
L'horreur, c'est l'Homme !
Donner un visage commun à la laideur des actes commit pendant la colonisation de la Corée par le Japon est une idée brillante. En ce point, la première saison de Gyeongseong Creature est excellente. Quant au reste…C'est un sacré morceau de l'Histoire coréenne que Kang Eun Kyung et Jung Dong Yoon souhaitent livrer. L'intrigue se tise autour d'une lourde période, forçant ainsi l'armée impériale japonaise à prendre les traits d'une créature destructrices suite aux expériences scientifiques dénuées de toutes éthiques.
Dans ce contexte, les personnages entrent en scène. Malgré un casting aux petits oignons, j'ai été incapable de me prendre d'affection pour eux. Qu'ils soient sur le point d'être repérés ou sur le point de mourir, je ne m'en souciais pas plus que ça. Pourquoi ai-je été si hermétique ? Je l'ignore. Malgré tout, cela ne m'a pas empêché d'apprécier une grande partie de l'histoire.
À mes yeux, la créature est sous-exploitée. Oui, sa nature de tueuse redoutable est avancée et mise en scène plus d'une fois. Cependant, tuer pour tuer n'était sûrement pas son unique intérêt. Il suffit de s'attarder sur la férocité de la créature, mais où la génétique ou les modifications ne peuvent altérer son instinct maternel. Peut-être que ce point sera plus développé dans la deuxième saison. En attendant, sur cette première saison, il lui manquait un rôle. Elle était le miroir des actes perpétrés par le Japon, mais elle est restée une créature aux besoins primaires. Sans elle, ce n'est qu'une histoire de guerre. Avec elle, il y a cette pointe d'anticipation supplémentaire. Et pourtant, je regrette qu'elle ne soit qu'une figurante.
La violence est présente avec des scènes graphiques. En soit, ce ne sont pas des scènes qui me gênent, mais au bout du 23ème, je me suis demandée si les morts avaient un sens, autre que celui de dépeindre une créature violente. Et finalement, je me suis demandée si ce n'était pas le but, justement. Afin d'attirer l'attention sur la dure réalité de la guerre. Sa violence et ses morts à profusion. Encore une fois, la créature représente les japonais.
Les décors sont propres ainsi qu'une majorité des effets spéciaux. L'ambiance est superbe, alors qu'elle jongle entre l'angoisse, la tension et l'effroi. Jung Dong Yoon s'amuse beaucoup avec les lumières, bloquant parfois la vue ou mettant le téléspectateur au même niveau que les personnages, ignorant ce qui avance dans le noir des sous-sols. La mise en scène est sans aucun doute ma partie préférée.
Quant à la fin… Aussi décevante qu'elle puisse être, elle n'est pas une surprise non plus. Netflix veut toujours plus de gâteau. Le final apporte avec lui de nombreuses questions, d'autant plus que la deuxième saison se déroulerait à notre époque. Dans la première saison, absolument toute l'intrigue nous faisait comprendre que la créature était une déesse, car parfaite, en plus d'apprendre que sa création est une réussite rarissime. Cela dit, il traîne toujours un œuf ou deux quelque part, surtout quand c'est imprévu et qu'on veut se resservir d'une part de gâteau. Mais comment expliquer deux réussites ? Ou peut-être trois ? Et pourquoi pas quatre ? Mieux encore, pourquoi passer de 1945 à 2024 d'une saison à l'autre ? Ce final enfonce beaucoup de portes, mais il n'est en rien une motivation pour avoir envie de se plonger dans sa suite. Pour cette raison, une fin fermée aurait été plus intéressante, quitte à rouvrir quelques portes par la suite, sereinement.
Certes, le battage médiatique autour de Gyeongseong Creature en décevra plus d'un. C'était mon cas lorsque j'ai commencé à me rendre compte que les personnages n'avaient aucun intérêt à mes yeux, et encore moins quand j'ai vu les esquisses d'une romance qui n'a rien à faire là.
En bref, malgré ses longueurs inutiles Gyeongseong Creature est un drama qui amène un vent de fraîcheur à l'Histoire coréenne sous couvert d'une œuvre à la fois historique et fantastique pour l'illustrer. Rappellant au passage que le meilleur ennemi de l'Homme, c'est l'Homme lui-même !
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Plongée dans l'ère coloniale
Pour commencer, j'ai attribué la note de 8,5 à "Gyeongseong Creature" car bien qu'il prenne un peu de temps à démarrer (sur deux épisodes), une fois lancé, on est complètement captivé. Ce drama est incroyablement addictif.Premièrement, le jeu des acteurs est remarquable. Étant situé à l'époque coloniale, plusieurs acteurs jonglent entre le coréen et le japonais de manière impressionnante, ce qui enrichit l'authenticité et l'immersion dans l'histoire.
Deuxièmement, l'intrigue nous absorbe totalement. On traverse une palette d'émotions diverses : colère, tristesse, soulagement... Chaque épisode est une montagne russe émotionnelle qui nous tient en haleine. Les personnages sont bien développés et leurs arcs narratifs nous font vivement ressentir leurs luttes et succès.
Troisièmement, les aspects techniques du drama sont tout aussi louables. Les décors, les effets spéciaux et les costumes sont d'une qualité incroyable, reconstituant avec soin l'époque coloniale de la Corée. Chaque détail contribue à construire un monde captivant et crédible.
Enfin, bien que je ne sois généralement pas fan des dramas en période de guerre et de colonisation en raison de leur intensité émotionnelle, "Gyeongseong Creature" trouve un équilibre parfait entre action, intrigue, émotions et développement des personnages. Le suspense et l'envie de découvrir la suite de l'histoire sont constants. J'attends avec impatience la seconde partie prévue pour janvier !
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“A Criatura de Gyeongseong” — até monstros servem à história, quando ela é bem contada
Confesso: monstros e ficção científica não são exatamente minha praia. Mas “A Criatura de Gyeongseong” me pegou pelo braço e me fez atravessar uma ponte entre o medo e a memória histórica. E que travessia!A trama se desenrola na Seul dos anos 1940, sufocada pela ocupação japonesa — um cenário que já traz tensão suficiente sem precisar de criatura alguma. Mas a narrativa vai além do óbvio: costura com inteligência o horror do sobrenatural com os horrores humanos, como ganância, dominação e crueldade científica.
É como se o monstro fosse só um espelho grotesco da própria história. E nesse reflexo, a coragem das personagens principais brilha. Uma protagonista afiada, decidida, que não se curva — e um herói que enfrenta não só a besta, mas seus próprios limites.
Se você torce o nariz pra esse tipo de gênero, como eu fazia, arrisque. Porque aqui, o que realmente assombra... não é a criatura.
“Às vezes, o terror não vem das sombras — vem da história que a gente fingiu esquecer.”
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Jang Taesang é um homem que viu sua mãe ser presa e posteriormente morta pelos japoneses quando ele era um menino. Para manter a promessa feita à mãe de se manter vivo, ele se mantém longe dos conflitos com os japoneses até que o destino dele encontra o de Yoon Chaeok, uma detetive determinada que está procurando pela mãe desaparecida há 10 anos.
Taesang acaba sendo intimado a resgatar a amante de um oficial japonês que foi levada para o hospital (onde os militares realizam experimentos) a mando da esposa legítima do oficial. Com isso Taesang e Chaeok acabam unindo forças para se infiltrar e resgatar as pessoas presas no hospital.
Digamos que a primeira metade do drama funciona como ambientação e preparação para o clímax que acontece na segunda parte com o resgate propriamente dito e o embate com os vilões. Achei esse primeiro momento mais devagar e até um pouco chato, mas "devorei" os episódios da segunda parte. E sinceramente foi muito satisfatório a cena no velório do Oficial e o bilhete de Taesang manda para a Sra Maeda e o desfecho disso.
Ansiosa pela segunda temporada que vai trazer explicações sobre aquele final enigmático que parece trazer elementos de viagem no tempo.
P.S: Assisti a segunda temporada e não tem nada de viagem no tempo kkkkkkkkkk
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Quand l’esthétique dépasse l’émotion...
J’suis un peu embêtée avec "Gyeongseong Creature"… parce que sur le papier, c’est tout ce que j’aime, une vibe sombre à souhait, une période historique bien tendue, un duo principal magnétique, des créatures flippantes et un fond de critique sociale qui pique 👀🔥Mais dans les faits… ben, ça décolle jamais vraiment... 🤷🏼♀️😤
Après, faut dire que visuellement, c’est carré 👌🏻 L’esthétique est soignée, presque trop... Tout est clean, stylisé, avec des plans "wahoo", ça installe direct une tension pesante, c’est très réussie 👍🏻. On sent l’effort de production, y’a rien à dire là-dessus 💅🏼
Park Seo Joon en Jang Tae Sang, il est convaincant, il a ce côté à la fois désabusé, intelligent et ultra protecteur qui fonctionne bien 🫰🏻. Han So Hee en Yoon Chae Ok, j’ai adoré son aura de survivante. Elle dégage une force silencieuse, une intensité discrète mais présente 🗡️ Leur alchimie est là, en filigrane… mais ça reste trop timide... J’aurais voulu plus 🤭, plus de tension, plus de flamme, plus de moments volés dans l’horreur 😩😍
Le gros souci pour moi, reste le rythme... On commence fort, l’univers se pose bien, et ensuite… ça traîne trop longtemps 🥱. Je trouve que ça tourne un peu en rond entre le laboratoire secret, les fuites dans les souterrains et les révélations qu’on voit venir depuis deux épisodes... L’horreur est là, la créature est flippante, mais y’a pas ce crescendo haletant que j’attendais dans un drama comme ça 😬
Et cette fin ?!? Ce pseudo twist, ce cliffhanger à la sauce “à suivre dans la saison 2”... Franchement ! Je sais pas... j’aurais préféré une vraie conclusion. Là jai trouvé que c’était too much, mal dosé, et ça m’a frustrée plus qu’autre chose 😤
J'ai aussi un truc à dire sur le fond du drama, avec le contexte historique japonais, les expérimentations humaines, les personnages brisés par la guerre… tout ça est hyper fort 👌🏻, mais j’ai trouvé que c’était pas assez creusé... Le message est là, j'ai capté l’intention, mais il manquait cette petite étincelle... Au final tout reste à la surface, un peu comme les persos secondaires d’ailleurs... certains sont intéressants, mais clairement sous-exploités 😕
Bref, selon moi "Gyeongseong Creature", est un drama qui avait tous les bons ingrédients mais qui a galèré à les assembler... C’est beau, c’est sombre, c’est ambitieux, mais j'ai trouvé que c'était trop lisse et trop long pour ce que ça voulais raconter... 🤷🏼♀️
Je garde un œil curieux pour la saison 2, surtout vu le casting 🔥✌🏻
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Mistura de história, romance, mistério, ficção científica e monstros!
Assim que terminei o último episódio, sentei para escrever esta resenha. Mas confesso que estou até o momento tentando entender se gostei ou não do drama. Não que eu não tenha gostado, mas também ficou longe de ser um dos melhores que já assisti. Talvez pela expectativa que criei já que tínhamos nada mais nada menos que Park Seo Joon e Han So Hee no elenco, eu estivesse esperando um drama daqueles de tirar o fôlego. E na real, nem achei que eles combinaram tanto assim como casal na trama.Como destaque, embora A Criatura de Gyeongseong seja uma história de ficção, ela leva a sério seu cenário histórico já que é ambientado em momento traumático da história da Coreia. Gostei da abordagem que representa claramente a histórica da ocupação japonesa sobre a Coréia porém incorporando elementos de aventura e fantasia resultando em uma narrativa envolvente que prende a atenção.
Ainda dentro dessa abordagem histórica da ocupação japonesa, também fica óbvio na trama os limites da ciência num confronto militar com experimentos desumanos realizados no hospital onde a história se desenrola o que acaba adicionando mais profundidade à trama
O final da primeira temporada deixa margem muito clara para uma possibilidade de segunda temporada que pode ser totalmente diferente. Além da cena da Criatura ter transferido sua energia ou essência vital para sua filha, tendo a possibilidade de trazer o personagem de Han Soo-hee de volta à vida, o episódio 10 inclui pós-créditos que avança para décadas no futuro enquanto um homem interpretado por Park Seo-joon aparece. O que pode significar a continuidade entre gerações. Muitas possibilidades que poderiam surgir numa possível segunda temporada já que além destes dois fatos existem alguns outros que ficaram em aberto: O que aconteceu com o bebê de Myeong-já? O que aconteceu com Lady Maeda?
A curiosidade é grande mas não resta outra coisa a não ser aguardar!
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bon drama
Gyeongseong Creature est un drama coréen vraiment prenant et intense, qui mélange habilement thriller, horreur et drame historique. L’histoire se déroule dans les années 1940, pendant la période de l’occupation japonaise en Corée, et elle réussit à créer une ambiance oppressante et captivante du début à la fin. C’est une série qu’on commence en se disant qu’on va juste jeter un coup d’œil… et qu’on finit par enchaîner sans voir le temps passer.Ce qui frappe tout de suite, c’est l’atmosphère. Les décors, la lumière, les costumes… tout est soigné et ultra immersif. On est plongé dans une époque tendue, où le danger vient autant des humains que de ce qui rôde dans l’ombre. Le mélange entre contexte historique et éléments surnaturels est hyper bien dosé, sans jamais tomber dans le ridicule ou le too much. Au contraire, ça donne à l’intrigue une tension permanente et un côté mystérieux qui donne vraiment envie de savoir ce qui se cache derrière toute cette affaire.
Le casting est impeccable. Park Seo-joon et Han So-hee livrent des performances intenses et très convaincantes. Ils portent la série à bout de bras et leur alchimie à l’écran fonctionne parfaitement. Leurs personnages sont bien écrits, avec chacun un passé, des blessures et une raison de se battre, ce qui les rend attachants et crédibles. Les personnages secondaires ne sont pas en reste et apportent beaucoup à l’histoire, certains étant même de belles surprises.
Niveau scénario, ça tient bien la route. Il y a du suspense, des rebondissements et pas mal de scènes à couper le souffle. Les épisodes montent progressivement en intensité, avec un bon équilibre entre moments calmes et séquences d’action ou de tension. C’est aussi une série qui traite de thèmes lourds comme l’oppression, la survie, et la résistance, mais qui sait le faire sans jamais être plombante, en intégrant des moments d’émotion et de solidarité qui touchent.
Visuellement, c’est un sans-faute. La réalisation est soignée, avec des plans magnifiques et une ambiance sombre qui colle parfaitement à l’histoire. Les effets spéciaux sont réussis et renforcent le côté fantastique sans en faire trop. Mention spéciale pour la créature elle-même, qui est à la fois effrayante et intrigante.
En résumé, Gyeongseong Creature saison 1 est un excellent drama à suspense, qui mélange habilement horreur, histoire et action. C’est prenant, bien joué et visuellement bluffant. Si vous aimez les séries sombres, avec une intrigue bien ficelée et des personnages forts, celle-ci vaut vraiment le détour. Et franchement, une fois lancé, difficile de décrocher. Vivement la suite.
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resneha
A Criatura de Gyeongseong foi uma verdadeira surpresa para mim. A trama conseguiu me prender do início ao fim com sua mistura de mistério, ação e aquele toque sombrio que deixa tudo mais intrigante. O único episódio lançado até agora foi simplesmente divino, entregando exatamente o que eu esperava — e até um pouco mais.Os personagens foram outro ponto forte. Cada um deles tinha uma presença marcante, e senti que todos estavam ali por um motivo, com papéis bem construídos dentro da história. O protagonista, em particular, foi cativante, e fiquei ansiosa para ver mais do desenvolvimento dele nos próximos episódios. O equilíbrio entre a narrativa de época e o terror foi algo que a série conseguiu dominar com maestria, criando uma atmosfera tensa, mas ainda envolvente.
O único episódio deixou um gostinho de "quero mais" e já me deixou empolgada para a segunda temporada. A forma como o episódio termina, com aquele gancho perfeito, só aumentou minha ansiedade para ver o que vem por aí. Mal posso esperar para mergulhar novamente nesse universo e descobrir o destino dos personagens e como eles vão enfrentar os desafios que estão por vir.
Para quem ainda não viu, recomendo muito. Mesmo com apenas um episódio até agora, já dá para perceber o potencial incrível da série. Estou contando os dias para a continuação!
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A esperança contra a opressão e a vingança de uma criatura ressentida
A sensação que eu tive era de que poderia ser uma série bem mais interessante, porque o visual é bonito, o elenco é muito bom, os temas abordados são fortes, mas, a narrativa do protagonista masculino é muito limitada e a narrativa do romance contribuiu pra que a história ficasse desconexa.O romance foi tão acanhado que eu comecei a rir no episódio que a Chae-ok (FL) segurou o braço do Tae-sang (ML). Parecia que tinham contratado dois desconhecidos e colocaram eles pra encenar aquela cena. Não vá esperando muita química desse casal, porque não tem quase nenhuma.
Vi críticas sobre o Park Seo-joon atuando como Jang Tae-sang mas pra mim ele se esforçou e fez o máximo com o que ele tinha. Nós vemos um cara que só olha para o próprio o umbigo desde o primeiro episódio e a história (de forma sutil) tenta acrescentar qualidades nele, como a compaixão, a liderança, a benevolência em ajudar o próximo, mas a ideia da escritora com esse personagem é de que ele fosse como uma pessoa dos dias atuais, inserido naquela época e tentando sobreviver naquele contexto e naquelas situações. E é isso que ele é, um homem que toma decisões questionáveis assim como nós, tentando sobreviver, o que limita e fecha portas pra um desenvolvimento mais complexo dele.
Ah Chae-ok… aqui temos um assunto mais problemático, o diretor ou quiçá a própria escritora queria deixar implícito o quanto a protagonista feminina era forte e durona, tanto que há uma desconstrução da imagem de força na interação dela com os personagens de suporte e até mesmo com o Tae-sang. Quando você pensa em um guarda, um pai, ou um magnata, você imagina que eles tem algum senso de proteger, de tomar ação e tudo bem caso não tenham até porque eles estão dentro de uma narrativa mas esses pontos sempre eram mostrados de forma inferior ao lado dela e deixaram a protagonista incoerente com o restante dos personagens. E assumindo que foi proposital, é contraditório eles terem abandonado todo o desenvolvimento nos últimos episódios pra mostrar uma Chae-ok mais frágil, mais sentimental e até mais afetiva.
Agora um dos detalhes que eu curti bastante foi a representação da esperança na cor azul. Temos não só a cena de abertura, que mostra a criatura usando uma roupa azul, como também uma cena em um dos episódios de uma criança inocente que estava no laboratório usando azul, e um dos líderes dos rebeldes usando uma gravata azul, o próprio protagonista joga seu lenço azul fora enquanto diz que não faria parte dos rebeldes (como se estivesse jogado fora sua esperança no passado) e até mesmo a Maeda sentada em uma almofada azul, que na minha visão simboliza que ela tinha esperança de conseguir fazer o Tae-sang ficar com ela. E no final, toda Gyeongseong fica azulada, como se não só a paz mas a esperança do povo tivesse reinado. O que nos revela que, não importa se é um oprimido, um inocente, um vilão ou uma criatura, sempre há espaço para a esperança… ou não.
Provavelmente não vou assistir a segunda temporada, pelos problemas que eu citei sobre os protagonistas mas dentre os altos e baixos, dá pra aproveitar, inclusive o CGI dessa série ficou bom. E a verdadeira criatura é a Maeda, que por causa da rejeição submeteu inocentes àquelas condições horríveis. Como se não bastasse a opressão do povo de Gyeongseong.
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??
nasci pra assistir um dorama da so hee com o seo joon, dorama mais que perfeito viado. assisti a primeira temporada há um ano atrás e fiquei tão triste pq terminei rápido e quase explodi quando descobri que iria ter uma segunda temporada. admito que senti falta do meu namorado wi ha jun, o coitado tendo 5 segundos de cena na 2t (literalmente 😭) mas tirando isso, eu gostei mt mt dessa segunda temporada, confesso que fiquei um pouco confusa, achei que eles tinham viajado no tempo e teve parte que ficou mt aberta (ou eu burra não percebi) tipo, como o najin entregou nele em 19 e bolinhas? o que aconteceu pra ele ter feito a cirurgia e ter perco a memória? como injetaram o najin nela? mds é mt pergunta!Was this review helpful to you?

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Vamos esperar o desfecho.
Eu já esperava que o final ia ser assim, aberto, mas eu desejei que não, que acabasse ali e pronto, não gosto dos dramas da Netflix porque ela tá com mania de fazer continuação e pra mim com Dorama isso nunca funcionou, isso estraga a históriaEnfim, não sei se estou satisfeita com esse final, eu torcendo pra Maeda morrer, ainda tava viva e provavelmente ia virar monstro, o nojento do Kato ficou vivo e ainda tinha o bebê e acho que pra piorar TUDO a mãe quis salvar a filha que ODIEI essa cena dela ter matado a própria filha e ela vai virar monstro também. Não gostei.
E o final do tae sang no futuro, no caso um ancestral dele seila, não entendi
Mas o que eu gosto de gyeongseong, inclusive me lembrou muito de mr sunshine é a luta e o sofrimento que eles retratam na época da invasão do Japão, eles sinto que eles gostam disso porque eles sobreviveram e no fim venceram, eu realmente gosto disso, me sinto aprendendo história sem nem precisar sentar pra ler sobre. Esperava mais do drama, mas ele entregou muita atuação, principalmente da so hee e o seo Joon, que dupla e muitas reviravoltas.
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Espetacular
Nos primeiros três episódios foram mais lentos, mas a partir do 4 ep tudo ficou mais empolgante, viciei e maratonei de uma vez. O mestre Jang sendo um play boy gostoso, corajoso, inteligente e fiel. A detetive sendo a diva maravilhosa que ninguém pode pisar em cima. O romance deles foi lindo de se ver. Toda a trama, enredo, os vilões, muito bom. Já vou começar a segunda temporada!!!Was this review helpful to you?