ailleurs peut-être le mot que j’ai le plus vu pour définir ce film, et pourtant j’ai eu énormément de mal à rester connecté durant deux heures, d’une rare vacuité dans une vie.Ouah… quelle méchanceté envers le maître ! Celui qui m’avait déjà endormi deux fois avec Hebi no Michi devient pour moi un véritable marchand de sable. Sûrement mon âge, mais lui, clairement, à 70 ans, il devrait passer la main, au moins à l’écriture. Qu'il demande à la même génération de scénaristes que les acteurs de lui pondre un scénario. Car ce sont bel et bien les trentenaires qui sauvent le film.
Masaki Suda est extraordinaire en malfrat malgré lui, et Okudaira Daiken pourrait bien être le prochain Yamazaki Kento tant il excelle dans les personnages détachés et kakkoii. Kubota Masataka ne sait plus faire que des pourritures, mais qu’est-ce qu’il les incarne bien. Quant à Furukawa Kotone, elle fascine toujours autant par sa présence.
Mais une dream team d'acteurs, ne fait pas un bon film. Avec la meilleure volonté du monde, celui-ci avance péniblement pour dérouler en deux heures ce qui aurait été supportable en une heure vingt. Une poursuite dans un hangar où, lors des fusillades, on essaye vaguement de reproduire un Call of et ses murs destructibles. Mais le pire, c’est que cette référence, enfin je l’espère, référence, au monde connecté (celui des jeux vidéo) est la seule du film.
Alors que les distributeurs et la promotion, n’arrêtaient pas de vanter un Japon hyperconnecté, je pensais vraiment assister à un thriller à la Serial Experience Lain. Mais la seule expérience proposée ici, c'est celle des market place. Pas de confusion entre le monde réel et le wired. Masaki n’est rien d’autre qu’un revendeur sur Internet, une sorte de Temu à lui tout seul. Fixer un écran en espérant que les cases de vente passent au vert, ça n’a rien de flippant, encore moins en 2025. C’est même banal depuis eBay, et tout le monde vend sur Vinted. Qui trouve ça "bizarre" ou "flippant" ?
Je ne sais pas ce que le réalisateur dénonce ici : la fast fashion, la contrefaçon, l'anonima qui n'en est pas (qui en doutait ?) ou les soucis oculaires que notre génération se construit patiemment à force de passer des heures devant un écran de 7 pouces. Ok, Masaki recule de trois mètres pour observer son 19 pouces sous Windows 10. Celui-ci, au moins, on le voit bien : c’est l’une des stars du film. Pas de chance, il n’est plus commercialisé, comme sa tour Dell, d'un autre âge.
La musique est angoissante, c'est la moindre des choses, les jump scares sont téléphonés (portes vitrées, bris de verre…). Mais ce qui m’a le plus angoissé, c’est que la fin corresponde exactement à ce que j’attendais. Je me disais : « Non, le dernier coup de feu ne sera pas tiré par cette personne. » C’était convenu… et c’est arrivé.
Alors oui, on s’envole dans les nuages à la fin, mais quelle tromperie sur la marchandise ! Le cloud devait être un lieu de perdition : ce n’est ici qu’un disque dur. Et la bonne blague du disque à revenir chercher pour garder toutes les données… Comme si on ne faisait pas de sauvegardes quand on fait du commerce ! , de plus illégal. Cette tour énorme, ce disque 3.5 pouces, ces pages dignes de Netscape… tout respire les années 90-2000 et les mauvais films d'horreur, l'horreur en moins. Un manoir hors de prix, isolé au bord d’un lac, avec uniquement des baies vitrées, qui n’attire soi-disant l’attention de personne. Des paquets qui arrivent par dizaines et aucun flic pour vérifier si les cartons « Made in France » sont bien du Vuitton. Le retour à la maison pour sauver la marchandise, pleine de tueurs, comme dans un mauvais (pléonasme) scary movie. STOP !
Encore une fois, seuls les acteurs sonnent juste. Même si cette plongée dans la folie meurtrière, dans un pays où trouver une arme à feu est aussi compliqué que de trouver un médecin traitant en France, sonne faux. Elles pleuvent par dizaines dans la trop longue deuxième partie. J’ai arrêté d’aimer les films de John Wayne il y a longtemps, alors pourquoi me l'imposer.
Si ce film cherche à synthétiser le suspense et l’action, il n’arrive à me convaincre dans aucun des deux domaines. Quel gâchis avec de si grands acteurs.
Matsushige Yutaka a une réplique, passe un flingue, et disparaît. Gâchis jusqu’au bout, je vous dis.
Pour voir un bon film de Cow-Boy Japonais, faisant une bonne symbiose, rien ne vaut un Golden Kamuy : humour, action, histoire, émotion, actine et bouffe. Place à la jeunesse, donc.
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