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Petit coup de cœur pour cette brise légère à la saison des pluies !
A Breeze of Love me fait penser à ces histoires d’amour qui n’ont pas nécessairement besoin d’explications. Elles existent avec sincérité et simplicité, et elles n’ont pas besoin de plus.Sur le papier, l’histoire n’est pas si originale. Deux amis de lycée se séparent et se retrouvent cinq ans plus tard avec quelques pointes de rancœur. L’histoire des amis partageant des sentiments, mais refusant de l’avouer est assez classique. La différence est dans la façon dont les choses vont s’entrecroiser. Malgré sa lenteur, A Breeze of Love est pour moi une petite douceur dans laquelle j’ai aimé me perdre au point d’ignorer ses quelques défauts.
Tout d’abord, les personnages. Ils ne sont pas parfaits. Par exemple, on sait que très peu de choses sur Do Hyun. Il aime le basket et garde une rancune bien tenace envers Dong Wook. De l’autre côté, on nous explique rapidement que Dong Wook souffre d’insomnies sévères et que la présence de Do Hyun est une pilule magique, car il lui permet de dormir. Et c’est à peu près tout. L’histoire ne s’attarde pas sur les détails de l’un et l’autre, préférant axer son énergie sur leur passé commun et le présent.
Leur relation rencontre beaucoup de non-dits, mais sans devenir dramatique pour un mot de travers. Au contraire, Dong Wook communique, tandis que Do Hyun, plus pudique, l’écoute et agit par la suite. La dynamique du duo est intéressante de bien des façons avec, en prime, une bonne alchimie. Elle est en accord avec l’ambiance du drame, à savoir de la douceur et une touche de retenue.
L’histoire s’alterne entre le présent et le passé. On découvre comment ils sont devenus proches et comment ils se sont séparés. C’est frais et on ne perd jamais cette douceur qui semble entourer ce drama (et cette relation). Leur dynamique n’a pas tellement changé, bien qu’au début, elle puisse faire quelques étincelles. Néanmoins, mon reproche serait sur le fait que la relation ne prend vie qu’au dernier épisode. Si la romance est palpable tout du long, la relation se concrétise au dernier épisode. Donc la romance existe, mais la relation n’a pas le temps de commencer qu’on est déjà sur un générique de fin, c’est mon seul vrai regret.
La photographie est sublime. Les scènes sont superbes avec de très belles lumières tandis que la pluie vient peaufiner l’ensemble. D’ailleurs, c’est en ce point que j’apprécie les petites productions qui font toujours en sorte de donner autant qu’elles peuvent. D’une façon plus globale, les KBL possèdent de bonnes choses, mais ils souffrent d’un format ridiculement court. Nous sommes sur 8 épisodes d’une moyenne de 17 minutes (génériques inclus) ce qui laisse peu de place à un développement poussé. Pour cette raison, la relation en souffre, car elle aurait mérité au minimum un épisode supplémentaire pour voir Dong Wook et Do Hyun évoluer en tant que couple. Les quelques scènes, ici et là, sont agréables, mais insuffisantes pour une romance.
Bref ! C’est un petit coup de cœur pour A Breeze of Love avec son histoire facile et honnête qui rappelle que l'amour n'est pas toujours un parcours du combattant.
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Léger, agréable, sans prétention et la découverte de nouveaux visages...
Je ne comprends pas pourquoi quasiment tout le monde a décidé que le casting était mauvais… Oui, Twins possède un casting avec des acteurs débutants, dont les deux acteurs principaux (je considère Ryan comme un rookie, car c'est son premier rôle principal). Même s'ils ne sont pas parfaits, c'était bien mieux que certains acteurs réguliers du BL thaïlandais de ces dernières années. Quelques uns devraient prendre des notes, et surtout, ça fait tellement plaisir de voir de nouveaux visages.Zee est une tronche de cake, aimable comme une porte de prison. Sprite est tout de suite plus sympathique. On fait facilement la différence entre les deux, car chacun possède son propre caractère. Et puis, Zee semble seulement tirer la gueule, alors ! Pour un premier rôle Frame Ritchanon Sriprasitdacha s'en sort bien. Parfois, son jeu manque semble un peu forcé et raide (dans sa gestuelle), mais globalement c'était décontracté. Rien qui ne mérite les jetés de tomates que j'ai pu lire.
First est un personnage de peu de mots, mais qui n'en pense pas moins. Il n'avait pas besoin de parler, son regard suffisait. Le pauvre gars s'est fait balader par les jumeaux, mais a gardé son calme. Pour moi, c'est le personnage le mieux écrit. Comme mentionné dans d'autres reviews, voir le drame au fil de sa diffusion ou non change la perception d'ensemble. Cela fait référence au fait que beaucoup ont reproché à First de pardonner trop vite à Sprite. Quoiqu'il en soit, Ryan Panya Mcshane est ma petite découverte dans ce drama. Le gars possède un vrai potentiel. D'une certaine façon, il m'a rappelé Man Trisanu Soranun (Jeng (Step by Step)). Personne ne l'attendait, mais il était là et a fait son bout de chemin.
La romance entre les deux zozos est amusante avec une bonne alchimie. Elle ne fait pas exploser le thermomètre, mais elle dégage quelque chose de bon et agréable. Les baisers sont superbes (celui de l'après-nuit reste mon préféré). J'ai adoré me moquer des répliques ringardes ou à double sens parce que c'était amusant.
Les autres personnages étaient bons, même s'ils ne sont pas les pommes les plus mûres du panier. Du jour au lendemain, Zee/Sprite ne sait plus jouer au volley et tente de copiner avec tout le monde. Personne ne trouve ça louche… Néanmoins, j'ai adoré la dynamique générale. Le sport était présent, mais sans effacer le reste. Certains rebondissements sont expédiés, on ignore ce qu'il en devient des personnages. Je me demande aussi pour Zee est aussi aimable qu'une râpe à fromage. Les motivations de Tong et Boy sont minables. Les parents existent, mais seulement sur le papier. Les nombreux quiproquos entre First et Sprite/Zee. First, t'es mims, mais connecte deux neurones une petite seconde, tu veux bien ? Cependant, mon principal regret reste sur la relation des jumeaux. Il y avait de la matière, mais pour une quelconque raison, rien n'a été fait.
De l'autre côté, beaucoup ont décidé que Twins était un Not Me 2.0. Certes, il y a un échange de jumeaux et c'est tout. Littéralement ! Les deux séries n'ont rien en commun. N'imaginez donc pas voir un drame sombre sous couvert de critique sociale. Il s'agit seulement d'un drame sportif où des jumeaux se retrouvent dans la vie de l'autre.
En bref, Twins est imparfait, mais cela ne lui enlève en rien son côté divertissant avec de nouveaux visages, tout en offrant quelque chose de nouveau plutôt qu'un énième BL où le casting devient le caméo d'un caméo, étant lui-même un caméo.
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Une discrète histoire d'amour...
Je ne sais pas tellement quoi en penser. Ce n'est pas un drama que j'ai envie de revoir, mais je ne l'ai pas complètement détesté non plus. En réalité, j'ai apprécié le côté très léger et effleuré en surface des premiers épisodes. Les choses deviennent plus concrètes sur la suite, mais sans non plus être un labyrinthe émotionnel. Certains éléments n'étaient pas nécessaires, mais globalement, une forme de douceur se dégage et c'est un point que j'ai aimé.Le personnage de Liu Lu était adorable. Je l'ai trouvé d'une grande douceur, justement. Xuan Chen a rendu son personnage mignon et aussi doux qu'un chaton bien que parfois un peu trop niais. Pourtant, c'est le personnage qui m'a fait sourire et m'a réchauffé le cœur plus d'une fois.
Gu Jing est le visage plus dur avec un caractère plus marqué. Je ne suis pourtant pas convaincue par Stan Huang qui me paraît assez raide. Ce qui est dommage pour avoir aperçu quelques extras hors tournage où il semblait beaucoup plus lumineux.
Côté histoire, c'est un bon divertissement mais il est inutile d'en attendre de grandes choses ou des rebondissements à profusion. C'est l'histoire d'un auteur de roman qui va tirer son inspiration d'un propriétaire d'un restaurant de nouilles. C'est aussi simple que ça et pour une dizaine d'épisodes, c'est suffisant bien que les premiers épisodes puissent sembler longs pour certains.
En bref, VIP Only est un drama court et léger qui pourrait être comparé à un amour qui se veut discret, tout simplement.
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Imparfait (la fin est naze) !
Malgré les critiques mitigées et négatives autour de Chains of Heart, j'aime l'idée de s'éloigner des bancs d'école et des uniformes. En effet, Chains of Heart est loin d'être parfois. Il est confus plus d'une fois et le final est une blague de mauvais goût, mais il reste honnête, bien que sensiblement amer.Pour remettre dans le contexte (et parce que je ne reprends que le résumé, rien que vous ignorez à ce stade), Ken et Din étaient ensemble. Din disparaît, laissant Ken. Deux ans plus tard, Lue croise la route de Ken. L'histoire connaît un certain nombre de flash-back, dévoilant ainsi la relation de Ken et Din. Malheureusement, j'ai eu quelques regrets vis-à-vis de ceux-ci, car il s'agit d'un paquet de scènes intimes. Si on en découvre un peu plus, c'était un chouïa de trop. La détresse de Ken (depuis la perte de Din) est montrée, cela montre également que leur relation n'était pas seulement charnelle. Bien que cette détresse soit un peu trop accentuée après six épisodes (je chipote).
La romance (Ken et Lue) manque un peu de finesse. D'ailleurs, une réplique hilarante (épisode 7 (je crois)) envoie clairement balader la subtilité. C'est une romance plaisante et qui fonctionne, mais elle trouve son apogée lorsque les masques tombent. La famille de Din envers Ken est adorable. Pas de belle-famille horrible et diabolique, à la place, elle est bienveillante et amicale.
Certaines scènes sont trop théâtrales. Les antagonistes sont caricaturaux, mais les protagonistes aussi, ce qui vient créer le bon équilibre. Les paysages sont magnifiques. J'ai adoré quitter les grandes villes (et les chambres universitaires).
En revanche, la fin est scandaleuse. J'ignore s'il s'agit de la même fin que le roman original, mais c'est décevant de s'impliquer autant dans une histoire pour une fin comme celle-là. Paf, générique ! J'ai presque l'impression qu'on me rit au nez, alors que deux minutes avant, c'est moi qui riait d'une réplique ringarde de Lue.
En bref, Chains of Heart est un bon drame, même si la pue. C'est entraînant avec un bon équilibre des genres (action, romance et drame familial). Mais bon. La fin quoi… Humpf !
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L'horreur, c'est l'Homme !
Donner un visage commun à la laideur des actes commit pendant la colonisation de la Corée par le Japon est une idée brillante. En ce point, la première saison de Gyeongseong Creature est excellente. Quant au reste…C'est un sacré morceau de l'Histoire coréenne que Kang Eun Kyung et Jung Dong Yoon souhaitent livrer. L'intrigue se tise autour d'une lourde période, forçant ainsi l'armée impériale japonaise à prendre les traits d'une créature destructrices suite aux expériences scientifiques dénuées de toutes éthiques.
Dans ce contexte, les personnages entrent en scène. Malgré un casting aux petits oignons, j'ai été incapable de me prendre d'affection pour eux. Qu'ils soient sur le point d'être repérés ou sur le point de mourir, je ne m'en souciais pas plus que ça. Pourquoi ai-je été si hermétique ? Je l'ignore. Malgré tout, cela ne m'a pas empêché d'apprécier une grande partie de l'histoire.
À mes yeux, la créature est sous-exploitée. Oui, sa nature de tueuse redoutable est avancée et mise en scène plus d'une fois. Cependant, tuer pour tuer n'était sûrement pas son unique intérêt. Il suffit de s'attarder sur la férocité de la créature, mais où la génétique ou les modifications ne peuvent altérer son instinct maternel. Peut-être que ce point sera plus développé dans la deuxième saison. En attendant, sur cette première saison, il lui manquait un rôle. Elle était le miroir des actes perpétrés par le Japon, mais elle est restée une créature aux besoins primaires. Sans elle, ce n'est qu'une histoire de guerre. Avec elle, il y a cette pointe d'anticipation supplémentaire. Et pourtant, je regrette qu'elle ne soit qu'une figurante.
La violence est présente avec des scènes graphiques. En soit, ce ne sont pas des scènes qui me gênent, mais au bout du 23ème, je me suis demandée si les morts avaient un sens, autre que celui de dépeindre une créature violente. Et finalement, je me suis demandée si ce n'était pas le but, justement. Afin d'attirer l'attention sur la dure réalité de la guerre. Sa violence et ses morts à profusion. Encore une fois, la créature représente les japonais.
Les décors sont propres ainsi qu'une majorité des effets spéciaux. L'ambiance est superbe, alors qu'elle jongle entre l'angoisse, la tension et l'effroi. Jung Dong Yoon s'amuse beaucoup avec les lumières, bloquant parfois la vue ou mettant le téléspectateur au même niveau que les personnages, ignorant ce qui avance dans le noir des sous-sols. La mise en scène est sans aucun doute ma partie préférée.
Quant à la fin… Aussi décevante qu'elle puisse être, elle n'est pas une surprise non plus. Netflix veut toujours plus de gâteau. Le final apporte avec lui de nombreuses questions, d'autant plus que la deuxième saison se déroulerait à notre époque. Dans la première saison, absolument toute l'intrigue nous faisait comprendre que la créature était une déesse, car parfaite, en plus d'apprendre que sa création est une réussite rarissime. Cela dit, il traîne toujours un œuf ou deux quelque part, surtout quand c'est imprévu et qu'on veut se resservir d'une part de gâteau. Mais comment expliquer deux réussites ? Ou peut-être trois ? Et pourquoi pas quatre ? Mieux encore, pourquoi passer de 1945 à 2024 d'une saison à l'autre ? Ce final enfonce beaucoup de portes, mais il n'est en rien une motivation pour avoir envie de se plonger dans sa suite. Pour cette raison, une fin fermée aurait été plus intéressante, quitte à rouvrir quelques portes par la suite, sereinement.
Certes, le battage médiatique autour de Gyeongseong Creature en décevra plus d'un. C'était mon cas lorsque j'ai commencé à me rendre compte que les personnages n'avaient aucun intérêt à mes yeux, et encore moins quand j'ai vu les esquisses d'une romance qui n'a rien à faire là.
En bref, malgré ses longueurs inutiles Gyeongseong Creature est un drama qui amène un vent de fraîcheur à l'Histoire coréenne sous couvert d'une œuvre à la fois historique et fantastique pour l'illustrer. Rappellant au passage que le meilleur ennemi de l'Homme, c'est l'Homme lui-même !
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Un film d'action post-apo entraînant...
Les univers post-apocalyptiques sont un plaisir assumé et où les possibilités ne manquent pas. Par ses décors, son ambiance désertique et sa photographie, le film peut faire penser à Black Knight, un drama spectaculaire qui remettait déjà en cause la nature humaine.Trois ans après qu’un violent tremblement de terre ait réduit Séoul à l’état de décombres, les gens survivent avec le peu qu’ils ont. La pluie est devenue rare dans ce monde dévasté (un concept également exploité dans The Silent Sea). Plusieurs communautés sont nées et s’entraident. L’espoir palpite dans les cœurs à l’idée d’un avenir meilleur. Jusqu’à l’arrivée d’un groupe qui promet monts et merveilles aux familles ayant des enfants et adolescents. Certes, la proposition est belle, mais ne l’est-elle pas un peu trop, justement ?
Le passé des personnages reste effleuré en surface. Cela dit, le docteur Yang Gi Su (Lee Hee Jun) connaît un développement intéressant. Les limites du Bien et du Mal, les valeurs morales et l’éthique médicale. Cependant, son bagage émotionnel pousse à lui donner assez de corps pour expliquer ses actes.
Malgré tout, le reste des personnages est sympathique. Ma Dong Seok est toujours aussi charismatique à l’écran avec de solides scènes d’action. Lee Jun Young prend les traits du petit rigolo qui cache bien plus que quelques blagues sous son sourire railleur. Tandis que Ahn Ji Hye offre de puissantes scènes bien chorégraphiées.
L’espoir est une valeur qu’on retrouve dans ces univers. Ici, elle prend la forme d’une sorte d’immortalité. La seule façon de tuer est de couper la tête, comme pour un zombie. Ainsi, pas aussi increvable que prévu, mais suffisamment résistant pour continuer d’avancer sans ressentir la douleur. La Corée sait comment marier les genres qui s’opposent. De ce fait, les pointes d’humour (dont l’absurdité parfaitement dosée) sont efficaces. Elles se mêlent parfaitement à l’ensemble du film.
En bref, Badland Hunters est un film d'action post-apo simple et efficace avec des scènes de combat spectaculaires.
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Comédie horrifique absurde (avec un requin-zombie et ça, c'est un grand oui !)
À la fois drôle, absurde et horrifique, Zom 100 se présente comme un film tourné vers la comédie avant tout avec sa pointe de gore. Cela dit, il renferme aussi quelques faits de société (l'usure et la pression au travail, par exemple).Akira est usé par son nouveau travail et son employeur qui semble prendre un plaisir malsain à le torturer de la sorte. On le voit lentement prendre l'apparence d'un zombie, l'envie de sanquette en moins. Jusqu'au matin où une épidémie de putréfiés ravage la ville... Sans trop chercher à faire dans la finesse, Ishida Yusuke nous montre l'explosion de joie d'Akira lorsqu'il réalise ne pas avoir besoin d'aller au boulot (ce qui explique les affiches colorés). Et ces couleurs, on va les retrouver sur une bonne première partie du film où l'accent sera comédie et absurde amusant.
Akaso Eiji est un bon acteur qui est capable de transmettre l'humour d'une situation ou d'une réflexion sans paraître lourd ou forcé. Ce qui donne toute sa saveur au personnage d'Akira. D'un homme usé, on nous dévoile une toute nouvelle facette, celle d'un homme heureux et optimiste.
Bien qu'agréable, je reproche un manque de fond. Une fois la situation bien placée, les scènes se suivent sans trop d'intérêt. Le seul but étant d'arriver jusqu'à l'aquarium et l'entrée du fameux requin-zombie. Si vous aimez la comédie horrifique absurde et loufoque, alors vous passerez un bon moment. En revanche, si vous souhaitez un scénario cohérent et rien qui ne sorte de l'ordinaire dans un film ce genre, vous pourriez ne pas apprécier.
Mention spéciale à l'esthétique des zombies. Cela dit, sur le plan du poutrage de zombies, je ne suis pas totalement satisfaite. J'aime les effusions de sang, les crânes explosés et tout ce qui implique des putréfiés traînant la patte avec des râles parfois effrayants. Mais c'est une passion comme une autre et je pense, pour cette raison, me tourner vers l'anime qui de toute façon me faisait de l'œil depuis un moment.
Bref, tout dépendra de vos attentes. Zom 100 se révèle dynamique dans son montage avec des personnages simples, mais qui tiennent la route et renforcé par un casting solide. A la fois drôle et absurde, je suis venue pour les zombies, je suis restée pour le requin-zombie et l'ambiance.
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Falling High School Girl and Irresponsible Teacher
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Humour et autodérision pour sujets sensibles...
Tous les sujets ne peuvent pas être abordés de façon désinvolte ? C'est vrai. Je ne peux pas imaginer une conversation autour de violences sexuelles être tournées à l'autodérision. Si je suis pour décomplexer de nombreux sujets (la mort étant un des premiers), le suicide reste une thématique qu'on prend avec des pincettes. Tsuiraku JK to Haijin Kyoushi arrive à jouer sur différents tableaux en apportant humour et autodérision sur le devant et ça fonctionne.S'il arrive souvent que la limite du vulgaire/grossier ou même de l'irrespect soit dépassée, Tsuiraku JK to Haijin Kyoushi arrive à garder le bon cap jusqu'au bout. Avec ses deux personnages principaux aux esprits tranchés et attachants, on suit leur évolution avec une certaine légèreté sans rejeter les thématiques mise en avant.
Il faudra apprécier ce genre d'ambiance avec une lycéenne morose aux tendances claires et à un professeur optimiste avec une expérience de vie.
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Léger et divertissant...
Ce qui est agréable avec des dramas comme celui-ci, c'est qu'ils ne sont pas difficiles. On connaît les grandes lignes, ils sont faciles à regarder, divertissants sur leur durée et ils ne s'encombrent pas de trop de longueurs. En soit, ils n'ont pas besoin de grand-chose pour fonctionner, et tant mieux !Rien n'est nouveau dans ce scénario. Il peut même faire écho avec d'autres drames de ce genre (When I Fly Towards You, pour ne citer que lui). Chaque situation est soigneusement cochées sur la liste des clichés. La mise en scène reste classique, tandis que l'histoire se développe dans un rythme populaire, mais efficace.
Le casting est bon. Pour tout dire, je pense que Jun de Seventeen, volerait la vedette grâce à sa casquette d'idole, mais pas du tout. S'il sait quand se faire remarquer, il sait aussi rester discret. Jun est beau, aucun doute qu'il campe sur des acquis solides tout en dégageant une assurance attirante et charmante. Zhang Miao Yi est fidèle à ses rôles précédents. Son jeu n'est pas mauvais, j'attends de la voir dans autre chose. J'espère qu'elle pourra bientôt obtenir des rôles plus importants, elle semble avoir ce qu'il faut. En revanche, le doublage ne lui rend pas service (cela dit, l'intégralité du drama est mal doublé). Leur romance est mignonne. Bien que tardive, elle est agréable avec une relation qui prend le temps d'évoluer.
Comme mentionné ci-dessus, le doublage est infâme. Si c'est monnaie courante, cela fait un moment qu'un drame ne m'avait pas autant marqué pour la médiocrité de son doublage. De ce fait, le montage en souffre en raison d'une mauvaise synchronisation et de dialogues monotones.
En bref, Exclusive Fairytale n'a rien d'original. Il possède les défauts habituels de ce genre de dramas, mais il reste léger et divertissant avec un casting sympathique.
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Un drame social sous couvert d'un des sports les plus populaires au monde...
Le football est un sport capable de soulever toute une nation. Il suffit de sortir son nez dehors lors d’une Coupe du Monde. Qu'on aime ou pas le foot, on ne peut nier son impact.Dream use d’un franc esprit d’équipe au travers de personnages humains et émouvants. Cela dit, l’humain l’emporte et le sport en lui-même est au second plan. Chaque acteur livre son histoire avec une belle émotion sans jamais trop en faire. Si certaines scènes peuvent donner l’impression d’être une comédie lourde, tout s’équilibre rapidement.
Au milieu de cette équipe, Park Seo Jun livre un personnage fier et plein de rage d’une grande justesse. Acteur populaire depuis plusieurs années, il forme un parfait duo de chien/chat aux côtés de IU. Celle-ci tout aussi populaire excelle en tant que réalisatrice avide de réussite, mais pas démunie de sentiments. On ne peut qu’apprécier le choix de Lee Byeong Hun, scénariste et réalisateur, de ne pas avoir polluer son histoire d’une romance inutile.
Loin de nous dérouler le tapis rouge ou les coupes de cristal, c'est un film qui ne va pas au-delà de ce qu'il prétend être. Et si c'était vous ? Et si demain, vous étiez à la rue ? Au travers de différentes histoires, on découvre des destins tragiques où tout bascule en un claquement de doigt. Aujourd'hui, vous avez tout. Mais qu'en sera-t-il de demain ? Lee Byeong Hun livre un regard fort sur les SDF et la façon dont une vie peut changer en un rien de temps.
En revanche, on peut sentir un manque de réalisme quant aux équipes adverses qui ressemblent plus à des équipes de semi-pros qu’à des sans-abris. Tout comme le jeu agressif ne connaît aucune pénalité si ce n’est un carton jaune sur dix matchs. Si le fond du film est honorable, sa forme manque de cohérences bien qu’on puisse saisir les messages véhiculés par le film. Ainsi, les valeurs humaines priment sur le sport. De ce fait, on sent un manque de réalisme côté sport bien que cela n'impacte en rien le message véhiculé.
En bref, une comédie à la fois sociale et humaine toute en légèreté.
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Loin d'être une partie de plaisir...
Sur le papier, il y avait de l'idée. Dans la pratique, ce n'était pas vraiment un plaisir.Le film s'ouvre sur Cong qui perd son père avant qu'on le retrouve plusieurs années plus tard âgé de trente ans. Il a suivi le même chemin que son père et tente dans l'immédiat de sauver sa petite-amie Lisa, kidnappée par un milliardaire. Sur la base, on peut comparer avec une majorité des films d'aventuriers. Des artefacts précieux, des lieux abandonnés, des pièges, des monstres, des légendes/mythes... Jusqu'ici, les éléments sont populaires, mais efficaces.
Une fois que le film se lance réellement, on sent qu'il tente d'être comique, mais il n'y parvient pas du tout. Plutôt qu'appuyer sur certaines tensions ou créer des situations intenses, il préfère tourner en dérision. Ce qui le pousse dans le ridicule en un rien de temps. Si les effets sont corrects, ils ne sauvent pas le film.
C'était même une corvée sur certaines scènes au point de me demander si Sasha (l'actrice interprétant Lisa) n'était pas une blague de mauvais goût tant son jeu est infâme. Et le doublage n'a clairement demandé aucun effort de personne.
Je peux comprendre que les films de monstres ne sont pas pour tout le monde. Pour ma part, je les adore (même ceux qui n'étaient trouvables que sur Syfy c'est pour dire), mais celui-ci fait est une perte de temps et d'énergie.
Bref, au suivant !
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De l’action à revendre dans ce film de monstres chinois...
Comme une grande majorité de films du genre, Deep Sea Mutant Snake traite d’une expérience qui a mal tourné. Cass Corporation décide alors de tuer les animaux (les serpents), mais également les scientifiques ayant participé au projet. Cela dit, les deux plus gros spécimens survivent tandis que la base de recherches croûle sous l’attaque des serpents.Les CGI sont moyennes. La Chine a toujours des années de retard entre les attentes du public et ce qu’elle livre. Par conséquent, il faut savoir passer outre. En revanche, le plus grand serpent est une vraie réussite visuelle (notamment lorsqu’il n’attaque pas). Wu Yang ne tente pas de le cacher, tout comme il ne tarde pas à le montrer. Dès les premières minutes du film, on nous le montre avant de disparaître jusqu’à la fin. Dommage, mais au moins on appréciera ce gros bébé à la tête de dragon. Une vraie beauté, je n’en démordrais pas. La Chine et les serpents, c’est une grande histoire de toute façon.
Deep Sea Mutant Snake ne lésine pas sur l’action et en offre sur une grande majorité de son temps. Celle-ci permet de ne pas trop s’attarder sur l’intrigue et les clichés véhiculés par les personnages ou leurs actions. En réalité, le réel défaut de Deep Sea Mutant Snake c’est eux, les personnages. Ils ressemblent aux protagonistes des dix derniers films du même genre. Mais encore une fois, la Chine use ses cordes au maximum. Prenez une romance chinoise d’il y a cinq ans et d’aujourd’hui, vous trouverez peu de différences.
En bref, on ne passe pas un mauvais moment, car il se révèle bon dans son genre avec des CGI légèrement au-dessus d’autres productions. Ses scènes d’action (nombreuses) permettent de ne pas s’attarder sur les détails ou sur les actes héroïques (et foireux) des personnages.
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Peu exceptionnel, malgré son potentiel initial...
L'histoire débute en 2019 en Afrique où on découvre rapidement les deux protagonistes avant de repartir en 2012 dans une faculté de médecine en Chine. Et ainsi de suite. Le premier épisode jongle entre les deux époques en permanence, si bien qu'il faut avoir envie de continuer. Comme les scènes sont courtes, l'alternance devient répétitive et pénible. Une fois le premier épisode passé, les scènes passé/présent sont plus longues bien qu'elles restent gênantes au début, mais on fini par s'y faire (ou on se force à s'y faire, au choix) jusqu'au moment où elles disparaissent.Jongler entre deux époques nous donne un aperçu des personnages. Ce qu'ils étaient et ce qu'ils sont devenus. Dans le passé, Ruan Liuzheng était une trouillarde niaise (attention aux dents qui grincent).
Puis on la redécouvre six ans plus tard et ça vaut le détour. Si elle reste une personne gentille et parfois un peu stupide (voir très stupide dans certains moments), elle a de la poigne et un tempérament plus affirmé sans jamais abandonner sa douceur. Son évolution est marquante. Pas parfaite (elle retombe facilement dans sa passivité illogique) mais intéressante. Y'a quelques détails qui m'ont interpellé, mais je vais éviter de m'étaler sinon demain matin on est encore là. Cela dit, reprocher à ton ex-mari de ne pas se souvenir des trois films que vous avez vu ensemble, c'est limite.
Face à elle, Ning Zhiqian. Passé ou présent, c'est un con. Inutile de vouloir dresser un joli portrait, il est cruel et parfois méchant sans raison. Il faut pas mal d'efforts pour lui trouver de bons côtés en tant que personne et l'apprécier. En tant que chirurgien, il est brillant, mais comme tous les "génies incompris de la médecine" la gentillesse et la sympathie sont surfaites. Plus sérieusement, Peng Guan Ying donne du caractère à son personnage et nous donne envie de l'envoyer royalement balader plus d'une fois, mais ça colle au profil.
L'enfant Ning Xiang est chiant. Ahah, désolée, il fallait que ça sorte. Le gamin à six ans et prend des décisions qui sont supposées être prises par un juge donc ! Il voit une jolie femme (qui se trouve être Ruan Liuzheng) et décide que c'est sa mère parce qu'elle était mariée avec son père - logique d'enfant, je l'accorde. Je n'avais jamais autant entendu les mots "papa/maman" dans un drama et c'est vite devenu insupportable. Certaines personnes seront peut-être touchées par lui, pour ma part il m'a juste gonflé. Autant celui dans The Love You Give Me était choupi ou ceux de Please Be My Family autant celui-ci...
Cela dit, le petit Ling Chen est doué pour son jeune âge. Bien qu'il hurle plus qu'il ne parle au début, on sent un quelque chose dans son jeu, notamment lors de scènes tristes où il arrive à être plus convaincant que pas mal d'acteurs/actrices adultes (et je n'abuse pas). Le p'tit bonhomme est promis à une jolie carrière.
Malgré leur passif, Ruan Liuzheng et Ning Zhiqian ne se tirent pas dans les pattes ou ne cherchent pas à se nuir mutuellement. Ils sont matures et c'est un aspect qui peut franchement réconcilier les gens avec le couple divorcé qui se retrouve. Bien qu'évidemment nous avons le droit à toute la panoplie des "je change d'avis" ou "soyons ensemble, mais séparons-nous deux jours plus tard pour une raison stupide" et tout le tralala. Si l'enchaînement des situations et des coïncidences facilitent grandement l'intrigue elle n'a pas la prétention d'être complexe.
En revanche, je n'ai pas compris l'attitude de l'entourage de Ruan Liuzheng. Pour tout dire, j'avais l'impression d'être la seule a soutenir ses décisions quant au fait de rester loin de son ex-mari ou d'être juste en colère contre lui. Je veux dire, elle a le droit de le détester de temps en temps ou d'être en colère. Elle a aussi le droit de ne pas avoir envie d'être en contact avec lui. Pourtant, on dirait que lui avait le droit de merder et qu'elle devait juste acquiescer en silence... Bon, c'est un portrait courant en Chine, mais là c'était juste pénible.
La pandémie entre en jeu à partir de l'épisode 31 (les acteurs ont d'ailleurs les traces des masques) ce qui (d'après moi) explique la soudaine accélération sur toutes les intrigues. Je pense qu'au départ le drama devait sûrement partir sur 40/45 épisodes. Malgré ce point, le drama reste très long pour pas grand chose avec les événements habituels. Le montage est vieillot, certains doublages sont mauvais, mais il se regarde jusqu'à la fin.
Bref, s'il n'est pas exceptionnel ou particulier dans son genre, il se regarde facilement si on accepte de fermer les yeux sur un bon nombre de choses.
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Une première partie dynamique et entraînante...
Cette première partie n'est pas loin du petit coup de coeur. À savoir que je n'ai pas lu le webtoon (qui semble être différent sur pas mal de points), de ce fait mon avis ne concerne que le drama.Bien que la première partie ne soit que de six épisodes, le drama trouve son rythme et donne assez de matière et d'espace à tous les personnages (qui sont nombreux). On évolue avec eux. On s'attache à l'un, on déteste l'autre... Tous les profils y sont et la production a fait en sorte que tout fonctionne. Le casse-cou, la pleurnicheuse (bien gonflante celle-là), les têtes brûlées, les maladroits qui sont plus dangereux que les créatures, les leaders ou encore ceux qui hésitent et suivent finalement le mouvement etc.
Alors évidemment, inutile de vouloir prendre ce drama au pied de la lettre. Il possède beaucoup d'aspects irréalistes avec pour unique but, celui de divertir et il y arrive parfaitement. Entre comédie et scènes d'action, chaque fin d'épisode nous pousse vers le suivant, si bien qu'il est difficile de s'arrêter en cours de route. Certains moments sont glauques et ça mérite d'être mentionné pour celles et ceux qui sont sensibles sur ce point.
Les CGI sont spectaculaires. C'est rare qu'un drama donne autant sur ce point, et pourtant on ne pourra nier sa réussite ici. Les créatures sont importantes et elles sont respectées jusque dans leur création, traitement et mouvement. Elles en deviennent effrayantes et fascinantes avec des couleurs uniques et des bruits glaçants.
S'il y a bien une chose à retenir c'est leur esthétique. En revanche, Duty After School ne traite pas vraiment leur présence. Elles sont là, stagnent pendant des mois et attaquent soudainement la Terre. Fin de l'histoire. Si elles sont une menaces bien réelle pour la première partie, on en découvre peu à leur sujet et lorsque c'est le cas, c'est écarté.
En bref, si vous aimez le genre dystopique avec en plus des créatures extraterrestres, vous allez sûrement vous y perdre avec délice.
Si la partie 02 n'avait pas tout ruiné, aucun doute que Duty After School aurait été un des meilleurs dramas de 2023.
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Les ratés d'écriture de la FL...
C'est le drama type de bureau avec une romance qui dure sur le temps. Loin des surprises ou révélations inattendues, il se regarde et s'apprécie pour ce qu'il promet. Cela dit, il faudra faire l'impasse sur la très mauvaise écriture du personnage de Xiang Yuan.Le plus gros problème c'est la construction du personnage de Xiang Yuan incarnée par Wu Qian. À aucun moment les scénaristes ont été capables de s'arrêter sur un profil concret - je n'ai pas lu le roman dont il est adapté, je ne me base que sur le drama. C'est comme si les quatre scénaristes avaient décidé d'écrire à différents moments de l'intrigue le personnage avec l'unique but d'aller dans son sens à elle. Ils ont tâtonnés sans jamais prendre de décision sur ce qu'elle est et ce qu'elle n'est pas.
Elle est une directrice, mais agit de façon parfois capricieuse (c'est le trait qui revient le moins), boudeuse et égoïste. Puis elle redevient une femme mûre de 26 ans pour agir de nouveau étrangement au point de se ficher de faire souffrir les autres. Elle souffre, ok, mais elle emmène les autres avec elle sans y réfléchir, c'est égoïste. Un personnage chaotique dans toute sa splendeur. Bref, malgré tous les défauts du personnage et le fait que je ne sois pas amatrice de Wu Qian (c'est une actrice qui ne provoque aucune émotion ni réaction chez moi), elle arrive à en sortir quelque chose sauf lorsqu'il s'agit de simuler un rhume ou une toux...
Zhang Bin Bin en tant que Xu Yanshi est un portrait assez classique qui fonctionne toujours. Ses petites pointes de jalousie ne sont jamais toxiques ce qui est agréable, tout comme les petites attentions qui sont mignonnes. Ses collègues aiment nous rappeler sans cesse à quel point il est beau, gentil et tout le tralala. Le tableau habituel, mais Zhang Bin Bin est convaincant dans son rôle avec certaines déclarations émouvantes.
La relation entre Xiang Yuan et Xu Yanshi est bonne. Ils arrivent à créer une dynamique amusante et se taquinent sans jamais que cela ne dépasse les bornes. C'est bien dosé et renforce leur relation - avant qu'ils ne deviennent un couple. Une fois en couple, la relation est beaucoup plus romantique comme dans tous les dramas, peut-être un peu trop au début. La taquinerie est toujours là et ça fait plaisir. Les baisers sont excellents et font trembler quelques genoux.
De temps en temps y'a des plans étranges et des mouvements de caméra sans aucun sens, mais ok. Les doublages sont moyens (rien de surprenant). Parfois ça manque de crédibilité. Sans compter que les personnages semblent souvent touchés par le rhume, je comprends le placement de produit, mais faut doser un peu.
Pour résumer tout ça, pour les amateurs/amatrices de romances, c'est un moment sympa. Sans surprises et avec ses clichés du genre, mais sympa.
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