Adess

Ce n'est pas inoubliable, mais il y a un charme rétro qui fait son effet.

Alors déjà… l’ambiance rétro, je valide grave 😍. Ce petit mélange entre ruralité et années 80, ça donne direct une vibe chaleureuse, un peu nostalgique, qui fait que tu te sens bien 👌🏻. C’est clairement ce qui apporte une identité au drama, parce que sinon… on est dans un schéma assez classique : l’outsider qui veut prendre sa revanche. Rien de neuf, mais ça passe grâce à cette esthétique et à l’énergie du casting 🫶🏻

En gros, "Boyhood" nous emmène dans une petite ville de campagne des années 80. On y suit Byung Tae, un ado timide et maladroit qui devient malgré lui le souffre douleur peu importe ou il va… jusqu’au jour où il décide de changer les choses 😅. Entre bastons de quartier, premières amitiés et petites histoires de jeunesse, le drama raconte son cheminement vers la confiance en soi 💪🏻

Im Siwan, porte littéralement le drama sur ses épaules ✨. Son Byung Tae est maladroit, drôle, touchant… il a ce côté loser qu’on a envie d’encourager, et en même temps une profondeur qui transparaît derrière ses regards. Franchement, il est impeccable. Et alors, cet accent 🥹… je trouve que ça apporte un charme fou, ça donne un petit plus à l’immersion 🫰🏻

Mais pour être honnête, je trouve que ça va trop vite... Tout est simplifié au maximum, parfois au point de me frustrer. L’histoire autour de Ji Young, la “veuve noire” (entre autre...), j’aurais aimé qu’elle soit creusée, mais ça reste en surface 😬. Idem pour certaines amitiés ou évolutions des personnages... il y avait de la matière, mais le drama préfère rester léger 🤷🏼‍♀️

Par contre, gros point positif pour l’équilibre entre humour et harcèlement scolaire 👍🏻. Ça sonne naturel, tu passes du rire à une petite boule dans la gorge sans que ça soit forcé.

Au final, "Boyhood" reste un drama agréable, fun et avec une vraie vibe rétro qui accroche 👌🏻. Ce n’est pas un incontournable, ni le drama qui va marquer ma mémoire durant des semaines, mais j’ai passé un bon moment devant. C'est imparfait mais attachant 🙂✌🏻

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Tendresse et ennui, voilà mon expérience avec "Reply1988"...

Franchement… "Reply 1988" je suis désolée mais ça l’a pas fait pour moi 😅. Je comprends que ce drama ait marqué toute une génération, qu’il ait cette aura culte et nostalgique… mais vu en 2025, j’ai trouvé ça clairement surcoté... 😬

Le premier gros problème, c’est la longueur des épisodes... Sérieusement, j’avais l’impression que chaque épisode durait une éternité ⏳. On passe 1h30 (voir plus) à regarder des repas de famille, des chamailleries de quartier, des silences interminables au lieu de ressentir de la chaleur humaine, j’ai souvant regardé ma montre. Quand t’en es à appuyer sur avance rapide, c’est jamais bon signe 😬

Ensuite… ce nombre incalculable de gros plans sur les télés ou les affiches floutées 😅... Franchement, pourquoi montrer un truc si c’est pour ne rien montrer ?!? 🤔 Ça a fini par devenir lourd à la longue, ça m’a sortie de l’immersion plus d’une fois 🤷🏼‍♀️

Côté casting, rien à redire, ils étaient tous au top 🔥 mais j’avoue, j’ai eu deux blocages.
No Eul… censé être le petit dernier de la fratrie, mais physiquement, on aurait dit qu’il était plus âgé que ses deux sœurs 😅. Ça m’a perturbée tout le long... et Taek (Park Bo Gum)… avant de découvrir son QI de génie, je pensais vraiment qu’il était autiste ou simplet... Mea culpa, mais c’est l’impression qu’il donne 😬. Je veux bien qu’il soit absorbé par le Go, mais au point d’oublier tout le reste ?! 🤔

Quant au triangle amoureux… j’ai rarement été aussi frustrée, mais pas une frustration qui te tient en haleine, non, plutôt une frustration « j’ai attendu tout ça pour… ça ? » 😑

Alors oui, je reconnais qu'il y a des jolis moments familiaux, des scènes qui m’ont fait sourire 🫶🏻. J’avoue aussi, ce qui m’a vraiment poussé à aller au bout, ce sont les passages en fin d’épisode où on les voit adultes 😭, ça a piqué ma curiosité, ça donne ce petit fil rouge de “mais alors… avec qui elle finit ?” 🥹. Sans ça, je pense que j’aurais lâché l’affaire 😅

Au final, "Reply 1988" en 2025, je le vois comme un monument respecté 🗽… mais figé... Un drama culte qui a sûrement mieux vieilli dans les cœurs que sur l’écran. Je salue l’ambiance rétro, la nostalgie de l’époque… mais j’ai jamais réussi à plonger dedans.

Bref, je met 6⭐️, et je l’assume au risque de me faire fouetter 😅. Pour moi, ça a été une expérience longue et poussive, qui ne mérite pas tout le culte qu’on lui accorde aujourd’hui 🫣✌🏻

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De la romance ?!? Non… juste de l’élevage canin...

Alors clairement… je suis sortie de ce film avec un drôle de goût 😶... J’y allais en pensant découvrir une belle romance fantastique, un truc un peu féérique, un amour interdit qui prend aux tripes… mais en vrai, j’ai eu l’impression d’assister à un simple élevage canin... 😬

Cheol Su (Song Joong Ki) m’a brisé le cœur 💔. Il est pur, naïf, loyal… limite trop. C’est le genre de perso qui donne tout, qui suit comme un chiot parce que c’est sa manière d’aimer. Et du coup, plus le film avançait, plus je le voyais comme… un chien abandonné avant les vacances d’été 🐺🥺. Elle lui a promis qu’elle reviendrait, et il attend toute sa vie. 😭 Rien que d’y penser, ça me serre encore le cœur...

Mais Sun Yi… pfff, perso je n’ai pas accroché du tout 😤. Au début, ok, elle est touchée par lui, elle l’apprivoise… mais après ? Lui demander d’attendre et disparaître aux States pour vivre sa vie tranquillou sans jamais revenir, désolée mais ça ressemble plus à de l’égoïsme qu’à une grande histoire d’amour... J’ai pas pu avoir de compassion pour elle 🙅‍♀️ Cependant sympa que ce soit Bo Young qui pousse la chansonnette, la musique est très jolie 👍🏻

Alors ouais, la mise en scène est jolie, l’ambiance un peu vintage est sympa, et Song Joong Ki joue incroyablement bien ses yeux, ses mimiques animales, tout est crédible 🔥. Mais franchement, pour moi ça ne rattrape pas le reste... J’ai pas eu de vraie romance, juste la sensation d’avoir regardé une histoire cruelle déguisée en conte.

Bref… "A Werewolf Boy" aurait pu être un petit bijou poétique, mais perso je l’ai vécu comme une immense frustration. Et à la fin, quand on comprend qu’il est resté seul toutes ces années… j’ai plus eu envie d’en vouloir à Sun Yi qu’autre chose 😶... C'est un raté pour moi 😑✌🏻

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Le duo le plus chaotique mais le plus attachant du cinéma coréen.

"Midnight Runners" c’est typiquement le genre de film qui te fait passer un moment de fou sans que tu vois défiler les minutes 🔥. J’étais à fond du début à la fin et honnêtement, j’aurais signé direct pour 30 minutes de plus tellement je me suis marrée 🤣

Le duo Park Seo Joon / Kang Ha Neul, mais quelle masterclass 😭🫶🏻. Ils sont complètement opposés et pourtant… ensemble c’est l’explosion 💥. Leurs chamailleries, leur façon de réagir à chaque galère, les expressions faciales m’ont achevée 😂. J’ai eu l’impression de suivre deux gamins lancés dans une mission beaucoup trop grande pour eux, mais qui refusent de lâcher l’affaire 💪🏻

Ce qui est cool, c’est que derrière l’humour, l’histoire tient vraiment la route 👌🏻. On a une enquête sérieuse, des moments de tension, de l’action bien rythmée… mais tout est contrebalancé par leurs réactions improbables 😅. Résultat... tu passes du stress à l’éclat de rire en deux secondes chrono 👍🏻

Perso, j’ai adoré l’énergie qui se dégage du film. C’est fun, rafraîchissant, jamais lourd. Et en même temps, t’as ce petit côté attachant qui fait que tu t’attaches vraiment aux persos, leurs galères sont devenu les miennes 😅. Quand le film s’est terminé, je me suis dit direct, "pourquoi y’a pas un deuxième volet ?!” 🥲 Parce que sincèrement, je veux encore voir ces deux-là galérer ensemble 😁

Bref, "Midnight Runners" c’est un mélange parfait entre action, humour et complicité. J’ai ri, j’ai vibré, j’ai pas vu le temps passer. Un vrai coup de cœur fun ❤️✌🏻

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Drama parfait pour sourire sans avoir besoin de réfléchir !

"Crushology 101", c’est un peu comme feuilleter un album de polaroïds remplis de crushs impossibles à oublier 💌. On suit Ban Hee-jin, alias Bunny 🐰, sculptrice talentueuse mais au cœur cabossé, qui s’est juré après une rupture, que désormais, elle veut que des beaux gosses dans sa vie 😏. Promesse tenue, puisque l’univers lui balance sur sa route tout un casting à tomber... Hwang Jae-yeol, solaire et sérieux, et Cha Ji-won, chaebol au charme irréel, entre autre. Autant dire que les vibes sont là, et que chaque regard volé ou silence un peu trop long devient un mini feu d’artifice 💫

Dès les premiers épisodes, on sait qu’on part sur un triangle amoureux assumé, avec cette vibe sucrée et pétillante typique des rom-com coréennes 💫. Ce n’est pas une intrigue révolutionnaire, mais l’alchimie naturelle entre les leads fait tout le sel du drama 👍🏻. Les regards un peu trop longs, les petites piques qui cachent mal un intérêt naissant, les moments volés… bref, tout ce qui te fait sourire bêtement derrière ton écran est là 🫶🏻

Visuellement, j’ai adoré les touches façon “webtoon” 📖✨, qui donnent un côté fun et décalé, comme si on feuilletait une BD vivante. Ça rend le visionnage léger, parfait pour se détendre ☕️. Mais derrière cette légèreté, j’aurais aimé que les personnages secondaires aient plus de place, parce qu’il y avait clairement matière à enrichir l’univers et à donner plus de relief à l’histoire... Dommage 🤷🏼‍♀️

Là où j’ai un peu décroché, c’est dans le rythme... certains passages traînent inutilement 🥱, comme si on voulait rallonger une intrigue qui aurait gagné à être plus condensée. On sent que le scénario repose entièrement sur le fameux choix final de Bunny 🐰, et du coup, parfois, ça tourne en rond...

La fin, quant à elle, reste fidèle au ton global. Douce, mignonne, pas de prise de risque mais satisfaisante dans le contexte 👌🏻. C’est le genre de conclusion qui te laisse le cœur léger, même si tu sais que tu n’y repenseras pas une fois terminé.

En résumé, "Crushology 101" n’essaie pas d’être profond, et c’est très bien comme ça 👍🏻. C’est un petit moment feel-good, à regarder quand on veut juste sourire, vibrer un peu et se laisser bercer par un triangle amoureux bien servi par son casting. Si c’est ça que tu recherches, fonce sans hésiter, si tu veux une histoire profonde passe ton chemin, tu vas vite t'ennuyer 😉✌🏻

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Une pincée de romance, un bol de clichés… mais pas grand-chose d’autre...

Alors… par où commencer. J’ai lancé "The Potato Lab" avec zéro attente, je me suis dit “ça va être léger, un peu bizarre sûrement mais why not ?”. J’ai tenu jusqu’au bout grâce à Kang Tae Oh 🥹💘, mais soyons honnêtes... l’histoire manque clairement de substance.

Le point de départ est original 👌🏻, un labo de recherche sur la pomme de terre, dans un village de montagne, avec une équipe un peu décalée... mais après deux épisodes, j'ai vite compris que l’intrigue n'allait nul part 🤷🏼‍♀️. Je trouve qu'il n'y pas vraiment d'évolution émotionnelle. C’est censé être feel good, mais c'est resté trop plat pour m'embarquer.

Concernant la dynamique entre les deux leads... Baek-ho, qui enchaîne les skills comme si il etait boosté à la vitamine C : ancien soldat, chef cuisto, directeur... bref le vrai "couteau suisse" du drama 😅… et Mi-kyung, elle est censée être solaire et attachante... mais à force de la montrer complètement à côté de la plaque dans le boulot, je l'ai trouvé peu crédible et parfois pénible...

Les persos secondaires... Franchement, il y en a beaucoup, ils sont là, mais sans vraie profondeur ni impact... C’est dommage parce qu’il y avait vraiment du potentiel pour créer une vraie dynamique d’équipe, une vraie “found family” comme je kiff bien, mais au final… nada !!! Un vrai gâchis... 😔

Concernant la romance, je l'ai trouvé un peu bancale, précipitée, avec des moments qui sonnaient plus forcés que touchants... 🤷🏼‍♀️ Elle est là, mais je trouve que ça ne prend pas. Il y a quelques regards, des petites scènes censées créer une tension… mais je n'y ai pas vraiment cru. Ça reste très tiède du début à la fin...

J’ai quand même souri par moments, ça reste léger, et certains gags / situations font le job 👍🏻. L’ambiance générale reste agréable, mais ça ne m'a pas suffit à créer un réel attachement...

Et la fin… je l'ai trouvé trop rapide et sans impact. J'ai fermé le drama comme on ferme un dossier pas très passionnant. Pas de vraie émotion, juste un sentiment de “bon, ok, c’est fini, moué...” 🤔

Bref, ce n’est pas un drama que j'ai détesté, mais il ne m’a pas marquée non plus. J'ai trouvé que "The potato lab" etait un best-of des clichés drama, mais sans la vibe qui les rend habituellement fun ou attachants 😬

Si vous voulez un drama pas prise de tête juste pour reposer votre cerveau, LET'S GO 💪🏻
Mais si vous cherchez de la tension, de l’évolution, de la romance qui fait battre le cœur... passez votre chemin 😭🫶🏻✌🏻

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"A Korean Odyssey", une romance maudite, mais inoubliable...

Ce drama… c’est un pacte avec le diable, au sens propre comme au figuré 😈 Une romance surnaturelle entre un immortel "insupportable" et une humaine maudite, solitaire et glaciale 🥀

Tout commence par une promesse d’enfant, une libération imprudente, et bam 💥 des années plus tard, elle devient sa "fiancée sacrée", avec un bracelet magique à la clef et une tension amoureuse à te faire exploser le cœur. Il l’aime… mais est programmé pour l’aimer. Et elle ?!? Elle doute… mais plonge, encore et encore... Parce qu’il la regarde comme une évidence, parce qu’il est son seul refuge, même s’il est aussi sa damnation 😭🖤

"A Korean Odyssey", c’est une fantasy déjantée, avec des créatures cheloues mais attachantes mention spéciale au roi des démons, quelle bromance avec Oh Gong 🥹✨, une secrétaire en mode toutou dévoué, une zombie en quête d’amour, un général hiver mais loyal, un cochon chanteur dépressif… bref, un casting aussi fou que génial 🔥

Mais au cœur de ce chaos surnaturel, il y a une tragédie amoureuse... Un amour qui consume, qui condamne... 💔 Un amour fatal, que j'ai regardai les larmes aux yeux, parce que je savais... Je SAVAIS que ça va faire mal, et pourtant… je n'ai pas décroché...

La fin… j’y ai cru. J’ai espéré... Mais c’est une fin amère, cruelle, presque injuste. Ce "je reviendrai te trouver", c’est beau... mais j’aurais donné mon âme pour une dernière scène à deux, même silencieuse 😭

L’OST t’arrache l’âme, les violons lunaires, les chœurs dramatiques, tout est fait pour te faire souffrir joliment. L’esthétique est dark, poétique, presque gothique. Il y a des longueurs, des effets spéciaux parfois cheap 🐉, mais ça s’oublie vite tant le reste est embarquant.

"A Korean Odyssey", c’est une romance damnée déguisée en comédie fantastique. Un conte cruel où l’amour n’est pas un refuge… c’est une malédiction. Et pourtant… j’ai adoré, parce que c’est intense, parce que c’est inoubliable, parce que c’est ce genre d’histoire qui laisse une cicatrice brillante 💫

À voir si tu veux brûler avec eux... ou à éviter si ton cœur est déjà trop fragile 😭🔥✌🏻

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Un remake fidèle, mais enrichi de vibes et d’émotions...

Dès les premières minutes, j’ai eu ce petit bug au cerveau 🧠 “attends, je connais cette histoire non...” 😅 Et boum, le titre me revient, "17 Again", le film avec Zac Efron que j’avais bien aimé à l’époque. Du coup au début, j’ai hésité à drop… un remake d'un film Sur 16 épisodes... mais je me suis laissée entraîner, poussée par la curiosité… Et j’ai BIEN FAIT 😭🔥 Bon après, connaissant déjà l’histoire de base, j’ai pas eu de surprise… 😅 mais ça m’a pas empêchée d’apprécier la façon dont ils ont traités l'histoire ici, avec beaucoup plus de nuances et d’émotion.

Parce que ce remake, c’est pas juste un copier-coller version 🇰🇷. C’est une vraie réinterprétation émotionnelle, avec une profondeur que le film n’avait pas. On est sur un slow burn parental, sur des regrets qui colle à la peau, sur cette impression d’être passé à côté de sa vie sans avoir vu le temps filer… Et franchement, ça m’a touchée beaucoup plus que prévu 🥺💥

Lee Do Hyun, MON DIEU 🤩. Ce gars porte le drama sur ses épaules avec une justesse de jeu assez ouf 😳 Il a réussi à me faire croire qu’un ado peut avoir le regard fatigué d’un daron de 37 ans qui regrette ses choix 😅. Chaque scène où il regarde sa femme ou ses enfants avec tendresse et douleur… j’étais KO... Il est ce père coincé dans un corps trop jeune pour qu’on le prenne au sérieux, et tu sens qu’il donnerait tout pour tout recommencer 💔

Et puis y’a cette vibe douce-amère qui plane tout au long du drama… Tu ris, tu souris, mais t’as toujours un petit pincement au cœur. Les scènes avec les enfants, les flashbacks, les regrets silencieux… Ils savent y faire les coréens quand il s’agit de poignarder en finesse 😭🔪🫰🏻

Alors après je vais être honnêtes, les flashbacks sont bien trop présents à la longue... Toujours les mêmes, recyclés 😅 À un moment j’avais envie de leur dire “OK on a compris les gars, passez à autre chose”... Je trouve que ça alourdit un peu le rythme. Ensuite, tous les persos secondaires n’étaient pas utiles (certains étaient même très oubliables 🥱), mais d’autres apportent une vraie humanité à l’ensemble, notamment le meilleur pote loyal, la BBF fidèle ou encore les ados avec leurs petits dramas scolaires 🫶🏻

Malgré le spitch fantastique, ça reste une histoire profondément humaine 🥹. Ça parle de divorce, de communication cassée, de parentalité, de sacrifices invisibles… Et franchement, tu ressors de là en ayant envie d’appeler tes parents, ou de dire à quelqu’un que tu l’aimes 😂

Bref, c’est un très beau drama, qui te fait réfléchir sans te donner de leçon, et qui te laissent avec le cœur un peu plus grand qu’avant, mais pour ceux ayant vu "17 Again" ça sera du déjà-vu avec plus d'émotions ✌🏻

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Ils ont secoué la bouteille un peu trop fort… et il y a eu trop de mousse

"Second Shot at Love", c’est un petit ovni dans le paysage des rom-coms. C’est un drama qui t’aborde comme une comédie un peu barrée, un peu gênante, avec des persos cassés mais touchants… sauf qu’en fait, il parle de trucs lourds. Ça parle d’alcoolisme quotidien, de honte, de reconstruction… mais sans jamais lever le doigt pour faire la morale. Ici, on montre simplement des gens ordinaires, qui boivent trop, souvent sans s’en rendre compte, parce que "c’est normal", "c’est comme ça", "tout le monde le fait"... Et c’est justement ça qui fait mal 😶‍🌫️💔 Et franchement, j’ai trouvé ça super bien joué 👏🏻✨

Les scènes sont parfois gênantes, mais elles sonnent justes. Je sentais les fêlures derrière les silences. On voit les regards fuyants, les excuses bidons, la solitude masquée sous un sourire de façade… Aaaah, j’étais dedans 😮‍💨 sans parler de ce duo, Sooyoung x Gong Myung... Mais quelle alchimie 🫠 Leur dynamique est à la fois tendre, bancale et émotive. Ce n’est pas surjoué, er c'est beau à voir 🥹🫶🏻

Et puis ce petit village de Bochun, avec ses figures secondaires trop attachantes, entre les voisines reloue mais sincère, les commerçants cash mais tendre, les patients un peu paumés mais vrais... tout ça donnait une ambiance chaleureuse, réconfortante malgré le thème.

Mais alors... 😤

À partir de l’épisode 8, le drama fait un virage à 180°, et là… j’ai perdu un peu le feeling 😬. Ça part dans tous les sens... entre l’histoire tragique du père, les révélations sur l’infirmière loufoque, la mère de Geum Ju à l’hôpital en mode “tiens, surprise tragédie !” et la sœur qui nous sort une romance dramatique d’un coup… à cause de la meilleure amies 😵‍💫 On aurait dit que le drama voulaient tout raconter en même temps. Résultat... Bah le vrai sujet, l’alcoolisme, il a disparu au fond d’un verre vide 🥲

Moi qui aimais le ton décalé mais sincère de la première partie, j’ai eu l’impression qu’on glissait dans un Kdrama plus classique, plus larmoyant lors de la seconde… et certains épisodes d’1h m’ont paru durer une éternité 😩

Alors ouais, le final est doux, lumineux, réconfortant… mais ça n'a pas suffit à me faire oublier le flou de ce dernier tiers... Dommage, parce que le début avait ce truc unique, ce mélange rare entre rom-com chelou et drame social touchant 🥺

Bref, c’est pas un drama raté, mais c’est un drama qui aurait pu être bien plus fort s’il avait pas voulu autant partir dans le mélo... Il y a de vraies perles dedans, des émotions sincères, une dénonciation subtile et intelligente… mais ça se perd en route 🍻💫✌🏻

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"Les parasites", c’était pas eux... C’était moi... le film m'a perdu

Bon... Je vais être directe, j’ai pas aimé... 😬
Oui, je sais, Palme d’Or, chef-d’œuvre du cinéma coréen, analyse sociale ultra brillante… mais j’ai beau retourner ça dans tous les sens,ça m’est passé au-dessus... 😐

J’ai tenté d’accrocher... Y’avait une vibe, un décor, un truc un peu crasseux au départ qui me disait "tiens 🤔, ça peut devenir intéressant". Mais très vite, le film a commencé à me perdre...
Il y a cette ambiance à la fois burlesque, tragique, presque absurde… mais j’ai jamais vraiment su sur quel pied danser 🤷🏼‍♀️
Un coup tu rigoles (jaune), un coup tu frissonnes, je me suis demandée si j'avais pas raté une métaphore. Clairement je n'ai pas été émue, ni vraiment choquée, Juste larguée... 😵‍💫

La famille... Pas attachante. Les riches... caricaturaux...
Le twist final... Un peu gratuit je trouve...
Et ce message social qu’on a essayé de me vendre comme une pépite… bah je l’ai trouvé balourd 😔 J'ai eu la sensation que le film voulait à tout prix me faire comprendre quelque chose, mais en me le martelant à coups de scènes dérangeantes plutôt qu’en me le faisant ressentir... 😩

Alors oui, c’est bien joué, oui, la mise en scène est propre 👌🏻. Mais derrière tout ça, pas de frissons, pas de tension, pas de cœur qui bat… RIEN ! 🤷🏻‍♀️

Bref, j’en retiens une expérience froide, confuse, un peu prétentieuse sur les bords. Peut-être que c’était brillant, mais perso je n'ai rien ressenti, et j’ai décroché bien avant la fin même si je suis allée jusqu’au bout ✌🏻

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Une ambiance qui hante, une fin qui s’évapore...

"Revenant" c’est ce genre de K-drama chelou que tu lances par curiosité… et qui finit par te posséder 😈 Dès les premières minutes, j'avais ce sentiment bizarre qui te colle à la peau, je savais que j'allais pas sortir indemne de ce truc 😂. Y’a une vraie ambiance de malaise, qui est pesante, obscure 😶‍🌫️

Concernant les acteurs, Kim Tae Ri, bordel… cette femme est une actrice possédée, au sens propre et figuré 🫠🔥. Elle joue San Yeong avec une intensité folle, entre peur, souffrance et cette part d’elle qui glisse peu à peu dans l’obscurité... J’ai eu des frissons rien qu’à ses regards perdus 🫨. Tu sens direct qu’elle traîne des secrets, des douleurs. Et face à elle, Oh Jung Se… toujours aussi exceptionnel 👌🏻. Il a ce truc unique pour jouer les mecs un peu paumés, un peu perchés, mais profondément humains. Le duo fonctionne à merveille 🫶🏻. Il y a de la tension, du mystère, de l’émotion. Même quand je captais pas tout, j'étais là, scotchée 😮‍💨

Mention spéciale à Hong Kyung, le flic un peu sceptique 🤔, il est discret au début mais il finit par vraiment s’imposer. Le trio marche bien, et ça donne de vrais bons moments, entre frissons et complicité timide. La dynamique est douce, mais efficace 👍🏻

Le drama m'a baladé dans un flou total, et c’est ce qui m’a plu 👍🏻. Chaque réponse amène plus de doutes... Chaque apparition de fantôme m'a laissé sur le cul. C’est flippant, mais jamais gratuit, c’est cérébral, mais jamais chiant... L’ambiance est juste DINGUE 🖤 !!! Il y a aussi cette enquête qui monte en tension, des rituels bizarres, des histoires de famille tordues, et au centre de tout ça, une malédiction qui fout les jetons... 🥶

Mais… (oui, y’a un mais 😬) La fin... Ce twist du miroir censé tout expliquer, tout résoudre… j’ai pas pu m’empêcher de lever les yeux au ciel 🙄. Après toute cette tension, tout les non-dits, toute cette noirceur… j’attendais un final viscéral, un dernier coup de flip qui serait venu m’écraser... Et au lieu de ça, on me sort un “regarde-toi dans le miroir et pouf” 😡. C’est propre, c’est net… mais c’est trop simple, trop sage... Ça m’a laissé sur ma faim 😩

Bref, au final "Revenant", c’est une vibe sombre, étrange, intense 👍🏻. C’est un drama qui te prend l’âme doucement, mais sûrement. J’ai adoré me perdre dedans, même si j’aurais aimé une sortie plus fracassante... J'sais pas, genre un petit rituel de plus, un twist plus douloureux, et ça aurait pu être un K-trauma... là, c’est juste bon… mais pas inoubliable ✌🏻

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Plus unis, plus barrés, plus efficaces...

Dès les premiers épisodes, "Taxi Driver 2" m’a grave surprise… dans le bon sens ! 🔥 Là où la saison 1 posait les bases sombres d’un justicier de l’ombre, la saison 2 prend un virage plus fun, stylisé, tout en gardant ce fond ultra engagé contre les pires injustices de la société 😤. Il y a une vraie auto-dérision qui plane sur cette saison, avec des déguisements improbables, des répliques piquantes, des clins d’œil malins… et pourtant, l’émotion débarque toujours pile au bon moment 💥

La team Rainbow, est plus soudée que jamais 🫶🏻 Une vraie famille de héros clandestins, chacun avec ses vibes, ses failles, ses coups d’éclat 🫰🏻L’ambiance, elle jongle entre tension, éclats de rire, vengeance bien servie et petits moments tendres totalement inattendus. Et c’est ce mélange qui rend cette saison bien plus riche et kiffante à suivre selon mes goûts 😉 J’ai eu l’impression qu’ils avaient enfin trouvé LEUR ton, leur équilibre, et qu’ils assumaient à fond le délire 😎🚖🌈

Côté intrigues, j’ai trouvé les thématiques plus audacieuses. Chaque arc a son ambiance, son style, et même si ça change du tout au tout, ça fonctionne 👍🏻 Je trouve qu'il y a une maîtrise des contrastes qu’on n’avait pas autant dans la saison 1, qui restait plus brute, plus rentre-dedans émotionnellement.

Mais LA vibe qui m’a fait dire « ok, ils ont tout compris », c’est l’ambiance sonore... Dès les premières scènes, les musiques claquent fort et m'ont direcr embarqué 🤩. Ça donne un petit côté nerveux, classe, à chaque mission 😮‍💨🔥. Chaque son colle à la scène, que ce soit baston, tension ou émotion silencieuse. Franchement, j'avais envie de monter le son et de partir en mission avec eux 🚖💨🎶

Après, petit bémol sur l’idée d’un infiltré dans la Rainbow Team 🌈. J’étais hypée au début, le potentiel de twist était énorme, j’attendais un vrai jeu de dupes, de la méfiance, des regards qui parlent sans mots… Mais nope 😩. On Ha Jun débarque comme une fleur, tout le monde l’accueille tranquillou alors qu’ils sont censés bosser dans l’ombre… et ses regards chelous dès l’épisode 2 ?!? C’était grillé à 10 km 😬... Dommage, y’avait un vrai truc à jouer, mais j'ai trouvé que l’exécution manquait de subtilité 🤷🏼‍♀️

Cela dit, même si les révélations autour de lui sont prévisibles, j’ai quand même aimé le chemin 👍🏻. Son perso reste suffisamment trouble pour qu'on doute, qu'on espère, pour que tu cogites jusqu’au bout 🤯. Et puis... faut parler des caméos 😍... Que des petits cadeaux pour les fans, semés tout au long du drama 🎁. C’est le genre de détails qui rend cette saison 2 encore plus fun, complice, et généreuse. Un vrai plaisir 🫰🏻

Bref, "Taxi Driver 2", c’est la version plus libre, plus fun, plus maîtrisée de son aînée. Et moi, j’ai grave kiffé. Maintenant… saison 3, je t’attends au tournant 💪🏻😎🚕✌🏻

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Le passé avait des tripes, le présent manque de souffle...

Alors déjà, le changement d’époque… c’étais audacieux, mais j'ai trouvé ça un poil déroutant. On quitte le Gyeongseong des années 40 pour atterrir en 2024, c’est la grosse bascule. On sent que le but est clair... Il veulent étendre l’univers, relier les vies passées à celles du présent… sauf que sur le moment, jai eu la sensation que c'était plus un “saut dans le vide” qu'un “twist de génie” 😅

Retrouver les visages familiers dans un autre temps (Park Seo Joon et Han So Hee en mode réincarnation ✨), c’était intriguant, mais il manquait quelque chose... 🤷🏼‍♀️ Peut-être l’émotion de la saison 1, ce truc viscéral, s’est un peu diluée ici je trouve... Surtout que leurs souvenirs mettent mille ans à ressurgir 🧠🌀 Et quand c’est enfin le cas… on touche déjà à la fin 🙃

Et parlons-en de la fin 😮‍💨
Ho Jae, le scientifique du présent, est en réalité… Seishin, la créature du passé... encore en vie, planqué dans un corps humain depuis 80 ans 🤔... Ok, l'idée est originale mais le développement m'a laissé un peu perplexe. J'ai senti la volonté de faire le pont entre les 2 saisons, de poser une nouvelle menace… mais j'ai trouvé que ça manquait de clarté, de tension, et parfois de logique... 😵‍💫

Le fil rouge, est la connexion entre Tae Sang et Chae Ok 🥹 Quand leurs souvenirs refont surface, y’a une vraie émotion 🫶🏻. C’est poétique, doux-amer, mais là encore, c’étais trop peu... J'aurais voulu plus de scènes fortes, plus de tension, plus de “nous contre le reste du monde” 🔥

Concernant la fin, c’est une fin semi-ouverte, elle est pas frustrante mais je l'ai pas trouvé non plus ultra marquante... 🫣
On sent clairement qu’ils se laissent une porte entrebâillée pour une éventuelle saison 3, avec une nouvelle menace ou une évolution du virus 🦠

Visuellement par contre, rien à dire 👌🏻. La réal est propre, la tension est là, et l’esthétique toujours aussi marquante 👍🏻. Mais niveau cœur, j'ai trouvé que c’était plus froid, plus cérébral... Qu'il y avait loins de tripes 🤷🏼‍♀️

Je trouve que la vibe SF prend beaucoup plus de place que l’horreur historique du début 😑. Entre implants et manipulations scientifiques, j'ai perdu l’essence de ce qui faisait le charme glaçant de la première saison 😔

Bref, "Gyeongseong Creature 2" à un univers qui tient encore debout, mais dans l’ensemble, jai trouvé que c’étais moins intense, moins viscéral... 🤷🏼‍♀️✌🏻

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Et si le vrai déserteur… c’était le système ?!?

J’ai trouvé cette saison 2 un peu plus solide que la première 👍🏻. On reste sur un univers oppressant, froid, brutal, mais j’ai ressenti plus d’enjeux, et cette fois plus de liant entre les épisodes.
On est toujours dans le système militaire coréen… 🎖🇰🇷 c'est toujours aussi dégueulasse et violent… mais cette fois, j'ai trouvé qu'on poussé un peu plus loin la réflexion 🧠⚖️

Les personnages ont aussi gagné en nuances 🫰🏻. Ahn Jun Ho, il a pris du galon dans ma tête 🫶🏻 Il doute, il se rebelle, mais il continue à faire son taf de D.P...ce rôle absurde de chasseur de déserteurs dans un système lui-même pourri jusqu’à l’os. Il veut bien faire, mais à chaque mission, j'ai pu sentir qu’il s’abîmait un peu plus… et franchement ça serre le cœur 😔

Et Han Ho Yeol, il est toujours là pour balancer ses punchlines décalées, sauf que cette saison, il cache plus de noirceur 🖤. Il est plus posé, plus amer… fatigué même. Leur duo est moins fun, plus mélancolique, mais toujours attachant 🫶🏻🫠

J'ai trouvé que les déserteurs qu’ils croisent sont aussi mieux développés. Moins “un cas par épisode”, il y a plus de continuité ici, de souffrance accumulée 👍🏻. Il y a des histoires qui restent collées, même après le visionnage 🥺. Mention spéciale à la storyline de Park Sung Woo, qui m’a fendu le cœur 😞🪖 J'ai trouvé le traitement plus subtil cette fois, même si certains passages étaient encore trop survolés à mon goût...

Par contr visuellement, c’est toujours aussi froid, mais la réal prend un peu plus de risques 👌🏻. J’ai trouvé certaines scènes vraiment puissantes, genre silencieuses mais qui t’éclatent de l’intérieur. Franchement pas besoin d’en faire des caisses, l’ambiance parle toute seule 😮‍💨👍🏻

Mais même avec ça… ça reste un peu figé par moments. Parfois, j’ai eu l’impression qu’on tournait en rond, qu’on rabâchait la même critique sociale encore et encore, sans toujours aller au bout... 😮‍💨 J’aurais aimé qu’ils poussent les limites, qu’ils explosent un peu plus le système au lieu de juste le pointer du doigt 🧨

Et cette fin… elle est douce-amère, logique, mais un peu être un peu trop sobre... J’ai pas eu le feu d’artifice que j’espérais. J’ai compris le message, mais j’aurais voulu qu’on le hurle, pas qu’on me le glisse à l’oreille 😶‍🌫️

Bref, c'est selon moi une saison 2 plus maîtrisée, plus dense émotionnellement, mais trop sage dans sa révolte. J’ai apprécié… sans être totalement conquise. Ça reste un bon drama, avec un fond important, mais pas encore le coup de poing que j’attendais 💥✌🏻

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Plus nerveux que profond… mais j’dis pas non à une suite.

J’avais grave hâte de replonger dans l’univers après "Shark: The Beginning" que j’avais grave apprécié 🥵, mais ce deuxième round… comment dire 🤔 ça cogne fort, ça va vite, mais niveau fond, j’ai trouvé ça un peu light... 😅

Déjà, ce format 6 épisodes de 25 min... Pourquoi ? 🤷🏼‍♀️ C’est trop court pour vraiment poser une intrigue qui tient la route, et trop long pour juste kiffer de la baston non-stop... J'ai trouvé qu'on m'avais balancé dans une sorte de chaos bien stylé, mais où l’histoire passe clairement en second plan 😑... Dommage, parce que le potentiel était là, et il y avait plein de choses à creuser... 🤷🏼‍♀️

Le scénario, on le sent, il est là pour servir les scènes d’action, pas l’inverse... Les combats, sont évidemment stylés 🤜🏻🤛🏻 C’est chorégraphié à la perfection, c’est brutal, intense, et t’en prends plein les yeux. Mais parfois, j'ai trouvé que c'était un chouïa too much, genre on flirte avec le grand n’importe quoi 😵‍💫

Et au milieu de tout ça, y’a quand même Lee Hyun Wook qui m’a totalement conquise 👌🏻. Ce mec-là, dans le rôle du président Hyun U Yeong, il dégage un truc de dingue 😈. Mi-glacial, mi-charismatique, il incarne le parfait bad guy moderne. C’est pas juste un mec qui tape, il en impose, il manipule, il calcule. J’aurais voulu plus de scènes sur lui, parce que c’était vraiment une valeur ajoutée 🔥👍🏻

Concernant la réal, c'est est propre, efficace, très visuelle 👍🏻. Y’a ce ton un peu sombre, une tension constante, la musique est bien placée. Rien de vraiment révolutionnaire mais ça fait le job, et ça maintient l’adrénaline jusqu’à la fin 😊

Et justement, parlons de cette fin, ouverte, frustrante, intrigante.... Ça sent fort la suite, mais du coup, ça m’a laissée sur ma faim 😐

Bref, "Shark 2" m’a fait passer un bon moment. J’ai vibré sur les fights, j’ai adoré le bad guy, et j’ai pas vu le temps passer. Mais en dehors de ça, je trouve qu'il manque un truc... Un peu plus de cœur, un peu plus d’âme, un peu plus d’histoire 🤷🏼‍♀️. J’attends de voir si une suite viendra remettre de l’ordre dans la tempête 🌀🦈

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